Une nouvelle étude constate que les femmes qui ont subi un avortement sont plus enclines à maltraiter physiquement leurs enfants. Priscilla Coleman de la Bowling Green State University a étudié plus de 500 femmes qui ont connu des problèmes de négligence ou de maltraitance envers leurs enfants. Elle a constaté « que les femmes ayant subi eu un avortement avaient 144% de chance supplémentaire d’en venir à maltraiter un enfant qui naîtrait par la suite que celles qui n’ont aucun passif de ce genre ». Le Dr. David Reardon de la prestigieuse Elliot Institut a déclaré pour sa part: "L’argument selon lequel l’avortement allait nous débarrasser des abus et autres négligences par le simple fait de nous débarrasser des grossesses non désirées est tout simplement nul et non avenu". Pour lui, avoir un avortement "poursuit une femme pendant de nombreux années", il ajoute qu’à moins d’avoir suivi une sorte de programme de conseil post-avortement, les femmes peuvent se mettre à lutter avec plus de colère, de dépression, de difficulté contre leurs enfants en raison des troubles liés à la "présence" de ‘cet enfant qui n’est pas là".
Ceci explique la citation de Mère Térésa en tête de ce blog…