Dans le bloc-notes de Rioufol :
"Un séparatisme menace la France, mais chut ! Le port du voile islamique, qui n’a jamais été aussi répandu dans les rues que depuis qu’il a été interdit dans les écoles en 2004, est la marque la plus visible de cette réticence à vivre ensemble. Des apartheids se multiplient, apportant le différentialisme ethnique dans des crèches et des lycées. Certains quartiers sont devenus des bantoustans, soumis aux lois des tribus, des mafieux, des barbus. Et alors ? Et alors, rien. Quand les élites parlent de bombe à retardement, c’est à propos du réchauffement de la planète. «Une vérité qui dérange», paraît-il : l’ex-vice-président américain Al Gore en a fait un film, applaudi par le Tout-Paris. […] Mais la défrancisation ne mériterait-elle pas un égal alarmisme ? […]
Jamais le décalage entre le peuple et ses porte-voix, qui assurent pourtant vouloir s’amender, ne reste aussi criant que sur la préservation de l’unité nationale. Les bons sentiments continuent d’être étalés par ceux qui se flattent de défendre les sans-papiers mais qui se gardent d’envoyer leurs enfants dans les écoles ghettos. […] Non seulement les Français n’ont jamais eu leur mot à dire sur cette politique de peuplement, mais son envergure (350 000 entrées par an) leur aura été dissimulée […]. Les maltraitants de la France n’auraient-ils pas des comptes à rendre ? Ceux qui ont fait l’éloge du multiculturalisme devraient répondre de cette politique, qui a blessé l’âme nationale."
Montjoie
ce qui est dommage, c’est que Roufiol croit que c’est Sarko notre sauveur !
charly
Des bombes à retardement, il y en a plusieurs, dont le réchauffement climatique.
Par contre, ce qui est très interessant dans ce bloc-notes, c’est cette idée d’immigration subie depuis plusieurs décennies.Très peu de sondages sont fait pour savoir ce que les gens pensent des flux migratoires, et nul ne semblent, dans les grands médias, vouloir expliquer à ceux qui s’opposent aux expulsions de “sans-papiers” qu’ils s’opposent ainsi à la volonté du peuple français.