Le chef des démocrates-chrétiens flamands, Yves Leterme, qui n’est pas parvenu à former une coalition regroupant quatre partis, y a officiellement renoncé en présentant sa démission au roi Albert II lors d’une entretien samedi en début d’après-midi. Le roi a accepté la démission d’Yves Leterme. On ignorait dans l’immédiat quelle mesure Albert II prendrait pour tenter de résoudre une des crises les pires qu’ait connue la Belgique au cours des cinquante dernières années.