Communiqué de Contribuables Associés :
Le conseil d’administration de Contribuables Associés a le plaisir de vous annoncer la nomination de M. Benoît Perrin au poste de directeur général. Consultant en organisation de 2006 à 2016 dans différents cabinets de conseil (Sia Partners, Accenture, Ayming), il met ses compétences au service des collectivités locales, des ministères et des hôpitaux. Son efficacité permet d’améliorer la gestion des finances et des service publics.
Devenu fin 2016 directeur opérationnel de l’Institut de Formation Politique (IFP), école de l’engagement civique, il recrute et accompagne plus de 2 500 jeunes désireux de servir le bien commun, dans les associations, la politique, les syndicats et les médias. En 2020, il participe au lancement d’Action Ecologie, association destinée à préserver les problématiques environnementales de l’influence radicale d’ONG et de partis politiques. Elle compte aujourd’hui plus de 4 000 donateurs. Élu au niveau national au Conseil national de l’enseignement et de la recherche, il œuvre au service des étudiants pour que l’université soit préservée des conséquences des blocages, sources de dépréciation des diplômes et de dégradations multiples.
Extrait d’un entretien qu’il a donné à Contrepoints :
Selon vous, quelle est la plus grande menace pour les contribuables français actuellement ?
Sans hésiter : l’État tentaculaire, qui, à vouloir tout faire, fait tout très mal. Je pense notamment aux missions pour lesquelles nous l’attendons tous : la protection de nos libertés, la défense du droit de propriété et l’assurance de vivre en sécurité. Les missions régaliennes sont elles-mêmes abandonnées au profit de « droits à » dont la liste ne cesse de s’allonger (droit à un logement, à des prestations sociales, à la naturalisation automatique…).
Les Français sont agonis d’impôts comme jamais « et en même temps » la qualité des services publics s’effondre. Rien n’est plus désagréable que de payer sans avoir de contreparties palpables de qualité. Nous devons conduire l’État obèse à restreindre son périmètre d’action pour libérer les forces vives nationales.
Cette volonté doit se traduire, par exemple, par le gel des embauches de fonctionnaires, la suppression du statut général de la fonction publique – excepté pour les fonctions régaliennes -, la mise en place d’une règle constitutionnelle pour contraindre les parlementaires à voter chaque année un budget en équilibre, stopper les subventions aux syndicats…. Notre credo : moins de graisse et plus de muscles !