A ceux qui veulent faire peur avec les 100 000 morts du Covid, le professeur Didier Raoult a estimé que ce chiffre est à relativiser.
« Toutes les morts ne sont pas équivalentes », « 88 % des gens qui sont morts du Covid-19 au CHU de Marseille avaient une espérance de vie qui était inférieure à un an ». « Je suis médecin, j’ai de la compassion pour tout le monde. Mais il n’empêche que la perte de chance, ou la perte de vie ou d’espérance, n’est pas de même nature chez les uns et les autres. »
Didier Raoult affirme en outre qu’il y a eu « moins de morts parmi les moins de 65 ans qu’en 2019 ou en 2018 »
Néanmoins, tout le monde se croit malade. Même une personne en bonne santé est soupçonnée d’être “asymptomatique”… Alors tout le monde va se faire vacciner… Et cela fait les affaires de BigPharma. Une troisième dose du vaccin Pfizer devrait probablement être administrée entre six à 12 mois après les premières, avant une vaccination chaque année. C’est ce qu’a annoncé jeudi Albert Bourla, le PDG du laboratoire américain, qui espère ainsi toucher le jackpot.
Le Dr Knock a gagné :
Comme l’écrit Yves Daoudal
on a convaincu des gens qui n’avaient rien qu’ils étaient malades, des centaines de milliers de personnes, et cela continue. On est plus fort que le Dr Knock, qui avait inventé la chose mais pas le mot : « asymptomatique » : le malade qui n’a rien.
Mais cela s’aggrave. Aux « informations » (sic) de 13h sur la 2, il n’était question que des « patients » qui vont se faire vacciner. Des patients qui ne souffrent de rien. Qui ne sont même pas « positifs ». Qui ne sont même pas « asymptomatiques ». Des gens parfaitement normaux sur le plan biologique. Mais qui sont des « patients » pour les piqueurs et les journalistes. Tout Français est désormais un « patient ».
Et le PDG de Pfizer nous « informe » qu’il faudra se faire injecter une troisième dose au bout de six mois, puis se faire vacciner tous les ans.
Non seulement chacun est un « patient », mais il est désormais « patient » à vie. Jusqu’à ce que le vaccin ou un effet secondaire le fasse mourir.
A propos de vaccin qui fait mourir, on m’envoie cette vidéo un peu effrayante dont je ne sais que penser, n’étant pas spécialiste. Je laisse aux spécialistes le soin de contester (ou de confirmer) :
Prout
“100000 morts” de LA covid. AH AH AH AH !!
Faudrait déjà passer la barre des 10000 morts …. en DEUX SAISONS et non une seule !
94% des morts de LA covid ne sont pas mort à cause de mais AVEC la covid. On le sait, cela a été démontré
Ils sont morts par UNE AUTRE RAISON (vieillesse, maladie cardiaque et cancer la plupart du temps)
Meunier
D apres la documentation des fabricants de ces traitements à ARN, l argument pour ne pas se soucier de la dernière vidéo ci-dessus est:
En théorie, l ARN est lu une fois puis détruit + il a une faible durée de vie + en cas de défaut de fabrication (une dizaine de pages dans les rapports) la probabilité qu il puisse déclencher la fabrication d une protéine est négligeable (c est en tout cas ce qui est écrit dans leurs rapports).
Pour les phases qui suivent la simple injection/lecture de l ARN: mécanique immunitaire une fois la protéine spike identifiée comme dangereuse par l organisme ; pas un mot dans leurs dossiers. La proteine spike en question existe sur d autres organismes, aucune mesure de l impact.
Si la théorie est juste, je ne vois pas trop comment le phénomène d emballement évoqué dans la vidéo peut se produire, mais pourquoi pas, et surtout il y a clairement des effets de bord qui ne sont absolument pas maîtrisés.
En revanche, ce que les fabricants ont totalement évacué, c est le cas des personnes atteintes de maladie (parfois asymptomatiques) à base de rétrovirus. Dans ce cas, le risque que l ARN soit lu et intégré a l ADN, puis produit de manière permanente existe (emballement, maladie auto immune etc), et aucune mesure n’a été faite.
Les tests des fabricants arrivent à terme en juillet cette année, mais aucun de ces tests ne mesure ces aspects.
Impossible de savoir qui peut être concerné, et l integration a l adn n est pas une garantie d expression du gene, donc on risque de n avoir aucune certitude sur ces sujets pendant des décennies…
DUPORT
Lorsque le Dr Merrit dit que ces “vaccins” sont concus comme des armes cela devrait suffire !
Elle a travaillé dans l’armée américaine…
ROY
le dernier livre du Professeur PERRONNE “décidément,ils n’ont toujours rien compris” ,malgré l’omerta mediatique, va faire des dégats dans la galaxie big pharma .truffé de références et de citations , il est difficilement réfutable.
PierreMontamat
Excellent extrait, A 18h, c’est l’heure de le pénétration rectale disait Dr Knock ! Et ils l’ont fait avec leur test effrayant…
C’est une religion avec ses dogmes, ses rites, ses officiants et même les sacrifiés sont là !
F. JACQUEL
Au risque de me répéter, j’ai envoyé le message suivant à Santé Publique France, via le formulaire de contact sur Géodes :
“Confirmation de ce que j’ai appris il y a quelques semaines. Sur votre site, on ne parle plus de patients en réanimation. Désormais, on parle de “Nombre de personnes actuellement en soins critiques (SR/SI/SC) avec diagnostic covid-19”. (SR/SI/SC) voulant dire soins de réanimation/soins intensifs/soins continus. Y a-t-il donc une volonté de conserver un niveau élevé des “malades en réanimation” selon la doxa pour justifier les décisions politiques récentes ?”
Je recopie leur réponse :
“Pour permettre un pilotage plus fin des tensions hospitalières, des évolutions ont été apportées au système SI-VIC. Le terme « réanimation », utilisé auparavant pour regrouper l’ensemble des services de soins critiques, est désormais remplacé par « soins critiques », ce qui permet de différencier le service de réanimation des autres services appartenant à cet ensemble (comme les soins intensifs ou les soins continus). [….]
Le 30 mars 2021, 28 570 patients COVID-19 étaient hospitalisés en France (vs 26 818 le 23 mars, soit +7%), dont :
– 5 090 en services de soins critiques (vs 4 655 le 23 mars, soit +9%) (Figures 24 et 25). Parmi ceux-ci, 3 827 étaient en services de réanimation et 1 263 dans d’autres services de soins critiques (soins intensifs ou soins continus) ;
– 15 844 en hospitalisation conventionnelle (vs 14 654 le 23 mars, soit +8%) ;
– 7 134 en soins de suite et réadaptation et 502 en autres unités de soins.”
Il faut noter l’oxymore de l’explication : on regroupe 3 niveaux se soins (réanimation, intensifs et continus) pour mieux distinguer les soins de réanimation (???). Cela confirme ma question : entretenir un chiffre élevé pour entretenir une dictature “sanitaire” anxiogène pour un but inavouable et partiellement inavoué (Big Reset organisé par Klaus Schwab et le Forum Économique Mondial).
Philippe de Geofroy
Patient n’a jamais voulu dire malade ! J’ai une salle d’attente pleine de patients parmi lesquels il y a très peu de malades ! Patienter veut dire attendre !
Prout
Comme la grosse masse de zombies venant se faire “tester” alors que plus de 99,9% d’entre eux ne sont pas malades………. malade de rien du tout (sauf dans leurs têtes) et donc par leur attitude irresponsable vont aggraver la dette et le trou de la “sécu”…
rappel : un test coûte entre 50 et 70 euro (environ)
Prout
En tout cas les choses sont CLAIRES : les chiffres sont DERISOIRES. 28570 malades en France c’est RIEN
Rien comparé à beaucoup d’autres maladies qui ELLES sont graves
5090 en réanimation cest RIEN également
Surtout quand on sait, en plus, que ces chiffres sont volontairement gonflés !!
On est 70 millions à vivre en France , pas 50000 personnes !!!
Meltoisan
“Il est urgent d’attendre” !
Isaac Asimov
DUPORT
La vidéo rejoint ce que disent entre autres les Dr et Pr Cahill, Mikovitz, Merrit et Henrion-Caude
Ce qui est certain c’est qu’ils jouent aux apprentis sorciers avec des techniques pour lesquelles tous les animaux sont morts. Cela en dit long sur la volonté de ceux qui ont créé ces “vaccins” (qui n’en sont pas).