Avortement : A-t-on encore le droit de parler en France ?
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DUPORT
Désolé de vous contredire Monsieur l’Abbé
AUCUNE FEMME AU MONDE n’a jamais avorté qu’avec la CERTITUDE ABSOLUE que c’est bien un enfant !
Un être distinct d’elle avec un ADN propre et qui va se développer inéluctablement.
Pour cela elle surveille, contrôle, voit le gynécologue, fait un test de grossesse, au besoin en refait un 2ème pour contrôler, confirme pas une prise de sang puis par échographie.
Bref ! Une fois qu’elle est ABSOLUMENT CERTAINE que ce n’est pas un kyste, une grossesse nerveuse, un simple trouble, un peu d’embonpoint ou que sais je encore, elle songe à l’avortement.
La démarche de se faire avorter implique d’avoir acquis la CERTITUDE ABSOLUE de la présence d’un enfant.
S’il y avait le moindre doute que ce soit un enfant, elle attendrait de voir…
Si vous n’êtes pas certain d’avoir une appendicite, ou une tumeur maligne ou…
Vous attendez de voir avant de vous faire opérer… Personne n’aime l’opération et si on le peut on repousse…
Et le corps médical… Pouvez-vous me présenter UN SEUL médecin qui aurait pratiqué un avortement « pour voir » ?
Qui aurait planifié un avortement sans CERTITUDE de la présence d’un enfant ?
Quelle femme dans le monde est sortie d’un avortement en disant « le médecin a pu contrôler, il n’y avait rien » ?
La préméditation ne fait aucun doute Monsieur l’Abbé.