Le pape s’est exprimé aujourd’hui devant l’assemblée de la Conférence des Evêques Italiens, et a delivré plusieurs messages sur la situation économique, sociale et politique de l’Italie. Benoît XVI a déclaré que les institutions devaient mettre une place "une politique cohérente qui reconnaisse la famille en tant que pivot central de la société, notamment en matière de conception et d’éducation des enfants."
Concernant le soutien financier de l’Etat aux établissements de l’enseignement catholique, le pape a précisé :
"Dans un état démocratique, qui s’ennorgueillit de promouvoir les libres initiatives dans tous les secteurs, on ne peut justifier l’exclusion d’un soutien approprié à l’engagement des institutions ecclésiastiques dans le domaine scolaire."
Sur la question des immigrés, le pape a souligné que quiconque leur apportait son aide devait le faire "dans le respect de la loi faite pour assurer le bon déroulement de la vie sociale".
Alors que le gouvernemnt de Silvio Berlusconi, au pouvoir depuis trois semaines, affiche une volonté de dialogue avec l’opposition, le pape a dit éprouver "une joie particulière" due "aux signes d’un climat nouveau, plus confiant et constructif."
Le chef du gouvernement italien sera reçu par Benoît XVI au Vatican le 6 juin prochain.
Sebaneau
Tant qu’on n’aura pas dénoncé le vol de l’argent des chrétiens pour donner le butin de ce vol à des écoles antichrétiennes, on n’aura pas dit la vérité.
Tant qu’on n’aura pas réclamé la restitution des biens d’église volés par l’état français, on n’aura pas demandé la justice.