Le dernier ouvrage de Jordan Bardella, Ce que veulent les Français (Fayard), a dépassé la barre des 40 000 exemplaires vendus depuis sa parution fin octobre.
Il talonne La Messe n’est pas dite d’Éric Zemmour et ses 45 000 lecteurs.
Le dernier Philippe de Villiers, Populicide, s’est déjà écoulé à quelque 107 000 exemplaires.
D’après le classement GFK, les dernières publications du centriste Thomas Cazenave (Péril sur la démocratie), de l’ex-ministre macroniste Agnès Buzyn (Demain notre santé) et de l’écologiste Marine Tondelier (Demain, si tout va bien), ne figurent pas parmi les 2 000 meilleures ventes hebdomadaires, ni même dans le Top 100 des essais et documents, dont la barre d’entrée s’établit à… 207 exemplaires écoulés.
Xavier Bertrand, Rien n’est jamais écrit, vient de franchir la barre des 200 copies vendues.
Les gauchistes en pleurs dénoncent un complot de Vincent Bolloré, lequel, à travers son empire médiatique (CNews, Europe 1, JDD, Fayard), assure la promotion des livres de droite. Pourtant, les scribouillards gauchistes ont porte grande ouverte dans les médias publics payés avec nos impôts.
Moi j’y vois une explication beaucoup plus simple : victimes de la crise du système scolaire, les gauchistes ne savent pas lire.
