Le polyamour comme exemple donné aux enfants par l’Education nationale ? C’est ce que veulent les associations LGBT. Cas concret avec cet article de Libération :
La plaignante avait posté sur les réseaux sociaux ” où elle faisait part de sa vie amoureuse, de sa bisexualité et évoquait le polyamour.“
La question ne se résume donc pas à l’homosexualité mais au fait que la plaignante vantait une vie où le couple ne doit pas exister. Bien entendu, les associations LGBT ont porté plainte.
L’Enseignement catholique de Bayeux dit avoir écarté sa prestataire alors que la plaignante avait diffusé des vidéos sur les réseaux sociaux dans lesquelles elle évoquait notamment sa bisexualité et le polyamour. Elle a déposé mercredi 18 décembre une plainte contre X pour discrimination liée à son orientation sexuelle à la suite de la rupture de leur contrat.
Dans les faits, la plaignante, auto-entrepreneuse, avait obtenu un premier contrat «d’accompagnement à la communication interne et externe de la restructuration de l’Enseignement catholique de Bayeux» en février, suivi d’un deuxième contrat de mai à juillet pour plusieurs milliers d’euros. Mais le 19 avril, par SMS, la présidente de l’Organisme de gestion de l’enseignement catholique (Ogec), association qui gère trois écoles, un collège et un lycée de l’enseignement catholique à Bayeux, indique être «désolée» et «navrée», mais «soumise à la pression des familles de Bayeux qui après avoir visionné votre vidéo, refusent de continuer à travailler» avec l’auto-entrepreneuse, même si elle a «personnellement apprécié» travailler avec elle.
Sur les réseaux sociaux, la plaignante avait posté des contenus où elle faisait part de sa vie amoureuse, de sa bisexualité et évoquait le polyamour.
Romain Lhémery, directeur diocésain de l’enseignement catholique dans le Calvados depuis le 1er septembre, a expliqué que la rupture du contrat, «dont l’Ogec est seule responsable», avait été dictée par sa décision de «geler» la restructuration, à une date dont il «ne se souvient pas». Les associations Mousse, Stop Homophobie et Familles LGBT, gavées de subventions pour faire avancer leur lobbying par voie judiciaire, se sont jointes à la plainte.
ruaux
Il existera toujours des déviants
ExtraEcclesiamnullasalus
Provocation perfide et cynique de la Gedankenpolizei dont le lobby criminel des dégénérés sodomites et lesbiennes pervers a l’habitude : conclure un partenariat professionnel avec une association catholique pour après révéler sa véritable nature de sodomite ou lesbienne dégénéré(e) et criminel(le). Cela dans l’espoir que cette association catholique fasse valoir l’incompatibilité de mœurs et du message posté sur un réseau social pour pouvoir attaquer en justice avec la meute de chiens sodomites et lesbiennes de la galaxie LGBT démoniaque.
La secte LGBT satanique ne cherche pas la tolérance de leur crimes contre l’humanité qui crient vers le Ciel mais la soumission totale de la société à leur lubricité de dépravés et de dégénérés criminels.
Collapsus
Un Ogec “désolé et navré” d’interrompre un contrat de collaboration avec une lesbienne débauchée sous la pression des parents… Tout est dit sur les contraintes internes subies par un établissement catholique sous contrat. Les parents d’élève doivent en tirer les conclusions qui s’imposent.
PK
Oui, c’est largement ce qui est le plus choquant dans ce qui est rapporté.
Qui valide ? Qui analyse et vérifie les contrats des prestataires de l’enseignement privé ? Et où se trouve le code de déontologie que le prestataire s’engage à respecter (en le signant ?) pour pouvoir travailler dans de telles enseignes ?
Bouttin
Contrat “d’accompagnement à la communication interne et externe de la restructuration de l’Enseignement catholique de Bayeux»
On peut savoir à quoi ça sert ?
Grégoire
Effectivement, cet intitulé laisse songeur…
Gaudete
Oui vraiment à quoi ça sert ce machin, décidément ils jettent l’argent des parents par les fenêtres . quant à la présidente de l’OGEC, j’espère qu’elle va sauter avec de tels arguments