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Syrie : il existe des myriades de groupes armés incontrôlables

Mgr Clément Jeanbart,
Archevêque melkite d’Alep, déclare que dans la nuit d’hier,

« deux tirs de mortiers
ont endommagé le siège de notre Archevêché gréco-catholique
. Il n’y a
pas eu de victimes seulement parce que les tirs ont eu lieu de nuit ».

« La ville est étranglée et la situation empire
de jour en jour
. En tant que résidents, nous nous sentons pris au piège
et nous ne savons pas quel sera notre destin. Les marchandises manquent
ou atteignent des prix très élevés. Les gens ont des problèmes pour
survivre au quotidien ». « les
fidèles continuent à s’enfuir. L’exode se poursuit et ses effets se
constatent également sur les côtes des nations européennes
». « Depuis
deux ans, nous offrons aux fidèles consolation et soutien moral mais
plus le temps passe et plus il devient difficile de les persuader à
rester ». « Et pourtant, nous, chrétiens en Syrie, avons une mission :
celle du dialogue, de la paix, de la réconciliation, de la conservation
de la lumière de la foi, de l’espérance et de la charité. Et nous
voulons être fidèles à cette mission ».

Le vice-premier
ministre syrien Qadri Jamil a lancé au nom du gouvernement la proposition d’un «
cessez-le-feu accompagné d’un processus politique pacifique ». Mgr Jeanbart y est favorable mais « aujourd’hui, il existe des myriades de groupes
armés incontrôlables et également irréductibles
».

21 septembre : accueil du ministre des sports à St Hilaire du Touvet (Isère)

Le ministre des sports est attendu à Saint Hilaire du Touvet samedi pour la 40e Coupe Icare.

Visite prévue samedi à Saint Hilaire du Touvet vers 18h30 au chapiteau « cinéma » sur le décollage sud.

Add : le Ministre sera l'heure
précédente à Crolles à la manifestation “Daisy” (vers 17h30 à l’Espace
Paul Jargot).

Mickaël Khiri ne s’appelle pas Nicolas Bernard Buss

Mickaël Khiri s'était violemment interposé lors du contrôle policier de sa femme intégralement voilée, en juillet à Trappes.
Ce contrôle policier, qui a dégénéré, a été le point de départ de trois jours d'émeutes.

Agé de 21 ans, converti à l'islam depuis l'age de 16 ans, il a comparu devant le tribunal correctionnel de Versailles pour outrages et rébellions contre trois policiers, tous parties civiles, et des violences sur l'un d'entre eux.

Trois mois de prison avec sursis ont été requis, ainsi qu'une amende de mille euros. C'est tout.

Décès de l’Abbé Arène

L'Abbé Arène, prêtre en
Algérie puis aumônier de générations d'élèves notamment à Saint-Exupéry à
Versailles, Saint-Pie X à Saint-Cloud et Saint-Joseph à Draguignan, a
rejoint la Maison du Père dans la nuit du 18 au 19 septembre.

Ses obsèques seront célébrées samedi 21 septembre à 15h à l'église Saint Michel de Draguignan. La Sainte Messe sera célébrée dans la forme extraordinaire du rit romain.

Il sera enterré à La Motte à 10 km au sud de Draguignan dans le caveau de famille.

A
partir de samedi midi jusqu'au départ à l'église, il sera possible de
se recueillir devant son cercueil à l'école saint Joseph de Draguignan,
269 avenue Alphonse Daudet.  

Requiescat in pace

La loi Taubira développe le sentiment d’impunité

Le Collectif de parents et d’associations de familles de victimes, présidé par Philippe Schmitt (le père d’Anne-Lorraine), a refusé de se rendre à la réunion de présentation de la réforme pénale, organisée par le garde des Sceaux. Il répond à Valeurs actuelles :

[…] Nous avons décidé de pratiquer la « politique de la
chaise vide ». Nous ne voulions pas donner l’impression que nous
donnions notre accord à cette réforme. Nous avons refusé d’être
manipulés.

Que reprochez-vous à la réforme pénale envisagée par Mme Taubira ?

Sans
doute, la prison est-elle excessive pour certains délits, quand la
personne n’est pas dangereuse. Mais le dispositif prévu va laisser en
liberté des délinquants particulièrement dangereux. Ce projet de réforme
 met donc en danger la vie d’autrui
. Désormais, si un mari est violent,
qui va oser témoigner ? Qui va oser porter plainte ? Le proxénète n’ira
plus en prison ? Quelle prostituée osera porter plainte ? Cette loi
sert les forts au détriment des victimes.

De plus, c’est une
réforme qui risque d’inciter les gens à assurer eux-mêmes leur propre
défense puisque la justice ne le fait plus.

Les dispositifs prévus pour encadrer les délinquants ne sont-ils pas suffisants ?

C’est
une plaisanterie. Ce n’est pas avec 400 agents de probation que l’on va
suivre tous ces délinquants à la trace. Et par principe, la mesure est
un signal catastrophique envoyé aux délinquants
. Elle ne fait que
développer le sentiment d’impunité. Surtout dans un contexte où les
chiffres de la délinquance explosent.

Où en est la plainte contre X que vous avez déposée suite à l’affaire du Mur des cons ?

Je viens d’apprendre qu’enfin un juge d’instruction avait été désigné. J’ai déposé plainte le 14 mai. Il aura fallu quatre mois."

Vers une jacquerie fiscale ?

D'Yves de Kerdrel dans Valeurs actuelles :

"[…] Michel Audiard s’était écrié, il y a déjà quelques années : « Le jour est proche où nous n’aurons plus que l’impôt sur les os ! » Au-delà
du calembour que le cinéaste et dialoguiste affectionnait tant, cette
phrase prend une résonance particulière aujourd’hui, dans la mesure où
ce sont les mêmes Français qui paient de plus en plus d’impôts et qui
font en même temps l’objet de cambriolages, voire d’agressions ou de
rapines. L’impôt est justifié quand l’État qui le perçoit assure la
sécurité des biens et des personnes, et les grandes missions
régaliennes. Dès lors que ce n’est plus le cas, et que l’impôt est
utilisé à des fins punitives ou comportementales pour satisfaire une
poignée d’écologistes hirsutes, il devient insupportable au propre et au
figuré. Plutôt que de traiter de populistes ceux qui véhiculent ce
discours, les socialistes seraient bien inspirés d’en tirer les leçons
avant de voir monter de toute cette France des invisibles une immense
jacquerie qui les emportera
."

La droite va-t-elle enfin arriver ?

Eric Branca pense que la révolution des idées pourrait être bénéfique à la droite :

"Et si, pour la première fois depuis trente ans, la droite avait le
courage de se recomposer à partir d’idées et non plus d’appareils ?

Certains
échecs font davantage qu’une victoire pour remodeler l’avenir. […] En
réhabilitant le débat d’idées, mais aussi le courage de se dresser
contre ce qu’ils jugeaient inacceptable, les millions de Français qui
sont descendus pacifiquement dans la rue ont fait davantage pour rendre
son honneur à la politique et de la consistance à la droite que des
années de psychodrames autour des mêmes questions : “Le FN est-il un
parti comme les autres ? ” Ou encore : “À partir de quel salaire est-on
riche ? ”

Parce qu’ils ont choisi d’aller au coeur des choses en
se moquant bien des appareils partisans et de leurs querelles
picrocholines sur le cumul des mandats, les électeurs de droite ont
commencé à reconstruire la maison de la seule façon vraiment pérenne :
par les fondations.
Là réside peut-être la première vraie bonne nouvelle
de l’ère Hollande."

Plus personne ne supporte les partis qui mènent une politique à l’eau tiède

Guillaume Peltier, fondateur de la Droite forte (première motion de l'UMP) et vice-président de l’UMP, déclare à Valeurs actuelles :

"[Il faut] enfin substituer à la droite des égos, la droite des idées. Je me
réjouis d’ailleurs que grâce à la démocratie militante, symbolisée par
la victoire de « la Droite forte », que j’ai fondée avec Geoffroy
Didier, la « droite d’en bas » ait pris le pouvoir. Nous sommes à un
tournant : la droite de demain sera courageuse ou ne sera pas
. […]

C’est pourtant au Front national que se réfugient les déçus de l’UMP !

Voilà
pourquoi il nous faut passer du quinquennat du verbe au quinquennat des
actes.
Durant ses campagnes de 2007 et 2012, Nicolas Sarkozy a
révolutionné la parole politique en s’adressant avec franchise aux
Français. A l’Elysée, il a initié les réformes les plus courageuses. Ce
n’est pas parce que sa campagne était trop à droite, en 2012, qu’il a
perdu, mais parce que les Français lui ont reproché de ne pas en avoir
fait assez pendant cinq ans
. Aujourd’hui, au droit d’inventaire du
passé, nous devons privilégier le devoir d’inventer l’avenir. […]

La
politique du bla-bla, ça suffit !
La droite doit désormais proposer aux
Français une grande révolution civique, politique, économique et
sociale […]. Reste maintenant à la droite d’avoir le courage de
les appliquer quand elle sera au pouvoir
. Perdre son âme en politique,
c’est promettre lors des campagnes et ne pas faire quand on est aux
responsabilités. Nous sommes la nouvelle génération, nous ne sommes pas
comptables des erreurs du passé, nous sommes donc légitimes pour porter
haut les couleurs d’une droite qui, enfin, porterait nos idées au
pouvoir. Plus personne ne supporte les partis qui mènent une politique à
l’eau tiède désespérante pour les Français : ce temps-là est révolu. Il
nous faut désormais mener la révolution des idées et élire des hommes
politiques courageux
.

Quelles leçons tirez-vous de l’immense mobilisation contre le « mariage pour tous » ?

La
France qui s’est dressée contre cette loi a perdu le combat législatif,
mais elle a gagné le combat culturel.
[…]"

Familles : après le matraquage dans la rue, le matraquage fiscal

Lu dans Valeurs actuelles :

V"Une “pause fiscale”, comme celle qu’appelait de ses voeux François
Hollande à la fin du mois d’août ? Quelle pause ? On devrait plutôt
parler d’enfer fiscal puisque, après 2013, où les prélèvements
obligatoires atteindront un nouveau record à plus de 46 % du PIB, la
pression sur les contribuables s’alourdira une nouvelle fois en 2014,
d’au moins 12 milliards d’euros, dont 10 milliards payés par les seuls
ménages. C’est ce qui ressort du projet de budget 2014 présenté en
Conseil des ministres. […]

Les contribuables auront une autre appréciation lorsqu’ils
recevront en septembre 2014 leur avis d’imposition sur leurs revenus de
2013, et notamment les familles, à qui le projet de budget — il modifie
en profondeur plusieurs règles relatives au calcul de l’impôt sur le
revenu — réserve un sort tout particulier
. S’il fallait encore donner
une preuve de la haine du gouvernement envers la famille, la voilà !

Premier
dispositif visé, le quotient familial. Créé après la guerre dans le but
de favoriser la natalité, il fait varier le montant de l’impôt sur le
revenu (IR) en fonction du nombre d’enfants ; un mécanisme de
plafonnement a toutefois été mis en place pour limiter l’effet de ce
quotient dans le calcul du montant de l’impôt. En octobre 2012, l’actuel
gouvernement l’avait réduit de 2 336 à 2 000 euros par demi-part ;
c’était une des promesses de campagne de François Hollande : « Je rendrai le quotient familial plus juste en baissant le plafond pour les ménages les plus aisés. » En
2013, cette mesure concerne 883 000 foyers fiscaux, qui perdront en
moyenne 555 euros. Et que dire de la création d’une nouvelle tranche
supérieure du barème de l’impôt à 45 %, de la limitation à 10 000 euros
du montant des niches fiscales, du gel du barème de l’impôt sur le
revenu, du changement de la fiscalité des revenus du capital, de la
suppression de la défiscalisation des heures supplémentaires
, etc. ?"

Un élu radical de gauche condamné pour violence sur sa femme

Lu ici :

"Antoine Rouzaud, l'élu radical de gauche de Marseille Provence
Métropole, vient d'être condamné à 18 mois de prison dont 8 avec sursis
ce jeudi après-midi. Il est reconnu coupable d'avoir aspergé d'essence
son épouse et de l'avoir menacée avec un hachoir et un marteau
."

Mais le tribunal lui a épargné le mandat de dépôt. Antoine Rouzaud, ami d'Alexandre Guérini, a quitté le tribunal, libre.

Les élections municipales, pour quoi faire ?

Extrait de la réponse de Jean-Yves La Gallou :

"[…] Entrer dans une municipalité n’a de sens que si l’on y va dans un
esprit de résistance ou de reconquête
. Quitte à choisir un secteur de
combat et s’y consacrer et à celui-là seul ! Les terrains d’exercice et
de manœuvre sont nombreux : les écoles, la culture, le patrimoine, les
cantines, les subventions, les locaux municipaux, l’urbanisme, les
paysages, les impôts.

Sur les écoles, s’intéresser au contenu, pas seulement aux locaux

En matière scolaire, il ne faut pas s’intéresser seulement à
l’intendance mais au fond. Comment ? En fédérant les parents d’élèves
qui en ont marre des dérives politiquement correctes dès le primaire. Ou
en boycottant l’achat d’ouvrages de désinformation :
histoire-propagande ou théorie du genre
. Et puis en aidant des écoles
indépendantes
à trouver des locaux.

Sur les cantines, défendre l’identité culinaire régionale et nationale

Il faut refuser les interdits alimentaires étrangers ainsi que tout
achat de viande halal ; et revenir à des menus plus traditionnels tout
en privilégiant le localisme. Il faut retirer le contrôle des assiettes
des enfants (et des personnes âgées) aux grands oligopoles de la
distribution alimentaire. Former le goût et remettre du sens :
proximité, produits français, plats régionaux, cochon, agriculture
raisonnée ou bio, le tout servi par des entreprises locales.

Sur le patrimoine, valoriser l’identité locale

Il faut veiller sur l’entretien des bâtiments historiques et des
églises
, cesser de sacrifier les musées et remplacer les minables logos
commerciaux par les blasons enracinés : il faut mettre les
« communicants » hors d’état de nuire et faire revenir le temps des
« armes de la ville » en choisissant des visuels enracinés !

Sur les fêtes, respecter les traditions et œuvrer au ré-enracinement

Chaque ville, chaque bourg, chaque village a son histoire, ses fêtes,
ses traditions, sa toponymie, ses sociétés locales, tout ceci mérite
d’être respecté et parfois ranimé. Les noms des places, des rues, des
lieux de convivialité ne doivent pas être « idéologiques » mais
enracinés dans l’histoire et la géographie locales. Les sociétés locales
d’amateurs (des arts, de musique, de théâtre ou de danse, d’histoire)
doivent être mieux considérées par les professionnels et les
« sachants ».

Sur la culture, protéger le pluralisme et privilégier l’ « art caché » plutôt que le non-art contemporain

Vaste chantier ! Il faut rétablir la pluralité et la diversité dans
les bibliothèques municipales, au cinéma, au théâtre. Sans sectarisme,
bien sûr, mais aussi sans accepter le sectarisme des autres. Et cesser
de céder aux sirènes ridicules du non-art contemporain. Retrouver
l’ « art caché », selon la jolie expression d’Aude de Kerros.

Sur les subventions, les supprimer pour les nuisibles

Il faut taper dans la butte et cesser de subventionner les
nuisibles : les syndicats politiquement corrects, les lobbys
homosexualistes, antiracistes et immigrationnistes, les associations
étrangères, les communautaristes musulmans (et autres), tout ce petit
monde doit être mis à la diète. Qu’ils se financent avec l’argent de
leurs adhérents, pas avec celui des contribuables ! L’argent des
contribuables n’a pas à financer les mosquées ni les pseudos centres
« culturels » islamiques (ou pentecôtistes ou israélites, d’ailleurs). […]"

La loi sur le non-cumul des mandats va probablement terminer aux oubliettes

A propos de la loi sur le non-cumul des mandats, à laquelle les sénateurs se sont soustraits, Il y a une chose qui n'a guère été dite dans la presse et qui est pourtant une circonstance aggravante : cette chose rend le dispositif sénatorial particulièrement (et
vicieusement) génial, au point qu'il est loin d'être impossible que cela
fasse capoter l'ensemble du texte, y compris à l'Assemblée
.

Comme toujours quand il est question d'élection des parlementaires, il
n'y a pas seulement une loi simple, mais aussi une loi organique
.
Or, une loi organique relative aux sénateurs ne peut être adoptée par
l'Assemblé nationale seule : il faut que le sénat la vote en termes conformes.
Ce qui fait que, si l'Assemblée rejette le texte sénatorial (ce qui est assez
probable), ce ne sera sans doute pas pour imposer le non cumul aux
sénateurs… mais, paradoxalement, pour l'élargir aux députés.

Concrètement, voilà comment les choses peuvent se passer : le texte a toutes
chances d'être voté à l'assemblée sans l'exception sénatoriale. Par conséquent,
le sénat le refusera. L'Assemblée ayant le dernier mot, la loi sera votée comme
cela. Les sénateurs saisiront le conseil constitutionnel et ont de fortes
chances d'obtenir la censure de l'article qui les concernent. Or, cet
article concernera aussi, désormais, les députés. Par conséquent, les
députés, en faisant mine de s'offusquer de la résistance sénatoriale,
voteront contre l'interdiction du cumul
.

Naturellement, cela dépend du jugement du conseil constitutionnel, mais il est fort probable
qu'il soit aussi soumis au gouvernement qu'il ne l'a été pour la loi Taubira (où
il y a une présomption sérieuse de penser qu'il a répondu avant de
lire la saisine, puisque plusieurs questions, pas tout à fait
négligeables, ne sont tout simplement pas évoquées dans sa "réponse").
Ce qui signifie que soit l'Assemblée suit le sénat, auquel cas les sénateurs
pourront cumuler; soit l'Assemblée ne suit pas le sénat, auquel cas il est très
probable que les députés et les sénateurs pourront continuer à cumuler. Et Hollande pourra s'abriter derrière le conseil constitutionnel pour justifier le non-respect de sa promesse électorale.

Conférence maçonnique dans une église

La loge franc-maçonne de Coutances, Liberté et Progrès, propose une conférence le samedi 28 septembre à 15 h à l’église Saint-Nicolas.
Elle sera donnée par Christophe Richard qui viendra parler de « franc-maçonnerie et spiritualité ».

Rappelons que :

"Le
jugement négatif de l’Eglise sur les associations maçonniques demeure
donc inchangé, parce que leurs principes ont toujours été considérés
comme inconciliables avec la doctrine de l’Eglise
, et l’inscription à
ces associations reste interdite par l’Eglise. Les fidèles qui
appartiennent aux associations maçonniques sont en état de péché grave et
ne peuvent accéder à la sainte communion."

Le cours Alexandre Dumas, école hors contrat en banlieue difficile

Le Figaro évoque le cours Alexandre-Dumas, une école hors contrat qui accueille 85 élèves de «tous niveaux et toutes origines», à Montfermeil (le dernier numéro de L'Homme Nouveau consacre son dossier à ce sujet) :

"Uniforme que les élèves doivent mériter,
costume cravate pour les enseignants, vouvoiement de rigueur, focus sur
la maîtrise de la langue française en primaire, activité physique à
raison de 7h30 par semaine. Nous sommes en Seine-Saint-Denis, à
Montfermeil, qui fut en 2005 le théâtre d'affrontements urbains
. Et si l'école privée Alexandre-Dumas
a opté pour un uniforme made in banlieue – sweat à capuche vert pour
les garçons, bordeaux pour les filles -, il a aussi fait le choix de
méthodes d'enseignement classiques.

L'école a ouvert ses portes en 2012, avec 6 élèves. Elle en compte 85 lors de cette rentrée. Une école pas comme les autres, «libre» ou «indépendante»
suivant le vocable utilisé. Entendons par là, une école privée hors
contrat, qui se veut une alternative au système scolaire classique
,
lancée «pour essayer d'apporter une réponse à l'échec scolaire de
masse», explique le dossier de presse adressé aux journalistes, invités à
une visite le 10 septembre. Une belle opération de communication.

Il
faut dire que l'école Alexandre-Dumas a de quoi faire rêver. Ouverte
aux élèves de «tous niveaux et de toutes origines», financièrement
accessible
(750 euros par an, avec possibilité de bourse), pédagogie sur
mesure, rythmes scolaires adaptés, déjeuners partagés avec des
professeurs disponibles de 7h45 à 19h, lien étroit avec les parents,
prévention des «conflits ethniques par structuration de l'école en
groupes de solidarité interâges»… Le tableau est parfaitement
idyllique.

«Sa
fréquentation reflète fidèlement la population de Clichy-Montfermeil»
,
explique encore le dossier de présentation. Si l'école n'a pas
d'étiquette confessionnelle et accueille, de fait, nombre de musulmans,
les familles n'ignorent en rien son orientation catholique.
Derrière cet
établissement pilote, Anne Coffinier énarque, normalienne et catholique
bien connue dans le milieu des écoles libres. Directrice générale de la
Fondation pour l'école, elle mène depuis quelques année une croisade
pour «susciter le renouveau éducatif en France».

Le cours
Alexandre-Dumas, qui compte actuellement sept professeurs, a puisé ses
pédagogies dans des œuvres éducatives comme l'Eau vive, chez Baden
Powel, fondateur du scoutisme, ou encore Don Bosco. Son directeur,
Albéric de Serrant, a fait ses armes à la fondation d'Auteuil et chez
les Frères Hospitaliers de Saint-Jean de Dieu.

L'initiative
est financée par la Fondation Espérance banlieue, créée en 2012 pour
soutenir la création d'écoles indépendantes en banlieue
. Coût moyen par
élève? 3658 euros par an, contre 5730 dans le public à l'école primaire
et 9670 au collège. […]"

Poutine : “L’Occident a perdu ses propres valeurs, comme en témoigne le mariage gay”

au cours du forum de Valdai (nord-ouest de la
Russie), et alors qu'il se trouvait juste à côté de Romano Prodi, rival
de Berlusconi, Vladimir Poutine n'a pas fait dans le politiquement correct :

"On juge Berlusconi parce qu'il vit avec des femmes. S'il était
homosexuel, personne ne s'en prendrait à lui
".

"L'Occident a perdu ses propres valeurs,
comme en témoigne le mariage gay. Sans les valeurs enracinées dans le
christianisme et les autres religions du monde depuis des milliers
d'années, sans respect pour les principes millénaires de moralité,
inévitablement, les individus perdent leur dignité humaine.
"

40 Days for Life recommence le 25 septembre

Aux Etats-Unis, le concept de "veilleurs pour la vie" existe depuis 6 ans déjà, avec succès :

"La campagne d’automne des 40 Days for Life
se déroulera du mercredi 25 septembre au dimanche 3 novembre. Cette
initiative de catholiques américains de vigiles de prières 24 h sur 24
et 7 jours sur 7
, commencée modestement à College Station au Texas voici
six ans, est devenue au fil des campagnes – désormais deux chaque
année : automne et Carême – la plus formidable initiative de défense de
la vie à naître au monde
. La piété et les efforts de centaines de
milliers de veilleurs ont permis de sauver 7 536 enfants à naître –
nombre officiellement attesté –, provoqué la fermeture de 41 avortoirs,
la conversion de 83 employés de ces usines à donner la mort… Elle a
mobilisé, pendant six années, 16 000 paroisses catholiques ou
congrégations protestantes, et bénéficie du soutien des évêques
américains. Pour cette campagne d’automne, des vigiles se tiendront dans
306 villes des États-Unis et dans huit autre pays

Americatho
s’est associé à sa manière et depuis plusieurs années à cette magnifique
initiative en invitant ses lecteurs francophones à la prière aux
intentions des 40 Days for Life, et en leur suggérant de prier une dizaine de chapelet, c’est-à-dire 10 Ave Maria par jour et pendant les quarante jours
de la campagne. […]"

Les mères veilleuses à Bourg en Bresse

Les mères veilleuses sont à Bourg en Bresse jusqu'au samedi 21 septembre. Vous pouvez les rejoindre et les contacter : [email protected]

Voici quelques échanges de ces derniers jours : une jeune femme travaillant en milieu carcéral, très réceptive au discours des mères veilleuses. Elle est consciente de l’importance de repères stables pour la construction d’un enfant et constate que la stabilité d’une famille est le meilleur antidote face à la délinquance. Elle manifeste de l’intérêt sur l'explication du gender à l’école.

Deux jeunes paumés sont venus s’asseoir sur les chaises pliantes des mères veilleuses en début d’après-midi : enfants de la DASS, élevés et maltraités dans des familles d’accueil, ils ont dit avoir souffert de l’absence de père. Ils voulaient faire déplacer la pancarte, sur le passage, pour qu’elle soit encore plus visible.-

Bonne conversation avec deux jeunes en première année de droit, très conscients des enjeux.

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Place Vendôme : une sentinelle trainée à terre

Pour avoir osé être restée debout :

S

Vincent Lambert, 37 ans, doit mourir

De Jeanne Smits :

"Tétraplégique et en état de conscience minimale, il ne demande que
ça, a décidé son médecin, Eric Kariger. Après une première tentative qui
a échoué, celui-ci vient de convoquer, par une lettre sèche et sans
objet, les parents du jeune homme et ses frère et sœur opposés au «
protocole de fin de vie » déjà engagé une première fois au mois d’avril,
à un « conseil de famille » le 27 septembre. Sans même prendre la peine
de les consulter pour se mettre d’accord sur une date.

Les parents de Vincent Lambert savent évidemment de quoi il retourne :
le 27 septembre, on leur dira que leur fils doit mourir, qu’ils le
veuillent ou non
. Le Dr Kariger l’avait annoncé rageusement au mois de
mai lorsqu’il avait été contraint par la justice de réalimenter Vincent
Lambert : il entend relancer la « procédure collégiale » mise en place
par la loi Leonetti sur la « fin de vie » pour prendre une décision de
mise à mort par suppression de l’alimentation
. Dans les clous, cette
fois : sans omettre de « consulter » les proches de son patient comme il
l’avait fait dans un premier temps, ce qui lui avait valu d’être
désavoué par le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, le 11
mai, qui à la demande de M. et Mme Lambert et d’une sœur et d’un frère
de Vincent avait constaté une « atteinte grave et manifestement illégale » à « une liberté fondamentale » : le droit de vivre de Vincent Lambert et le droit de ses proches qui ne souhaitent pas le voir tué.

Mais même si le médecin n’avait pas caché son intention de
recommencer, les parents Lambert l’auraient appris ces derniers jours
par voie de presse. Partout on parle de cette réunion de famille, de la
volonté de remettre en route l’« euthanasie passive ». « Compte tenu de
l’état de Vincent, une réunion a été programmée pour la fin du mois avec
toutes les parties concernées pour expliquer notre position avant
d’engager un protocole de fin de vie
», a déclaré Kariger, alors que de
nombreux éléments du dossier médical de Vincent Lambert sont donnés au
public.

[…] Qu’on ne nous parle pas de « laisser mourir ». Vincent Lambert n’est
pas en fin de vie. Il n’est pas malade. Il est handicapé, profondément
handicapé – mais il n’est plus en état végétatif
comme il le fut un
temps après l’accident de la route dont il a été victime il y a cinq ans
: il est dans un état « pauci-relationnel », de conscience minimale, ce
qui veut dire qu’il a conscience (combien ?) de son entourage, qu’il
réagit (comment ?) à la présence de ceux qu’il aime et qu’il éprouve des
sentiments. On ne sait quel est son degré de conscience. Mais on sait
qu’il existe. […]

Cesser d’alimenter une personne est d’une rare violence. Les
journalistes de la presse « convenable » semblent ne même plus s’en
apercevoir – c’est dire l’extrémisme insidieux de ces gros médias qui ne
s’étonnent même pas de voir un homme s’arroger un droit de vie et de
mort sur son semblable.

Vincent Lambert est aujourd’hui dans un service où il n’a rien à
faire – ni vieux, ni en fin de vie, il devrait être accueilli par un
service spécialisé pour les grands handicapés, et d’ailleurs un
professeur en neurologie, spécialiste d’éthique, lui offre une place
dans un hôpital de l’Est de la France
. Kariger ne veut pas. Vincent
Lambert devrait recevoir des soins adaptés à son état : on lui a
supprimé la kinésithérapie.

Ses parents vont engager plusieurs procédures pour sauvegarder sa vie."

Franc-maçonnerie, partouze et drogue

A Battle Creek (Michigan), plusieurs allées et venues suspectes ont
été constatées devant des locaux appartenant à un temple maçonnique et plusieurs personnes nues ont été aperçues derrière les vitres du bâtiment. La police est donc allée voir et la
scène découverte était surréaliste
, à tel point
que le premier policier à avoir passé la porte dit avoir été « choqué », la situation étant « hors de contrôle » .

« J’ai vu un couple au milieu d’un rapport sexuel violent, entouré de nombreuses femmes nues, de drogue et d’hommes filmant la scène ».

Une journaliste rapporte avoir pu discuter avec quelques personnes présentes sur place qui lui ont dit que ce n’était « pas la première fois qu’une partouze se déroulait dans le temple. »

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