Il y a peu, on critiquait ceux qui osaient dénoncer les avortements de confort. Selon les partisants de l'abominable loi abominable sur l'avortement, il n'y aurait pas d'avortement de confort, chaque cas serait celui d'une femme en grave détresse… Jeanne Smits traduit le témoignage d'une militante pro-vie espagnole, à propos d'une mère qui a avorté car son enfant présent dans son sein lui donnait des nausées ! Extrait :
"[…] J’ai demandé à la Municipalité,
le 19 juin, l’autorisation de mettre en place un stand informatif pendant le
mois de juillet… Le silence pour toute réponse. S’ils veulent enfin me répondre…
eh bien la moitié du mois de juillet est déjà passée. Est-ce parce que c’est un sujet
qui gêne, Monsieur le maire ?Vous vous retrouvez avec entrain
avec d’autres collectifs – homosexuels par exemple – mais vous n’avez pas le
temps pour vous informer de première main sur les terribles circonstances qui
entourent la mort de trente ou quarante enfants dans votre ville ?Auront-ils le courage, certains
conseillers municipaux, de venir un lundi ou un mardi à la porte de l’avortoir Los Arcos Guadiana, pour voir de
première main comment on abuse de la femme en l’obligeant à entrer, en lui mentant
sur la réalité de ce qui s’y passe, en lui niant
le droit de choisir librement ?J’ai besoin de votre aide ! Voilà l’affaire, messieurs les
politiques, citoyens indifférents, assassins d’enfants, gens tout simplement méchants,
ou quiconque aura eu la patience de lire ces lignes : je ne vais pas m’arrêter. […]"