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Homosexualité : revendication du lobby gay

Auto-manifestation à Nantes

120 voitures dans les rues de Nantes.N

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6 commentaires

  1. pas mal de marques de soutien (drapeaux de la MPT agités aux fenêtres des maisons, saluts des passants…) mais aussi une haine incroyable des opposants, insultes, jets de projectiles, gestes obscènes et provocateurs. Seule dans ma voiture je n’ai pas toujours été très rassurée… et pendant ce temps à la radio on accuse les manifestants d’être violents…rageant!!!

  2. ça à mal tourné une voiture agresser, violences physiques sur ses occupants un doigts cassé, et dégradation du véhicule photos à venir. Les policiers qui étaient à 3M ne sont pas intervenus

  3. Cela n’a rien d’étonnant le gouvernement a donné ses ordres pour provoquer les incidents surtout à Nantes ville du 1er sinistre. Mais à ce petit jeu la gauche risque fort de ne pas être gagnante. Qu’ils se méfient de l’eau qui dort.

  4. SÉCURITÉ
    Prévoir un SO léger pour ce genre de manif en voiture:
    groupes de 3-4 piétons patrouillant autour, et quelques costauds prêts à sortir des véhicules.
    montrer les muscles et ouvrir la bouche permettent souvent d’éviter la confrontation physique.
    Courage et prompt rétablissement aux blessés.
    si vis pacem…

  5. Je confirme la tension et la violence. Plus l’on se rapprochait du centre et plus l’ambiance était tendue.
    Voici ce que j’ai vu:
    Avant même le départ, pont de la tortière, un type hurle “Enc***és”.C’est quand même la meilleure celle-là…Mais, noyé dans les klaxons, il reste peu audible et rentre dans un immeuble.
    Toujours avant le départ : deux anarchistes tournent autour des voitures avec leur chien. L’un m’explique qu’il est bi et qu’il m'”en***le”. Décidément c’est une manie…J’essaye de dialoguer pour faire baisser la tension, peine perdue..
    Le départ est lancé, je monte dans ma voiture.
    La première partie du trajet se passe bien. Plusieurs drapeaux de LMPT aux fenêtres et des familles qui nous saluent.
    Puis la tension commence à monter, les conducteurs des voitures en sens inverse sont soit indifférents pour la majorité, soit s’approchent de ma fenêtre pour crier leur amour : “FACHOS”, “ENC****” “HOMOPHOBES”.
    Un motard me barre la route avec un joli “VA TE FAIRE F**TRE”. Il fait le tour, donne un coup dans ma portière, puis se casse. Les passants nous invectivent.
    En sens inverse, deux types sur une moto : celui de derrière mime avec un certain réalisme un accouplement avec celui de devant. La classe.
    Quai de la fosse. Au niveau d’un feu, un type, la bouteille à la main, semble insulter les voitures en remontant la file.
    Je filme. Il arrive à ma hauteur. Echanges de regard. Il me dépasse.
    Tout d’un coup je vois dans mon rétroviseur qu’il revient en courant. La voiture de devant commence à avancer. J’attends qu’il se rapproche et démarre en trombe. Timing à améliorer. j’entend un “boum” à l’arrière: il a quand même réussi à donner un coup de pied.
    Moralité: prévoir une distance de sécurité suffisante avec la voiture de devant pour se dégager si besoin.
    Nous continuons la balade, on arrive vers le lieu unique. “Splash”. Des bobos nous balance des oeufs. La voiture de derrière est repeinte.
    La voiture devant moi s’arrête. Deux filles en sortent, montent sur le toit et font un “Kiss-in”.
    Plus loin. Tiens une voiture en face qui nous fait des appels de phares avec le conducteur qui nous sourit. Ca faisait quelques minutes qu’on avait plus vu ça.
    Nous arrivons en bas de la rue de Strasbourg. Elle semble bloquée. Il est entre 9h et 9h30. Ca devait se finir à 20h. Je rentre.
    D’après ce que j’ai entendu par la suite, il y a eu de la casse rue de Strasbourg.
    D’après la police on était 80 voitures et trois motards de la police nous encadraient.

  6. beaucoup d’agressivite hier, nous aussi on y a eu droit.
    Pourtant : un homo et son copain se sont approcher de nous et ont tente d’attrapper le drapeau que tenait notre jeune fille derrière. Vifs mouvements, je leur ai dit qu’on ne touche pas aux enfants, ils ont dit “ok” et sont repartis. Je les ai remercier .

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