C’est sous la forme d’une question au gouvernement que Chrstine Boutin a interpellé Gilles de Robien, nouveau ministre de l’éducation dite nationale a propos de la scandaleuse question sur l’avortement au bac.
Première élue a réagir ouvertement, elle dénonce tant l’aspect pernicieux de la question basée sur un texte scientifiquement contestable que le bien fondé de l’avortement et sa substitution par des moyens contraceptifs. Enfin, elle demande que les élèves qui ne seront pas rentrés dans la logique mortifère, ne soient pas sanctionnés et que tous soient informés des conséquences réelles de l’avortement.