Jeanne Smits revient sur le vote prochain de la résolution en faveur d'un droit fondamental à l'avortement :
"[…]Obtenir l’aval de l’Assemblée nationale française s’inscrit sans doute dans cette démarche sur le plan européen ; pour ce qui est de la France, c’est une manière de justifier l’interdiction de toute objection de conscience, de toute tentative de restriction.
Si l’avortement est un droit fondamental, l’Etat doit aussi le protéger, le faciliter, le rendre accessible. […]"