La confusion grandit au Liban, tandis que la Syrie (soutenue par le terroriste-président libyen Kadhafi) continue de retirer ses troupes. Alors que l’opposition renonce à toute alliance politique avec le pouvoir en place, un nouvel attentat a ensanglanté la capitale, manoeuvre certainement destinée à terroriser la population et à montrer au monde que le retrait syrien favorise l’instabilité.
Le bras de fer se poursuit…