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pirluit
Bon, soyons honnêtes, il s’agit d’une bannière qui présente, en rotation, la traduction du mot “bienvenue” dans toutes les langues enseignées.
Là, vous êtes tombé sur l’arabe, moi j’ai eu l’espagnol.
Pas de quoi en faire un fromage.
loupiot
la page se rafraîchit et change de langue. on voit aussi en italien, en anglais, allemand, espagnol…
mère de six enfants
Quelle est la deuxième langue parlée à Marseille?
R.: le français
car la première est l’arabe…:-)
Matamaures
Charles Martel, au secours!
lama12
J’ai perdu deux ou trois minutes, ce matin, à lire des commentaires au sujet des 10 questions les plus incongrues, posées aux candidats à un poste, dans une grande entreprise, au cours d’un entretien de recrutement.
Si les questions sont affligeantes, les commentaires le sont tout autant, car ils sont bourrés de fautes d’orthographes ! Il y a donc de quoi faire, sachant que leurs auteurs se sont lancées dans la vie professionnelle, avec un véritable handicap.
V
Ah, ouh là là, je suis tombé sur du grec !!
Nicolas
Pour en rester à ladite “Education Nationale”, on lit en ce moment sur différents blogs une lettre édifiante sur les conditions d’enseignement dans l’école sans Dieu (cela se passe dans un collège de Paris 19e, voir plus de précisions ici : http://bonnetdane.midiblogs.com)
“Monsieur le proviseur,
Les conditions dans lesquelles nous sommes contraints d’exercer notre métier ne sont pas tolérables. La semaine dernière, deux collègues ont été agressés physiquement par des élèves, élèves qui n’en n’étaient pas à leur premier coup d’éclat et dont la surenchère dans l’agressivité et la violence à l’égard des adultes n’était que prévisible. Ces incidents, très graves, ne sont que la conséquence du climat délétère qui règne dans l’établissement : incivilités, refus d’obéissance, insultes, violences à l’égard des adultes se sont banalisés au point que les élèves, se sentant dans une situation de toute puissance, n’ont même plus conscience de la gravité de leurs actes. Un tel désordre règne dans les escaliers et les couloirs, qu’il nous est impossible de circuler sans être bousculés, raillés, invectivés, les bagarres y éclatent plus que quotidiennement. Cette situation de violence tant physique que verbale ne devrait pas être.
Pour ma part, je refuse de continuer à être traitée comme une chienne par des enfants à qui j’ai eu le malheur de demander de retirer leur casquette, d’aller se ranger dans la cours ou de me donner leur carnet de liaison. Je refuse de continuer à assister à la complaisance avec laquelle certains adultes confortent ces enfants dans leurs dérives au lieu de tout faire pour les aider à en sortir. Je refuse de continuer à assister, impuissante, à ce gâchis généralisé, nos élèves les plus fragiles étant les premières victimes de notre incapacité, voire notre réticence, à instaurer les conditions nécessaires à leur apprentissage. Je refuse de continuer à participer de ce spectacle affligeant que nous offrons quotidiennement à nos élèves et qui me fait honte.
Qu’en est-il de l’application de l’article 11 de la Loi n°83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires – « La collectivité publique est tenue de protéger les fonctionnaires contre les menaces, violences, voies de fait, injures, diffamations ou outrages dont ils pourraient être victimes à l’occasion de leurs fonctions, et de réparer, le cas échéant, le préjudice qui en est résulté. » – alors que quotidiennement notre intégrité morale et physique est menacée quand elle n’est pas bafouée ?
Qu’en est-il de nos devoirs envers nos élèves, de notre mission éducative à partir du moment où nous nous révélons incapables de simplement manifester notre volonté de les voir appliquer le règlement intérieur, de les protéger d’eux-mêmes et des autres, c’est-à-dire de leur offrir une scolarité digne de ce nom ? Quel avenir leur préparons-nous ?
J’aime mon métier par-dessus tout mais il ne m’est plus possible, dans ces conditions, de continuer de l’exercer et j’ai perdu tout espoir que cela ne change. C’est pourquoi, Monsieur le Proviseur, j’ai l’immense regret de vous présenter ma démission.
Claire-Hélène
Entrepreneur
Avec en première page un article sur la lutte contre l’illetrisme ! Trop fort !
Georges J
Je vous rassure, ils ne savent pas écrire en arabe non plus: ils ont écrit de gauche a droite et pour le second mot, les lettres sont mal reliées.