… qui pourrait être une relique de la Passion. Zenit rapporte :
Le 1er septembre, le pape Benoît XVI se rendra au Sanctuaire de la Sainte Face, à Manoppello, petite ville italienne de la région des Abruzzes, où est conservé le voile sur lequel serait imprimé le visage de Jésus et dont les traits coïncident parfaitement avec ceux du Saint-Suaire de Turin.
Le pèlerinage du pape […] devrait durer environ deux heures. Le pape adorera l’Eucharistie en silence, vénérera la relique du voile et prononcera un discours.
[…] Certains [tel ce jésuite, en 1999] affirment qu’il s’agit du Voile de Véronique, imprimé au cours du chemin de croix, conservé pendant un certain temps au Vatican. D’autres, qu’il s’agit d’un voile imprimé, comme le Saint Suaire, dans le sépulcre, au moment de la résurrection du Christ.
En 2006 on célèbre le cinquième centenaire de l’arrivée du Voile de la Sainte Face dans les Abruzzes. La pénitencerie apostolique du Saint-Siège accorde l’indulgence plénière, selon les conditions prévues, aux pèlerins qui se rendront au Sanctuaire au cours de cette année jubilaire.
Ici, des photos de la Sainte Face de Manoppello. Ici, plus de détails sur le caractère mystérieux de ce linge.
mobix
Surprenant. Il faut s’y habituer.
C’est plus facile de regarder le Linceul de Turin. On y croit tout de suite, tant l’image est majestueuse, les traits nobles.
Il faut s’habituer à cette douceur extrême.
J’aimerais lire l’avis de gens de bonne volonté.
Victoire
Je ne connaissais pas mais, si le Suaire d’Oviedo est authentique ce qui semble être le cas (coïncidence de 70 tâches de sang avec le Linceul de Turin), le linge que vous présentez ne peut quêtre un autre voile, celui par exemple “de” Sainte Véronique.
Carole D.
A quand un reportage-pèlerinage des rédacteurs du “Beige” ?
Charles Vaugirard
Je suis perplexe. En effet, je ne trouve pas que ce visage ressemble à celui du suaire de Turin…Cette face me semble plus ronde avec une barbe moins importante. Mais bon ce n’est qu’un sentiment à chaud.
Jutte
J’aimerais répondre à Mobix et je suis de bonne volonté.
Mais tous les voyants de Jésus ou de Marie disent qu’il leur est impossible de décrire avec des mots ce qu’ils ont vus.
Il n’est donc pas surprenant que le visage du Christ imprimé sur le voile ou sur le saint Suaire, déroute. C’est un visage d’abord, d’une autre époque. Il y a 2000 ans, les gens ne présentaient pas les mêmes caractéristiques de beauté et de noblesse.
Une chose est certaine, Jésus devait être d’une beauté indéniable, au-dessus de tout trouble, au-dessus de toute critique.
L’important dans ces négatifs se trouve dans les conclusions qui en découlent scientifiquement : la preuve d’une réaction chimique dans un cas (miracle scientifiquement explicable), et d’un miracle sans explication possible, dans l’autre. Ce n’est donc peut-être pas le visage, mais le miracle qui émerveille.