Selon La Tribune de l’art, les portes extérieures, du XVIIIe siècle, ont été très abîmées et certaines parties ont brûlé même si elles pourront certainement être restaurées. Dans le sas, l’une des deux colonnes qui contenait un escalier en bois a été complètement détruite, avec l’escalier, mais la disposition identique qui lui fait face n’a pas été touchée.
Si le vitrail au-dessus des portes a été détruit à plus de cinquante pour cent, il n’était que décoratif et la perte n’est pas dramatique, d’autant que l’équivalent existe en symétrie qui permettra de le refaire à l’identique. Les dégâts sont en revanche nettement plus graves sur le relief, probablement en stuc, au revers du transept, manifestement du XVIIIe siècle. Une partie est tombée sans qu’on puisse savoir si les morceaux pourront être retrouvés ni dans quel état, tandis que le reste de la sculpture encore en place est très noircie.
Par ailleurs on se demande où La Croix va chercher ses informations :
Esteban
Imaginez 5 minutes un tel sinistre sur la porte d’entrée d’un édifice musulman ou israélite … L’église saint Sulpice fait l’objet de quelques notes laconiques uniquement parce qu’elle est classée “monument historique” !
Willsdorff
L’erreur sur la photo d’illustration est d’origine (La Croix) ou bien du Salon Beige ?
Michel Janva
Copie d’écran du site La Croix
C.B.
Un lecteur du Da Vinci Code à l’origine du sinistre?