Plusieurs députés (Jean-Frédéric Poisson, Nicolas Dhuicq, Philippe Gosselin, Véronique Besse, Mme Le Callennec, M. Le Fur, M. Gandolfi-Scheit, M. Reiss, M. Moreau, M. Gibbes, Mme Schmid, Mme Louwagie, M. Breton, M. Lurton, M. Moyne-Bressand et M. Decool) ont déposé un amendement au projet de loi sur l'égalité homme-femme, pour supprimer le remboursement de l'avortement par la Sécurité Sociale.
Ils expliquent :
"Si la notion de détresse est supprimée dans la définition de l’interruption volontaire de grossesse, les conditions de remboursement de l’acte par la sécurité sociale ne sont plus remplies."
luit
Ils sont très bons. Mettons leur le nez dans leurs contradictions à ces gauchos !
Papon
Dans l’etat actuel (!) de mes connaissances en biologie, il me semblait que le foetus etait composé pour moitié de la semence du père; à cet egard il me semblait qu’un avortement necessitat son accord puisqu’il s’agit de deruire un bien lui appartenant pour moitié.
Encore s’agit’il là d’une conception egalitariste puisque dans certaines civilisations, y compris la nôtre dans des temps anciens, l’enfant etait considéré comme appartenant en totalité au père, la mère ayant juste pour rôle de l’heberger jusqu’à sa venue au monde; les oeuvres litteraires ne manquent pas dans lesquelles la femme “offre” à l’homme l’enfant qu’elle a conçu pour lui.
LB
Il faut appeler les choses par leur nom l’avortement est un assassinat, la détresse est accessoire. Tu ne tueras point, çà c’est la loi, personne ne peut la transgresser pas même un pseudo-léglisateur.Les lois sont faites pour rendre les citoyens vertueux et non pour les faire complices de crimes.
Qu’en est-il de la détresse de l’embryon ?
roy
Bravo et merci à ces députés. Qu’avec la grâce de Dieu, cette demande soit entendue en particulier de la foule qui ne pense qu’en terme de money-money. Comme beaucoup de ceux qui lise ce blog, je suis scandalisé que l’état donneur de leçon et détenteur du pouvoir régalien dont il a usurpé l’usage, continue à nous imposer de participer à des crimes aussi horribles que l’assassinat d’enfants. Je voudrais en profiter pour féliciter Mr J.M Leméné pour son calme et sa clarté face à la furie destructive de Roselyne Bachelot, malheureusement pour elle uniquement à l’écoute des démons qui la maintiennent fermement au sol depuis longtemps. Puisse Notre Seigneur la délivrer et la faire tomber de son Grand Cheval comme Saül afin qu’elle aussi se transforme en serviteur de Dieu.
Myriam
Bravo!!!! Et encore bravo
Mais réécouter l’intervention (hélas sur canal+) entre
M Lemené et Bachelot est très intéressant( Bachelot qui mériterait
Une sanction pour mauvaise gestion voire plus quand elle était dite ministre).
ELLE trouve inacceptable de dire aux femmes les dangers que représente Un avortement, elle refuse de dire aux femmes les souffrances que subit l’enfant que l’on tue…..il faut interdire tous les sites qui prennent en compte la dignité et le respect et la LIBERTÉ….
Pourtant juridiquement ça porte des noms…. Dictature. Atteinte aux droits de l’homme, cruauté en bande organisée, crimes contre l’humanité…..
Que font nos bons juristes…..
Pour faire plus simple : à quand l’échafaud sur les places publiques???
Pour les chrétiens et ceux qui respectent la Liberté…..
tessier
S’il n’y a plus de détresse, ce n’est plus qu’un acte de confort, de complaisance. Le remboursement des soins dentaires et de l’optique me semblent bien plus prioritaires.
Lorsqu’on sait que nombre de médicaments sont déremboursés parce qu’ils n’apportent que du confort…
L’idée est excellente. Elle n’a aucune chance d’aboutir au déremboursement, mais elle peut faire réfléchir et ça, ça n’a pas de prix.
d.d
C’est bien la chose la plus efficace à faire, toucher au porte-monnaie pour se faire entendre :
le “dé-remboursement” par la Sécurité Sociale,
car depuis le 28.03.2013,
par décision du gouvernement Hollande,
le remboursement est à 100% pour toutes les assurées sociales.
Il s’agit d’une mesure “incitative”
. qui contribue
– à rendre cet “acte” anodin,
– à déresponsabiliser les femmes
et aussi les hommes qui se sentent encore moins “concernés”
la “pilule du lendemain” est déjà un avortement précoce.
(c’est gratuit!),
. qui encourage à ne pas suivre de contraception moins “avantageuse”
(remboursée selon le régime maladie soit 70% “seulement”
ou pas remboursée du tout).
Constat d’un échec de la politique éducative en la matière,
car de même que certains jeunes ne savent plus ni lire, ni écrire, en sortant de l’école
ils ne savent pas non plus se “comporter” malgré l’éducation “sexuelle” au programme…
L’avortement, lorsque la loi a été votée en 1975, ne devait être qu’une exception d’autant que la contraception avait été autorisée en amont.
Or aujourd’hui la porte-parole du gouvernement Najat Belkacem ose présenter l’avortement comme un “droit”!
Le droit de vie et de mort sur les plus faibles (comme l’euthanasie)…
La France n’applique plus la peine de mort aux criminels,
elle va l’appliquer sans réserve aux innocents.
http://www.service-public.fr/actualites/002618.html
Sécurité sociale
Interruption volontaire de grossesse (IVG) : remboursement à 100% pour toutes les assurées sociales
Publié le 28.03.2013 – Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)
A partir du 31 mars 2013, les frais de soins, de surveillance et d’hospitalisation liés à une interruption volontaire de grossesse (IVG) par voie instrumentale ou médicamenteuse sont intégralement pris en charge par l’assurance maladie.
C’est ce que prévoit le décret n° 2013-248 du 25 mars 2013 relatif à la participation des assurés prévue à l’article L. 322-3 du code de la sécurité sociale.
Cette mesure met fin aux différences de taux de prise en charge par l’assurance maladie : 100 % pour les assurées mineures et 70 % en soins de ville ou 80 % en établissement de santé pour les assurées majeures.
Pierrot
Intelligente idée, et surprenante je l´avoue de la part du groupe UMP.
Comme vous le dites, les lignes bougent, petit à petit.
Stephe
Cette proposition est d’une logique implacable, en retirant la notion “de détresse” déjà à géométrie variable on retire à ce crime légalisé toute raison de remboursement car ce n’est plus qu’un choix purement personnel, or la société n’a pas à se soucier des décisions de confort personnel (puisqu’il n’y a plus de détresse) de qui que ce soit. Faut-il rappeler que la grossesse n’est pas une maladie et que l’Etat qui par ses diverses campagne nous serine l’air du “sortez couvert” ne peut avoir deux discours – dire que les méthodes contraceptives sont efficaces et se suffisent et soutenir par ailleurs un rythme d’avortement dont on voit bien (la dernière décision en cours en est la preuve) qu’il n’est qu’un recours “contraceptif” de type solution finale.