Les musulmans de l'Essonne ont encore un peu de mal avec la langue française ou les valeurs de la République. C'est avec cette formule de politesse qu'ils ont terminé un courrier de colère à l'encontre de Nicolas Dupont-Aignan, qui a osé déclarer
« Si on accepte le burkini aujourd’hui, on finira avec la charia demain ! »
La punition est cruelle… : Nicolas Dupont-Aignan ne sera plus le bienvenu aux agapes et autres ramadans musulmans. A moins qu'il se soumette, en bon dhimmi de la république…