Un rapport des RG du 21 mars fait état d’une "bande à la délinquance polymorphe". Composée de jeunes d’origine africaine du quartier de Grigny 2 (Essonne), la "Black Guérilla armée", connue sous son acronyme BGA, est dirigée par une fratrie de 5 garçons avec autour d’eux une vingtaine d’adolescents et quelques jeunes adultes. Les gangs noirs américains lui servent de modèle. Des classiques activités de délinquance urbaine, les BGA ont peu à peu versé dans le vol de voitures avec violences (car-jackings). L’un d’eux aurait avoué avoir agi pour le compte de gens du voyage qui commandent les modèles de voitures à voler. Selon les policiers :
"Délaissés par leur père qui reconnaît ouvertement être polygame et dont les épouses seraient logées dans différentes villes d’Ile-de-France, ils ont très tôt été livrés à eux-mêmes, s’enfonçant inéluctablement dans la délinquance".
Le 12 août 2004, ils traînent sur plus de 30 mètres avec une voiture volée un agent qui voulait les contrôler. Le 22 juin 2005, ils déclenchent une bataille rangée entre jeunes et forces de l’ordre à Grigny. Lors de la perquisition réalisée dans la foulée au domicile de l’un des frères, la police découvre un fusil d’assaut avec chargeur et munitions et une carabine à lunette. Mineurs pour la plupart, les séjours qu’ils effectuent en prison, lorsqu’ils y sont condamnés, ne sont jamais longs. Leur ascension criminelle puiserait sa source "dans le fort sentiment d’impunité" qu’ils ressentent.
Olivier
On remarquera que dans ce cas, plutôt généralisé d’ailleurs dans les bandes de banlieues, ce n’est pas “l’islam” qui sert de ciment mais le refus de l’identité française et de ses lois.
Emblématique de jeunes déracinés en masse, trop nombreux pour accepter d’eux-mêmes une nouvelle loi, celle du pays d’accueil. La politique d’immigration a déjà libanisé notre pays.
Ce qui n’empêche évidemment pas l’islam de rechercher par le biais des bandes ethniques de nouveaux adeptes , plus nombreux aujourd’hui qu’il y a 10 ans France, et de proliférer de façon inquiétante.
foucault
Les “bandes armées ethniques” cela peut se réprimer et se “dresser”, il suffit d’en avoir la volonté et le courage mais bien sur il est plus facile de réprimer le français de souche au volant de sa voiture, et surtout plus rentable et moins risqué pour nos “forces de l’ordre”…