Alors que la classe politique française salue l’élection de Benoît XVI, le président de l’UDF, de sinistre mémoire, trahit de nouveau sa foi (?) : "Je suis moi-même croyant mais il faut savoir marquer la différence entre les domaines politiques et religieux", a-t-il déclaré sur France 3-Ouest. "Une nouvelle page s’ouvre qui j’espère sera aussi positive pour la communauté catholique que la précédente mais il faut bien faire la différence entre le spirituel et le temporel".
A l’évidence, il a soumis le spirituel au temporel.