Bonne nouvelle lue dans Sud Ouest ce matin :
"Par manque de bénévoles, l’association s’est arrêtée. C’est un recul dans le soutien aux femmes, notamment face à l’avortement. L'association Planning familial a cessé, sans un bruit, son activité sur Bayonne et sa région. Elle offrait une permanence hebdomadaire pour informer et assister sur les questions de sexualité, couple, contraception, interruption volontaire de grossesse (IVG)?"
Comme pour les médecins, les vocations pour promouvoir le charcutage des bébés in utero manquent, 41 ans après la dépénalisation de l'avortement. Et encore : si le Planning familial perdure ailleurs, c'est souvent parce que l'association est généreusement subventionnée par les pouvoirs publics. Qu'en serait-il si demain l'Etat coupait toute subvention ?