De Bernard Antony, président de l'Agrif :
"Malgré la mobilisation et les moyens énormes des partis et syndicats
de gauche et d’extrême-gauche, et de la myriade d’associations
« citoyennes », pseudo-culturelles, « gays et lesbiennes »
subventionnées et même, grâce, juste au moment, à une providentielle
politique de tarifs dérisoires de la SNCF ; malgré encore l’appui
scandaleux au lobby LGBT-OGM d’administrations et de grandes
entreprises, et sans oublier celui de richissimes prosélytes tel
l’indécent milliardaire Pierre Bergé, pour qui l’on doit pouvoir louer
des ventres de femmes comme des bras de manœuvres, la manifestation en
faveur du projet de loi pour instituer un pseudo-mariage entre individus
de même sexe n’a réuni que le tiers de celle des défenseurs du mariage
naturel du couple humain. […]On observe ainsi la montée d’un racisme non seulement
anti-judéo-chrétien, mais à vrai dire anti-humain dans la poursuite
d’une entreprise nihiliste de désintégration familiale et sociale, de
substitution à la société d’une dissociété, dans le refus, comme l’a
exprimé dans Le Monde la Fraternelle maçonnique Cambacérès, d’un contrat
social fondé sur les lois de Dieu ou de la nature, mais affirmant qu’il
ne saurait en être établi que sur le seul fondement de l’hédonisme
individualiste. […]Voilà pourquoi, même s’il est aberrant de devoir mettre aux voix une
chose aussi naturelle que le mariage entre l’homme et la femme, la
revendication d’un référendum, pour l’heure voie de recours démocratique
contre la dernière monstruosité idéologique des temps modernes,
s’impose. Car l’histoire enseigne que la démocratie totalitaire n’admet jamais
l’élection libre mais uniquement celle dûment contrôlée par sa
propagande et ses polices.Pour le moment, tant qu’il demeure un peu de liberté, il faut
exiger ce référendum que le Big Brother LGBT-OGM n’est pas du tout
assuré de gagner. Car, comme toujours l’idéologie totalitaire se heurte à
l’alliance du bon sens moral et de l’esprit de liberté naturellement
majoritaire dans le pays réel, dans le peuple encore libre."