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Culture de mort : Avortement

Autriche : aucun médecin pour pratiquer l’avortement en hôpital public au Tyrol

Autriche : aucun médecin pour pratiquer l’avortement en hôpital public au Tyrol

Le médecin est fait pour soigner non pour tuer :

L’Etat autrichien du Tyrol n’a pas réussi à recruter de médecins pour pratiquer l’avortement dans les hôpitaux publics. Des médecins qui avaient d’abord donné leur consentement se sont finalement retirés.

En Autriche, l’avortement sur demande est permis dans les 3 premiers mois de la grossesse. Cela signifie généralement à la fin de la 13e semaine, calculée à partir du premier jour de la dernière période menstruelle. Il n’y a pas de consultation obligatoire ni de période d’attente prescrite avant un avortement.

Après le 3e mois, un avortement ne peut être pratiqué qu’après accord d’un comité d’éthique et dans les trois indications suivantes : que le fœtus ait un handicap physique ou mental grave ; qu’il y ait menace grave pour la vie ou la santé physique/mentale de la femme ; la personne enceinte avait moins de 14 ans au moment de la conception. […]

Le Tyrol est l’un des neuf Länder qui composent la République d’Autriche. Il est le troisième par la superficie, et le cinquième en termes de population. Certains médecins autrichiens, et notamment tous ceux qui pratiquent la médecine publique dans la région du Tyrol, refusent de pratiquer des avortements, ce qui est une bonne nouvelle. Cela fait partie de ce rejet qui se rencontre de plus en plus chez les médecins qui, supportent de moins en moins d’avoir à tuer, alors qu’ils se battent quotidiennement pour guérir et sauver.

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5 commentaires

  1. Grâce aux progrès médicaux et technologiques (échographie), plus personne ne peut encore ignorer que l’enfant in utero est un être humain vivant. L’avortement est un meurtre barbare et les médecins sont tout particulièrement bien placés pour comprendre cette réalité et refuser cette intervention. Ceux qui, malgré tout, acceptent d’assassiner l’enfant à naître, n’ont aucune excuse à faire valoir.

    • oui, l’embryon-foetus est un “être humain vivant”; en conséquence le slogan :”mon corps, mon choix” est faux et manipulateur car il fait complètement l’impasse sur cette donnée biologique incontestable.

      • Add : la question : l’embryon-foetus est-il une personne est plus délicate ; on peut dire néammoins qu’ il est une personne humaine “en puissance” sinon en acte, comme d’ailleurs, le nouveau né ; autrement dit “une personne humaine potentielle” selon le CCNE ( comité consultatif national d’éthique). Pour l’Eglise Catholique, il doit être considéré “COMME” une personne.
        On peut aussi dire avec sagesse : “dans le doute, abstiens toi”.

  2. la civilisation a encore quelques refuges , dans des pays de tradition catholique pas encore complètement pollués par la Révolution nihiliste.

  3. il y a d’autres façon de faire des sacrifices humains, mais celui-là est le plus pertinent puisque la victime est totalement innocente.

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