Orléans : un militaire agressé pour avoir combattu les djihadistes
A Orléans, un militaire de 22 ans a été violemment pris à parti le 27 août dernier.
Ce jour-là , un voisin, connaissant sa profession, lui aurait reproché
de « défendre les intérêts de la France au Mali », raconte un enquêteur.
Joignant le geste à la parole, il frappe le militaire à la tête avec
une clé de voiture, ce qui lui vaudra cinq points de suture. L’agresseur
s’en prend également à sa propre sœur qui tente de s’interposer.
Peu de temps après, le même militaire est de nouveau la cible du même homme
alors qu’il patiente tranquillement à un arrêt de tram. Coups de pied, coups de poing : l’agresseur aurait menacé de
mort le soldat, lui disant « qu’il n’a pas à intervenir contre des
djihadistes ».
L'agresseur, âgé de 29 ans, né en Libye et de nationalité tchadienne, est connu de la justice. Le parquet a requis son incarcération en vue
d’une comparution immédiate.
Conséquences dramatiques du conflit syrien au Liban
Le gouvernement libanais estime qu’environ 1,4 million de Syriens
séjournent actuellement au Liban, dont 1,1 million de réfugiés. Les
autres auraient déjà vécu au Liban avant le début des hostilités. Sœur
Georgette Tannoury, de la congrégation du Bon Pasteur, dirige à Beyrouth un service de consultations externes
pour les réfugiés, qui s’occupe parfois de 150 Syriens par jour :
« La quantité de Syriens est très élevée ». « Les
rues sont pleines d’enfants qui mendient entre les voitures. Il n’y a
encore jamais eu autant de vols et de crimes dans ce pays que cette
année. Il s’ensuit une augmentation de la frustration au Liban face Ã
tous ces réfugiés. Une dame m’a dit qu’elle avait peur d’envoyer sa
fille seule dans la rue pour faire des courses. »
Étant donné qu’au Liban, contrairement à la Jordanie, il n’existe pas
de camps d’hébergement pour les réfugiés, ceux-ci y sont dispersés sur
tout le pays.
« Ils habitent souvent dans des garages. Des familles
qui, en Syrie, avaient vécu dans des maisons spacieuses, se retrouvent
soudain dans une seule pièce avec quinze autres personnes. Leurs enfants
refusent cette situation et préfèrent vivre dans la rue. »« Une
femme m’a raconté que son mari l’obligeait à se prostituer pour nourrir
la famille. Un père de famille a vendu sa fille de 13 ans à un homme de
60 ans pour avoir de l’argent. Toute la journée,
j’entends ce genre d’histoires »
Manuel Valls doit dissoudre des associations toulousaines
Ces associations : Act-Up Sud-Ouest, Alternative Libertaire, OCML Voie Prolétarienne, les Panthères Enragées, l'Union Antifasciste Toulousaine, s'en sont pris à une paroisse de Toulouse en y déversant du faux sang.
Chaque mercredi, les veilleurs qui se réunissent à Toulouse subissent leur haine.
Obamacare : les Républicains ne lâchent rien
La Maison Blanche a ordonné aux agences fédérales américaines de cesser leurs activités, lundi 30 septembre juste avant minuit.
Peu avant l'expiration du délai, les Républicains de la Chambre des représentants ont annoncé vouloir procéder à un nouveau vote du texte de financement de l'Etat, qui saperait une fois encore la réforme de la santé Obamacare, finançant la culture de mort, fermement défendue par Barack Obama.
Lundi soir, les 54 sénateurs démocrates ont rejeté le texte adopté peu avant par la Chambre des représentants qui prévoyait de reporter l'entrée en vigueur de la loi sur la santé, alors que son application devait franchir une étape cruciale mardi.
Faute de budget voté, plus de 800 000 employés jugés non essentiels sont mis en congés sans solde dès mardi, sans garantie de paie rétroactive. Partout dans le pays, les portes des parcs et musées nationaux vont rester fermées.
Les fonctions régaliennes de l'Etat fédéral – justice, sécurité, FBI, opérations militaires extérieures – restent assurées.
Les démocrates tentent de faire porter le chapeau aux républicains. Mais ce sont bien les démocrates qui, en s'acharnant pour faire entrer en vigueur cette loi finançant la contraception et l'avortement, sont responsables de cette situation.
Ridicule
Merci à Gabrielle Cluzel pour l'entretien qu'elle m'a accordé pour Boulevard Voltaire, à propos des menaces judiciaires de Pierre Bergé. Extrait :
"Nous pensons par ailleurs que, quoi qu’il puisse arriver, ce sera
contre-productif pour Pierre Bergé. Soit il recule en renonçant à porter
plainte, et il sera ridicule, soit il met ses menaces à exécution, et
très franchement, Pierre Bergé contre Le Salon Beige, c’est
tellement disproportionné… que ce sera encore plus ridicule. Cela ne
nous empêche pas néanmoins d’appeler nos lecteurs à prier (nous sommes
catholiques !), et à nous aider par des dons à rembourser nos frais
d’avocat… et plus si nécessaire."
Le département de François Hollande a le plus bénéficié d’un fonds d’aide
Un texte voté en décembre 2012 crée un fonds exceptionnel de soutien aux départements en difficulté. Or, selon un document interne du ministère de la Décentralisation, le principal bénéficiaire de ce fonds d'aide n’est autre que la Corrèze, l’ancien fief de François Hollande, qui a empoché à lui seul 12,3 M€, 15% de l’enveloppe globale. Suivi (hors DOM-TOM) du Tarn (PS, 9 millions), de la Nièvre (PS), des Ardennes (UMP), du Gers (PS) et du Lot-et-Garonne (PS, chacun 4 M€).
Shevchenko : “j’accepterai des dons du diable pour développer le féminisme”
C'est ce qu'a déclaré à Laurence Ferrari la leader des Femen, qui s'était fait remarquer en tronçonnant une croix érigée à la mémoire des victimes du communisme.
Ivan Rioufol mis en examen pour délit d’opinion
… par le Collectif contre l’islamophobie en France, proche de l’intellectuel islamiste
Tariq Ramadan.
Pétition pour avoir le droit de tenir un autre discours sur l’avortement
Aux ministres Touraine & Vallaud-Belkacem : après les affaires Médiator et pilules 3G, ne faites plus de négationnisme sur l’avortement et arrêtez de museler vos opposants !
Les sites qui, comme ivg.net, apportent des bémols sont, eux, qualifiés de « biaisés » parce qu’ils osent inciter les femmes à réfléchir aux conséquences psychologiques de cet acte. Curieusement, aucune voix politique ou médiatique ne se fait entendre pour protester contre cet abus de pouvoir scandaleux.
Plus récemment, les gynécologues Israël Nisand et Brigitte Letombe ainsi que la psychanalyste Sophie Marinopoulos ont publié en mars 2012 une tribune dans Libération pour
rappeler que bien qu’ils soient défenseurs de l’IVG dès la « première
heure », ils ne voulaient pas laisser dire n’importe quoi ! Ils
fustigent littéralement la tendance actuelle qui voudrait faire croire
que le recours à l’IVG n’aurait aucune incidence sur la vie des femmes :
"Nous ne pouvons pas laisser dire que les femmes qui y ont recours
ne sont pas marquées, d’une façon ou d’une autre, par cette expérience.
Nous voyons chaque jour dans nos consultations des femmes qui
nous disent leur souffrance psychologique et leur mal-être parfois de
nombreuses années après, alors qu’elles auraient pu «cocher»
lors d’un sondage que «tout allait bien». La souffrance ne se coche pas,
elle se parle ! Sauf à ne considérer les femmes que dans le registre
physique, sauf à omettre leur vie psychique, on ne peut pas écrire que
l’accouchement présente un plus grand risque que l’IVG.Cette posture, qui date de la médicalisation de l’IVG en France,
revient à dire que l’avortement n’a aucune conséquence dans la vie d’une
femme. Certes elles ne meurent plus ; certes les cases à cocher ne
montrent plus de complications, mais tous les cliniciens qui rencontrent des femmes savent qu’il s’agit là d’un vrai négationnisme : il s’agit de dénier le fait qu’une IVG peut marquer douloureusement une vie. Nous n’avons jamais rencontré de femmes pour qui l’avortement a constitué «un événement fondateur de leur vie d’adulte» et
nous ne voyons pas quelle étude statistique permet d’affirmer cette
énormité. (…) La santé ne se réduit pas au corps mais concerne aussi la
santé psychique qui échappe si souvent aux froides analyses
statistiques.Nous, cliniciens favorables aux droits des femmes à interrompre
une grossesse et à avoir une sexualité sans risque de grossesse non
voulue, nous n’acceptons pas pour autant la banalisation de l’IVG. (…) Nous proposons de ne plus ignorer les difficultés psychiques des femmes qui ont subi une IVG et de tout faire pour prévenir cet événement d’autant plus indésirable qu’il se produit tôt dans la vie des femmes, épargnant toujours les garçons si peu initiés à leur vraie responsabilité.
Demandons à Mmes Vallaud-Belkacem & Touraine:
- D’avoir au moins une position neutre en matière d’IVG,
- De prendre en compte comme le demande le Pr Nisand, la « souffrance psychologique » des femmes et ne plus «banaliser l’IVG »,
- D’avoir une position responsable et volontariste dans la prévention de l’IVG,
- D’arrêter de nier les dangers médicaux et psychologiques de l’IVG,
- De promouvoir des enquêtes médicales sérieuses sur les conséquences de l’IVG.
Proposition de loi pour garantir la liberté de conscience des maires
2 parlementaires s'apprêtent à déposer cette semaine une proposition de loi sur la liberté de conscience des maires opposés à la célébration de mariage entre deux personnes de même sexe.
Or, un sondage de l'institut Ifop sur la question : «Seriez-vous favorable à la création d'une clause de liberté de conscience pour les maires et leurs adjoints?», 54 % des Français répondent oui.
François Hollande accueilli à Cherbourg
Ouest-France évoque quelques petits heurts avec les défenseurs de la famille. Sur son blog, Fikmonskov conteste ces "heurts" et publie quelques photos.
Récit de la folle journée où la Syrie échappa aux frappes françaises…
… et où Barack Obama, dans un retournement magistral de veste, fit perdre la face à François Hollande :
"Les frappes sont pour ce soir." Le samedi 31 août, au
matin, les plus hauts responsables français, civils et militaires, sont
convaincus que le président de la République va déclencher le
bombardement punitif de la Syrie la nuit suivante. Plus étonnant encore :
François Hollande lui-même le croit aussi. Et cette incroyable méprise
va durer jusqu'à la fin de l'après-midi. Entre-temps, pendant une
dizaine d'heures, la machine de l'Etat aura été mise en branle pour
effectuer ces frappes franco-américaines, les "vendre" à l'opinion et en
gérer les conséquences diplomatiques."
La suite ici.
Dans la nuit de vendredi à samedi, le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté une résolution contraignant la Syrie à détruire son arsenal d'armes chimiques avant un an, mais sans sanctions automatiques à la clé. L'occasion, pour l'ambassadeur de Damas, de moquer l'amateurisme de la diplomatie française.
Intention de prières
On m'informe qu'une femme de 40 ans, mère de 4 jeunes enfants, doit
être opérée demain mardi à 14h d'une très vilaine tumeur cancéreuse qui a
touché des organes vitaux.
Pronostic vital plus que réservé.
Des soeurs et du surf
Des religieuses de Draguignan sont venues sur la plage de La Gravière pour assister au Quiksilver Pro France 2013, une compéttion de surf :
10 000 signataires contre la suppression des fêtes chrétiennes
Interrogée dans Le Figaro, Dounia Bouzar renonce à son idée de remplacer des fêtes chrétiennes par l'Aïd ou Yom Kippour.
Néanmoins, notre pétition adressée au Premier ministre peut toujours être signée.
Retour de bâton pour le Théâtre de la Ville
En octobre 2011, le Théâtre de la Ville à Paris s’était fait remarquer en produisant le spectacle blasphématoire et scatologique Sur le concept du visage du Fils de Dieu de Romeo Castellucci.
Aujourd’hui, un rapport de la Chambre régionale des comptes d’Île-de-France met en cause la
gestion, depuis 2006, de ce fleuron de la politique culturelle
parisienne. Sont reprochés : des primes « illégales »
versées à l’ancien directeur, Gérard Violette, lors de son départ à la
retraite en 2006 (98 056 € d’indemnités ainsi que 75 000 € à titre
exceptionnel) ; le choix de son remplaçant, Emmanuel Demarcy-Motta,
effectué arbitrairement, sans concurrence ; le fait que ce dernier ait pris, en 2012, la tête du
Festival d’Automne, en plus de son poste de directeur du Théâtre de la
Ville, bien que son contrat lui interdise de diriger une
autre institution culturelle.
Ce théâtre dépend à 80 % des subventions de la Ville, à hauteur de 10 millions et demi d’euros.
Christianophobie : le Vatican menace d’aller en justice contre une exposition
L'exposition Trialogo, ouverte mercredi 25 septembre dans une galerie de Rome, devait présenter des photos, sur lesquelles on peut voir deux hommes ou deux femmes s'embrasser dans des églises. Elles ont été prises pour la plupart dans des lieux de culte à Rome.
À la veille du vernissage, le Vatican a adressé une lettre à l'artiste le menaçant d'une action en justice si l'exposition était maintenue. Le Saint-Siège a justifié cet envoi par le caractère offensant des photos, qui pourraient «nuire au sentiment religieux des fidèles».
«La Constitution italienne protège le sentiment religieux d'une personne et la fonction des lieux de culte. C'est pour cela que ces photos ne conviennent pas et offensent la spiritualité du lieu.»
Les clichés ont été recouverts dans la galerie.
La mission du jour
Matignon annonce :
"Le Premier ministre a réuni ce
jour les ministres concernés par la question des exceptions au repos
dominical dans les commerces.
Le gouvernement rappelle que le repos dominical est un principe
essentiel en termes à la fois de protection des salariés et de cohésion
sociale.Pour autant, l’existence du travail dominical est une réalité. La
législation et la réglementation applicables comportent des dérogations
pour permettre certaines activités le dimanche. Elles sont
nécessairement de natures diverses car répondant à des besoins
différents (temporaires ou permanents, généraux ou territoriaux…). Une
part de complexité est donc inévitable. Mais ces dérogations ont été
rendues confuses par les interventions réglementaires et législatives de
la majorité précédente.[…] Le gouvernement souhaite que la question des exceptions à ce principe général soit examinée pour clarifier le cadre juridique. C’est pourquoi le Premier ministre a décidé de confier une mission
sur cette question à M. Jean-Paul Bailly. Il devra examiner les
faiblesses du dispositif actuel, éclairer les enjeux de l’ouverture de
certains commerces le dimanche et faire des propositions au
gouvernement. […]"
Le Pape crée un conseil de cardinaux
Voici le chirographe (en
date du 28 septembre) par lequel le Saint-Père institue un Conseil
de Cardinaux :
"Parmi
les suggestions émises au cours des Congrégations Générales
cardinalices ayant précédé le Conclave, figurait l'intérêt de
constituer un groupe restreint de membres de l’épiscopat,
provenant des différentes parties du monde, que le Saint-Père
puisse consulter, individuellement ou collectivement, sur des
questions particulières. Une fois élu au siège romain, j'ai eu
l'occasion de réfléchir plusieurs fois à ce sujet, retenant qu'une
telle initiative serait d'une aide
considérable pour exercer le ministère pastoral de Successeur de
Pierre que les frères Cardinaux ont voulu me confier. Pour
cette raison, le 13 avril dernier, j'ai annoncé la constitution d'un
tel groupe, en indiquant les noms de ceux qui étaient appelés
à en faire partie. Après une mure réflexion, je considère
opportun qu'un tel groupe soit institué par le présent Chirographe
en Conseil de Cardinaux, ayant pour devoir de m'aider dans le
gouvernement de l’Eglise universelle et d'étudier un projet de
révision de la Constitution apostolique Pastor Bonus sur la Curie
Romaine. Celui-ci sera composé des personnes précédemment
indiquées, lesquelles pourront être sollicitées, soit en
Conseil, soit individuellement, sur les questions que je retiendrai
dignes d'attention. Le dit Conseil, dont je me réserve le droit de
modifier le nombre des composants de la façon qui me semblera la
plus adéquate, sera une expression supplémentaire de la communion
épiscopale et de l'aide au munus petrinum que l'épiscopat dispersé
de par le monde peut offrir".