Comme en France dans les années 1970, quand on nous racontait que les avortements clandestins s’élevaient à plus de 250000 par an, le Planning familial a fait paraître une étude-propagande pour préparer les Portugais au référendum sur l’avortement. L’AFP souligne que cette étude
"a révélé l’ampleur d’une réalité mal connue jusqu’à présent et ouvert un débat à deux mois d’un référendum sur la dépénalisation de l’avortement".
Car c’est la première fois qu’une telle «étude» est réalisée, nous dit-on. Elle « révèle » que 18000 Portugaises ont avorté en 2005, et que 350000 ont déjà avorté une fois au moins dans leur vie. L’« étude» qui n’en est pas une a été réalisée par le Planning familial, sur la base (unique) d’entretiens avec 2000 femmes.
tite
Attitude “progressiste” sauce Barroso, depuis qu’il est devenu mr Europe son pays doit donner des gages de “modernité”, j’imagine…
Gégé
Puisse notre expérience avoirpréparé aux catholiques de là-bas des anti-corps anti-propagande prêts à servir et àmontrer la félonie de ces jusqu’au-boutistes !
xango
les gynécologues, qui sont dans ce genre de pays les spécialistes les plus riches ,vont voir leurs revenus diminués si l’avortement n’est plus clandestin