L'Etat ne cesse de déverser de l'argent pour la contraception, l'avortement remboursé à 100%. Et en même temps, comme dirait l'adepte de la culture de mort qui nous gouverne, il manque de l'argent pour les maternités. Samedi 23 juin, une manifestation est organisée à Paris pour lutter contre la fermeture des maternités de proximité. Récemment, à l'hôpital de Vierzon, les salariés ont engagé des actions coups de poing afin d'éviter la fermeture pressentie de la maternité. Des groupes de soutien se multiplient pour le sauvetage d'établissements à Bar-le-Duc (Meuse), Remiremont (Vosges), Vire (Calvados), Noyon (Oise), Le Blanc (Indre) ou encore Falaise (Calvados). C'est dans la maternité de cette dernière commune que Christelle, 38 ans, aurait dû accoucher en 2015.
"J'ai failli y passer" :
"Quand ils ont annoncé [sa] fermeture, j'étais à six mois de grossesse". "J'étais au départ suivie par ma maternité. Quand j'ai appris qu'ils n'allaient pas s'occuper de moi, c'est devenu un énorme flou. Il fallait trouver une autre maternité. Il y en avait une à Caen mais ça n'avait rien à voir avec mon petit [établissement] chaleureux". "Si la maternité avait été juste à côté, aux premières contractions on serait partis tout de suite. Mais là, elles étaient trop rapprochées. Je ne voulais pas être sur la grande route, à 110 km/h, quand ça arriverait".
Le 28 octobre, à 4 heures du matin, elle a dû accoucher sur son canapé.
"La maternité était beaucoup trop loin. Je sentais très bien que c'était impossible."
Son mari a appelé le Samu.
"Ils sont arrivés en quatre minutes. Ils étaient six. Ils n'avaient jamais fait d'accouchement". "Ils ne savaient pas comment s'y prendre. C'était pas courant [puisqu'avant] il y avait une maternité à côté." "La position n'était pas celle que je voulais. Le canapé était abîmé, c'était pire qu'une table". "C'était violent, très violent. Mon état de santé, l'état de santé du petit, toutes les complications… Je ne le sentais pas comme [faisant partie] d'un événement heureux. J'avais du mal. Maintenant, avec du recul, j'ai mon petit, il va bien. Je vais bien aussi". "Par contre, quand on me demande une petite sœur…"
Dans Le Maine libre, Charlène retrace la naissance de son enfant, elle aussi dans son salon. Sur le site de Sud Ouest, Cécile raconte son accouchement… dans une voiture.
laurent
Magnifique ! nous allons maintenant ressembler de plus en plus à un pays du tiers-monde ; il est temps de faire la grève des impôts puisque l’Etat n’assure plus ses fonctions premières d’assurer la sécurité des personnes et des biens
yr
Quand on pense qu’on pleure sur les pauvres femmes qui avortaient seules ou étaient confiées à des faiseuses d’anges, accoucher dans les conditions de ces dames, n’est-pas plus ou aussi dangereux pour elles ?
Bernard
On ne peut pas etre partout! financer l’avortement , pardon, l’IVG, favoriser ”invasion migratoire, pardon, les refugies, et rendre possible ce qui est necessaire, un service medical minimal dans les campagnes francaises pour les ” souchiens”
cocorico
Relayer france intox, surtout sur le sujet de l’accueil de la vie… c’est juste bon à se faire troller ensuite au niveau des commentaires.
Exupéry
Mais voyons, il est beaucoup plus important de s’occuper des solides gaillards que sont les “migrants” (et non pas migrateurs, car apériodiques) que des fragiles bébés français !
Cette maternité désaffectée, on pourrait bien en faire un centre d’accueil pour somaliens, comoriens, etc. , non ?
Tonton Jean
Notre pays est en train de se transformer en un pays totalitaire, centralisé et gouverné par des fonctionnaires au service de l’argent mondiale.
IVG ne veut-il pas dire INTERRUPTION D’UNE VIE GENANTE?
DUPORT
C’est dans la même logique d’extermination de masse du peuple, avortements, eugénisme, fermeture des maternités et des hôpitaux , politique anti-familiale, euthanasie, suicide assisté, nourriture empoisonnée, médicaments poisons, vaccins poisons, sang contaminé, médecins en raréfaction ou incompétents, etc. et même limitation à 80 km/h pour augmenter le nombre d’accidents
Clémence
J’ai eu l’occasion d’échanger longuement avec des sages-femmes en hôpital. Elles me faisaient part de leur inquiétude et m’expliquaient le raisonnement suivant :
– pas de jeune pour remplacer le gynécologue qui veut partir à la retraite
– donc risque de fermeture du service gynécologique
– donc risque de fermeture du service maternité
Parce que les femmes préfèrent accoucher là où elles ont été suivies pendant leur grossesse.
Concernant les témoignages d’accouchement compliqué qui pullulent dans les medias, je me demande quand même s’il n’y a pas une volonté de “dégoûter” ou d’effrayer les jeunes femmes de la grossesse et de l’accouchement en général. Qui deviendront les futures clientes de la GPA.
Je ne milite pas pour l’accouchement à domicile, mais j’aimerais rappeler que ce n’est pas dramatique. Le Tiers-monde, c’est l’absence de soins et de nourriture pas l’absence de péridurale …