En Autriche, le chef du FPÖ, parti au pouvoir aux côtés des conservateurs, le vice-chancelier Heinz-Christian Strache FPÖ a expliqué que son parti lutte contre “le remplacement de population” :
“Nous ne voulons pas devenir une minorité dans notre propre patrie”.
Suite à la polémique alimentée par les gauchistes, Heinz-Christian Strache, lors du conseil des ministres, mercredi dernier a déclaré :
“Nous avons été élus pour mettre fin à cette tendance nocive car les citoyens disent, à juste titre, que cette situation ne leur plaît pas et qu’ils se sentent déjà comme des étrangers dans de nombreux endroits de leur pays. Je ne me laisserai donc pas museler, les citoyens comptent sur nous !”.
Le lendemain des déclarations de Heinz-Christian Strache, Matteo Salvini, le ministre de l’Intérieur italien, rendait visite à Viktor Orbán en Hongrie. Il a mis en garde contre le risque que l’Europe ne devienne “un califat islamique”.
Cro-Magnon
Réflexion intéressante et pleine de bon sens mais qui ne doit pas faire oublier qu’en plus l’islam est prosélyte et conquérant dans sa dimension religieuse et qu’en plus, malheureusement, il a comme relais et propagandiste, une bonne partie de l’épiscopat français, voire plus haut encore dans la hiérarchie catholique… !
philippe paternot
nos petits enfants n’auront pas la chance de faire du tourismme, voir comment l’herbe est plus verte ailleurs puisque ailleurs sera chez nous!
puisque ces gens ne veulent pas s’intégrer (comme l’ont fait les espagnols, portugais, polonais, les juifs etc.) mais au contraire nous imposer leurs us et coutumes…
les hongrois et polonais nous démontrent chaque jour que cette invasion est maitrisable