Sous le rideau de fumée de l’agitation médiatico-coronavirale, le génocide français (culturel et moral, démographique, politique) s’accélère :
- Alors que nul souci gouvernemental pour la protection des mères enceintes et de leurs bébés n’a été manifesté en cette période, les acharnées ministricules de la culture de mort et de l’avortement ont fait accomplir une nouvelle avancée au meurtre légal des enfants à naître : l’avortement chimique est désormais permis jusqu’à la neuvième semaine d’aménorrhée. Peu à peu, la banalisation de l’I.V.G. progresse vers celle de l’infanticide.
- Le coronavirus cache de plus en plus le corano-virus islamiste qui s’est propagé par les effets de la tsunamigration et de l’islamigration. Le gouvernement et les médias alignés dissimulent la réalité d’émeutes dans nombre de ville comme Grigny, encadrées par des « grands frères » islamistes, tels qu’il y en a, nombreux, parmi les cinq mille détenus libérés par la ministre de la justice Nicole Belloubet.
Et voilà que cent quatre parlementaires demandent la régularisation de tous les immigrés clandestins en cette période de confinement tandis que des centaines de milliers de sans-papiers s’apprêtent encore à déferler sur les pays d’Europe dès la fin de l’épidémie.
Se développant sur les deux axes de l’avortement (élimination de deux cent mille enfants à naître chaque année) et de l’immigration (plus de deux cent mille entrées chaque année), notre pays subit le processus d’un génocide par substitution.
Il est évidemment sous tendu « culturellement » par toutes les formes du vieux déconstructionnisme freudo-marxiste soixanthuitard modifié peu à peu, il est vrai, par les avancées conquérante islamo-gauchistes.
Face à cela, l’Agrif non seulement ne renonce pas mais développera sa résistance en fidélité à la parole de Jean-Paul II : « Tenez à l’identité culturelle de vos nations comme à la prunelle de vos yeux ».
Dès que possible, ses avocats reprendront leurs actions judiciaires.
Plus que jamais, adhérez ou réadhérez à l’Agrif !