Le "non" gagne au référendum sur l’Europe et le Premier Ministre démissionne. L’entrée de la cuisine politicienne.
Le "non" gagne et Chirac nomme un défenseur du … "oui", jamais élu, comme premier ministre. Le plat principal est servi. L’autisme continue.
Et le dessert? Le "oui" tient le haut du pavé (ou le crachoir) depuis dimanche. Le "non" majoritaire n’est pas accès aux appareils d’état. La dictature s’installe : "Cause toujours, tu ne m’intéresse pas!"
Et ce n’est pas faute d’essayer :
Ici un collectif des vainqueurs ( lire l’appel ici en pdf) pour avoir droit à la parole et là Mégret dénonce la confiscation.
Le non ne doit pas se faire piéger! il est peut-être encore temps!