Lu dans Var Matin :
"Depuis la promulgation de la loi Veil autorisant l’interruption volontaire de grossesse, le 17 janvier 1975, le nombre d’avortements a baissé puis s’est stabilisé à un peu plus de 200 000 par an en France et de 20 000 en Provence-Alpes-Côte-d’Azur. La région PACA a le triste record du plus fort taux d’IVG après la Corse et l’Ile-de-France : il y est de 20 IVG pour 1000 femmes de 15 à 49 ans alors qu’il est de 15 IVG en France. Record aussi pour les mineures : 14 pour 1000 jeunes filles de 15 à 17 ans, contre 10/1000 en France (chiffre 2004/2005 qui continue d’augmenter, d’après l’Observatoire régional de la santé). Au point que l’enquête nationale en cours opérera un "zoom" sur la région pour en comprendre les raisons."
Et pendant ce temps, au festival de Cannes, un cinéaste présente son film racontant les péripéties d’une Roumaine qui cherche illégalement à se faire avorter de son enfant de "4 mois, 3 semaines, 2 jours". Un hymne au crime de l’avortement.
Michel Janva (merci à YD)
Malleus
“le nombre d’avortement à baissé en France”… baissé par rapport à quoi ? Mais par rapport aux estimations mensongères des promoteurs de l’avortement légal… Dans leurs mensonges, il y avait dix fois plus d’avortements qu’en réalité, et la démographie le démontre : l’année même de l’avortement légal, la France est devenue déficitaire en naissance et a dû recourir à l’immigration pour compenser le déficit.
Dominique
L’article du Monde commentant ce film est proprement hallucinant. Ces gens là vivent dans une réalité virtuelle qui ne connait ni la pudeur ni le respect de la souffrance. Leurs idées leur tiennent lieu de vérité, de pensée et les protègent de la réalité qu’ils refusent de regarder en face. En plus d’être des lâches, ce sont des hypocrites.