2 septembre : accueil de Jean-Marc Ayrault à Saint-Jean-de-Braye
Jean-Marc Ayrault et le ministre de l'Education nationale, Vincent Peillon, se rendront lundi matin dans un lycée professionnel à Saint-Jean-de-Braye (Loiret) à l'occasion de la pré-rentrée des professeurs.
Le Premier ministre, accompagné de M. Peillon et du ministre délégué à la Réussite éducative, George Pau-Langevin, se rendra lundi à 11H00 au lycée professionnel Henri Gaudier-Brzeska.
L’enfant commence à apprendre le langage in utero
Pour les loueurs de ventre comme Pierre Bergé, cette nouvelle ne va pas faire du bien :
"On sait désormais que, grâce aux sons qui lui sont parvenus in utero, le nouveau-né a analysé et décrypté un certain nombre d'informations : il reconnaît (et préfère) la voix de sa mère, le générique du feuilleton qu'elle a regardé tout au long de sa grossesse, mais aussi, plus sérieusement, les inflexions de ce qui sera sa langue maternelle. Une équipe a d'ailleurs montré en 2009 que la douce mélodie des pleurs du nourrisson était façonnée par cette langue maternelle.
Tous ces indices laissent
penser que le cerveau du fœtus est capable de commencer à décrypter le
langage et d'en mémoriser certains éléments. Toute la difficulté
consiste à confirmer cette hypothèse et c'est ce petit tour de force que
vient de réaliser une équipe de chercheurs finlandais et néerlandais dans une étude publiée le 26 août dans les Proceedings de l'Académie des sciences américaine. […]"
Portrait du pilote de l’ULM “Hollande démission”
Lu dans Le Figaro :
"Comme la plupart de ces nouveaux militants, il n'avait
jamais manifesté avant le grand rassemblement du 24 mars 2013 contre le
mariage pour les couples de même sexe ; ne s'était jamais engagé en
politique. Agé d'une trentaine d'années, brillant – il est diplômé de
polytechnique et d'une grande école de commerce -, c'est pourtant un
idéaliste. La meilleure partie de sa vie, raconte-t-il: l'armée,
quelques mois en Côte d'Ivoire où, après la fin de la guerre civile, il a
travaillé auprès d'organismes de désarmement. «J'avais l'impression
d'être utile, comme maintenant.»Il
a fallu les gaz des CRS et quelques heures en garde à vue pour que tout
change: le jeune entrepreneur est devenu l'un des plus ardents
militants contre le mariage pour tous. Avec les amis qu'il a rencontrés
sur le pavé, les idées fourmillent: le «Camping pour tous»: un sit-in
devant le Sénat, 70 gardes à vue, c'est eux. Puis, le 14 juillet,
nouvelle provocation: ils achètent 150 sifflets pour que le Président
soit copieusement hué lors de son passage sur les Champs-Elysées. Ça
marche un peu trop bien… La police le repère. En essayant de lui
arracher sa caméra, les agents lui cassent un pouce, dit-il. David Van
Hemelryck a quelque chose du paysan breton: calme et têtu comme une
mule. Il est vexé et ne va pas s'arrêter là. L'idée de la banderole naît
ce jour-là. «Nous voulions dépasser le cadre de l'engagement contre la
loi Taubira, inciter les gens à se mobiliser contre ce Président
impopulaire et incompétent» explique Agnès Berthéol, une mère de famille
qui s'est mobilisée à temps plein pour le succès de l'opération.En
quelques jours, le jeune homme et son équipe de choc, une dizaine de
bénévoles ultraconnectés, vont monter l'opération. Soit: obtenir le
brevet nécessaire pour piloter un ULM, fabriquer la banderole, acheter
un avion… Sans le sou, il se fait prêter près de 30 000 € par des amis.
Le vendredi 9 août, il achète sa machine, le lendemain il survole sa
première plage. On a jasé sur les serviettes de plage au passage de la
banderole: c'est drôle, c'est stupide, laissez-nous bronzer en paix…
David Van Hemerlyck et ses amis ont obtenu ce qu'ils voulaient:
réveiller les dormeurs. Sur la route, il y a eu quelques contrariétés:
de l'eau mystérieusement introduite dans le réservoir, un pneu crevé,
une sortie de piste, les multiples contrôles de police, des difficultés
pour trouver un aérodrome où atterrir qui remettent chaque jour toute
l'intendance en question. Mais les vents contraires semblent renforcer
sa détermination.Car David Van Hemelryck n'est pas aussi
seul qu'il en a l'air. Arrive bientôt derrière lui une adorable petite
famille, boucles blondes et robes à fleurs. Des sympathisants qui l'ont
hébergé pour la nuit. Ils sont comme ces dizaines d'anonymes qui se sont
relayés pour accueillir le jeune pilote épuisé, le nourrir, laver ses
vêtements, lui fournir de l'essence et le raccompagner le lendemain
matin. Depuis son départ de Pau, il a ainsi remonté tout le littoral
ouest aux commandes de son petit avion, banderole déployée:
quarante heures de vol, 2 800 kilomètres parcourus, 12 étapes. La
plaisanterie potache s'est transformée en un marathon harassant…"
Portrait du père Laurent-Marie Pocquet du Haut-Jussé
Le père Laurent-Marie Pocquet du Haut-Jussé, qui vient d'être élu supérieur des Serviteurs de Jésus et de Marie, répond à l'Homme nouveau :
"Je suis entré à Ourscamp en 1988, à 19
ans, pour y faire ma formation puis je suis parti en Argentine un an
avec Points-Coeur. J'ai ensuite passé six ans dans notre prieuré
d'Ottmarsheim pour suivre ma formation à l'université de Fribourg en
Suisse. Enfin, je suis revenu en 1997 à Ourscamp pour y prendre la
direction des études.Quand et par qui ont été fondés les Serviteurs de Jésus et de Marie ?
La congrégation a été fondée par le père
Jean-Édouard Lamy (1853-1931) en 1930 pour répondre à la demande que
lui avait fait la Vierge de fonder une communauté axée sur la vie de
prière, de pénitence et l'action apostolique. Mais cette première
fondation a échoué, le père Lamy mourut un an plus tard, après avoir
confié à l'un des postulants la charge de poursuivre sa mission. La
congrégation a vraiment démarré en 1941 et s'installa à Ourscamp dans
l'Oise. À cette époque-là, nous faisions partie de l'ordre des
cisterciens, d'où l'habit que nous portons encore aujourd'hui. Puis le
15 juillet 1948, avec l'approbation du Saint-Siège, Mgr Roeder, évêque
de Beauvais, érigeait la congrégation des Serviteurs de Jésus et de
Marie en institut de droit diocésain. […]Dans quelle forme du rite célébrez-vous la messe ?
Le motu proprio Summorum Pontificum
a été accueilli avec une grande joie dans la communauté, pour autant la
plupart des religieux célèbrent la messe dans la forme ordinaire. Pour
ma part, j'ai pris l'habitude de célébrer plutôt dans la forme
extraordinaire."
Quand le pape supprima la Compagnie de Jésus
Riposte catholique publie le prochain article du professeur Roberto de Mattei de l’édition en français du mensuel Correspondance Européenne
(10 septembre). Extraits :
"« Sint ut sunt aut non sint »
(qu’ils soient ce qu’ils sont ou qu’ils ne soient pas) : ce serait une
phrase qui, selon certains historiens, aurait été prononcée par le
Préposé général des Jésuites, Lorenzo Ricci, en réponse à une
proposition de “réforme” de la Compagnie de Jésus qui aurait voulu
« l’adapter » aux besoins du monde. Nous nous trouvions au cours de la
seconde moitié du XVIIIe siècle et les Jésuites représentaient le
rempart contre lequel se brisaient les attaques des ennemis extérieurs
et intérieurs de l’Église. Les ennemis extérieurs avaient à leur tête le
« parti philosophique »des “Lumières”, alors que les ennemis
internes étaient divisés en courants hérétiques, qui, sous le nom de
gallicanisme, de juridictionnalisme, de régalisme, de fébronianisme,
prétendaient plier l’Église aux vouloirs des États absolus. […]Le 21 juillet 1773, par le bref Dominus ac Redemptor, le pape Clément XIV supprima la Compagnie de Jésus qui comptait à l’époque environ 23 000 membres répartis en 42 provinces. […] En
1789, éclata la Révolution dite « française » et une époque dramatique
s’ouvrit pour l’Église qui vit les Jacobins envahir la ville de Rome et
déporter deux successeurs de Clément XIV […]. Finalement, après quarante ans, par la constitution Sollicitudo omnium ecclesiarumdu 17 août 1814, Pie VII révoqua le bref du 21 juillet 1773 et rétablit la Compagnie de Jésus dans le monde entier. […]Les Franciscains de
l’Immaculée n’ont pas le passé glorieux des Jésuites mais leur cas
présente quelque analogie avec celui de la Compagnie de saint Ignace et
représente surtout une expression symptomatique de la profonde crise
dans laquelle se débat aujourd’hui l’Église catholique. Fondés
en 1970 par le Père Stefano Maria Manelli, les Franciscains de
l’Immaculée conduisent une vie évangélique et pénitente et se sont
caractérisés, depuis l’origine, par leur attachement à la morale et à la
foi traditionnelles. Le Motu proprio par lequel Benoît XVI a
restitué tous ses droits au Rite romain antique, a représenté pour eux
la possibilité de vivre également au plan liturgique cet amour de la
Tradition. […]De
la Congrégation pour les Instituts de vie consacrée et pour les
Sociétés de vie apostolique (CIVCSVA), aujourd’hui présidée par S. Ém.
le cardinal João Braz de Aviz, dépendent des congrégations, masculines
et féminines, qui ont abandonné, en tout ou partie, l’habit religieux et
vivent dans le relâchement moral et le relativisme doctrinal sans
qu’aucun rappel à l’ordre ne leur soit adressé par les autorités
compétentes. […]"
Un référendum pour réparer une église
La municipalité de Plouagat (Côtes d'Armor) demandera par referendum dimanche à ses administrés s'ils souhaitent que l'édifice soit réparé. Le coût des travaux est estimé à 1,5 million d'euros.
Pour être adopté, le projet de restauration devra recueillir la majorité des suffrages exprimés avec un taux de participation supérieur à 50%. Pour Paul Kervarec, maire DVG de Plouagat, l'issue du vote ne fait aucun doute: «Les gens vont voter oui. Les Bretons sont attachés à leurs églises».
Tout en prévenant :
«Cela pourrait se traduire par une hausse des impôts locaux, des retards dans certains investissements ou par la recherche d'aides financières».
Après avoir volé les biens de l'Eglise, l'Etat ne sait plus comment les entretenir.
Tout oppose religion catholique et philosophie maçonnique
Le Dr Maurice Caillet, ex franc maçon converti au Christ,
a répondu à un entretien. Extraits :
"En 1968, en même temps que je divorçais, j'ai pris contact avec la franc-maçonnerie où j'ai été actif pendant quinze ans, initié jusqu'au 18° grade (sur 33), Vénérable de loge pendant deux ans. A partir de 1975 j'ai pratiqué un certain nombre d'IVG, selon la loi Veil. Je me suis d'ailleurs rendu compte de l'horreur de ce geste et de sa contradiction avec le serment d'Hippocrate. Après
quinze années de chirurgie je suis entré à la Sécurité Sociale avec
l'appui de mes "frères", pour diriger le Centre d'Examens de Santé. Cela
m'a ouvert des portes à Paris: commissions diverses à la CNAM, au
Ministère de la Santé, Fraternelle (maçonnique) des Hauts
Fonctionnaires. Après cinq années de succès, mon Directeur, frère et ami
m'a pris en grippe par jalousie, alors que ma seconde femme était
tombée gravement malade depuis plusieurs mois: troubles digestifs
inexpliqués la rendant inapte au travail. Devant l'échec des
thérapeutiques, je décidai de l'emmener se reposer dans les Pyrénées,
puis, le climat n'ayant rien changé, je lui proposai de passer à
Lourdes, espérant un choc psychologique…voire cosmo-tellurique !
Arrivé aux sanctuaires par un matin glacial de février 1984, je dus la
laisser aux piscines et lui donner rendez-vous devant la Vierge de la
Grotte. Pendant ce temps je cherchai un endroit abrité du froid et je
trouvai la Crypte où débutait une Messe de semaine,avec une dizaine de
fidèles. C'était ma première Messe, et je m'assis au fond de la
chapelle, attentif tout de même. A un moment, le prêtre se leva et lut: "Demandez et vous recevrez, cherchez et vous trouverez,frappez et l'on vous ouvrira". Ce fut un choc pour moi, car c'était une phrase du rituel de l'initiation au grade d'Apprenti, souvent répété en Loge.
Et j'appris ainsi que c'était Jésus qui avait prononcé le premier ces
paroles ! Ensuite, dans le silence qui suivit, moi qui m'étais moqué des
locutions de Jeanne d'Arc, j'entendis une voix douce me dire:"C'est
bien, tu demandes la guérison de Claude, mais qu'as-tu à offrir?" Là, je
fus bouleversé et je ne vis que moi à offrir. Si bien qu'après la fin
de la Messe je rejoignis rapidement le prêtre dans la sacristie et après
lui avoir avoué mon appartenance maçonnique, je lui demandai de me
baptiser. Mais, il me renvoya vers mon diocèse. Je rejoignis Claude à la
Grotte: elle était transie et se demandait où j'étais passé. Elle
n'était pas guérie, mais, cependant, je la harcelais de question sur la
religion. Trois mois plus tard, je fus baptisé et Claude, guérie,
m'accompagnait au baptistère. Ma conversion et sa guérison étaient bien
liées.Quelle a été la réaction de vos "frères" de la franc-maçonnerie, lors de l'annonce de votre conversion au Christ?
Confiant
dans la célèbre tolérance maçonnique, j'annonçai ma conversion dans ma
loge, mais cela ne suscita aucun enthousiasme, bien au contraire. Pour
en avoir le coeur net, je proposai à mon Vénérable de présenter une
"planche" (un travail) pour la Saint-Jean d'hiver. Ceci me permit
d'approfondir mes connaissances religieuses: ma planche s'intitulait
"Jésus personnage mythique ou historique". J'y affirmait bien sûr que
Jésus avait bien vécu avec ses disciples, qu'il était mort, qu'il avait
ressuscité et qu'il avait encore vécu quarante jours avec eux avant de
monter au ciel. Alors qu'il est interdit d'interrompre un orateur en
loge, j'entendis à plusieurs reprises des mots susurrés "à bas la
calotte" ! Alors j'ai compris que je n'avais plus rien à faire dans ce
milieu. […]La franc maçonnerie
a-t-elle une mainmise sur les décisions gouvernementales de nos
dirigeants politiques? Si oui, son influence est-elle importante?
Pensez-vous notamment, que la franc maçonnerie a eu un rôle important
dans la mise en place de la loi sur l'avortement ou encore sur le
mariage homosexuel?
En tant que chirurgien
gynécologue, j'ai été particulièrement mêlé à l'élaboration et à la mise
en oeuvre de la loi Veil. J'ai été en relation avec le Docteur Pierre
Simon, Grand Maître de la GLF et président du Planning Familial qui
prônait la libéralisation de l'avortement: il était conseiller au
Ministère de Mme Veil et le Président Giscard d'Estaing avait pour
conseiller Jean-Pierre Prouteau, Grand Maître du GODF, qui soutenait les
mêmes thèses. La loi dite du"mariage pour tous" a été préparée par le
ministère de Monsieur Ayrault qui ne comporte pas moins d'une douzaine
de membres ou anciens membres du GODF. CQFD.Pouvons-nous concilier foi catholique et franc maçonnerie, Si non, pourquoi ?
Je
suis formel sur ce point et c'est le centre de mon combat de converti:
tout oppose religion catholique et philosophie maçonnique. Le
naturalisme, le relativisme, l'hédonisme, même s'ils ont infiltré les
milieux catholiques comme la plupart de nos contemporains rendent
impossible toute conciliation, et les nombreuses condamnations papales
confirment mon point de vue. La plus récente date de 1983 et prive de la
sainte Communion les catholiques ayant adhéré à une obédience
maçonnique, quelle qu'elle soit, spiritualiste ou non. J'ai développé
cette incompatibilité dans plusieurs de mes livres (voir sur mon site: http://cailletm.com/). […]"
Manuel Valls vend la France pour acheter des voix
Xavier Lemoine, vice-président du Parti Chrétien-Démocrate et maire de Montfermeil réagit aux propos du Ministre de l’intérieur au sujet des naturalisations :
« Assigner au processus de naturalisation des objectifs chiffrés est une véritable forfaiture. C’est avoir, sous couvert de "fierté", un profond mépris pour la réalité française.
Oui, la véritable fierté que nous avons d’être Français commande que cette qualité ne soit pas bradée et donc satisfasse à un minimum d’exigence. L’unité nationale est à ce prix.
Ne rien exiger sur notre culture et sur notre histoire, se contenter d’une maîtrise approximative de notre langue c’est réduire à rien la qualité de Français. C’est semer de dangereux germes de discordes.
De plus, reconnaître aux clandestins la faculté d’être Français, c’est espérer pouvoir se marier avec la fille que l’on a culbutée. C’est un puissant encouragement à la clandestinité et l’aveu que la France n’a plus d’Honneur.
Cette vision strictement quantitative au mépris total du respect de notre histoire, de notre culture et de notre langue n’est que la tentative désespérée de reconstituer un électorat d "obligés".
Vendre la France pour acheter des voix n’est pas très glorieux »
Le mariage, une valeur sûre
Lu ici cette étude de 2010, toujours valable :
"La méthode quasiment infaillible pour qu’un couple dure: le mariage. L’engagement sacré serait le gage de stabilité le plus sûr. D’après une étude britannique, la quasi-totalité des couples qui ont survécu jusqu’au quinzième anniversaire de leur enfant sont… mariés.
L’étude, qui se base sur les données du recensement, révèle que le concubinage à long-terme chez les couples avec enfants est très rare. Chez ces couples non séparés, parents d’un enfant de 15 ans, ils ne sont que 3% à ne pas être passés devant monsieur le maire.Autre résultat préoccupant pour les couples non mariés avec enfant: un tiers se sépare avant le cinquième anniversaire de leur enfant. Alors que les couples mariés ont quatre fois moins de risque de se séparer avant cette échéance.
L’étude, menée par une institution britannique vouée à la «prévention du démantèlement de la famille», le Bristol community family trust, se veut tout de même rassurante: quand un enfant atteint l’âge de 15 ans, il a 60% de chances que ses parents soient encore ensemble.
Harry Benson, coordinateur de ce centre de défense des valeurs familiales, conclut: «Le mariage est le meilleur indicateur de durée d’un couple, au-delà des effets liés au revenu, à l’éducation, à l’âge, à l’origine»."
Accueil d’Arnaud Montebourg à Jouy en Josas
Aujourd'hui, jeudi 29 août, Arnaud Montebourg sera au Campus HEC 1 rue de la libération de 17H30 à 20H15 pour l’Université d’été 2013 du MEDEF à Jouy-en-Josas.
Pétition contre la guerre en Syrie : plus de 2000 signatures
Vous êtes déjà plus de 2000 à avoir signé la pétition adressée à François Hollande contre la guerre en Syrie.
Merci de contribuer à sa diffusion.
Les Coptes n’ont pas peur des islamistes
Les Coptes de Minya en Haute-Egypte retiennent leur
colère, deux semaines après la destruction de plusieurs églises par les
islamistes. Mais en dépit de la tension, point
d'appels à la vengeance, pas même de discours enflammés. Mgr Bostros Fahim Awad Hanna, archevêque de Minya, déclare :
"Je dis aux islamistes qui nous ont attaqués que nous n'avons pas
peur de leur violence et de leur volonté d'exterminer les Coptes". "Si nous ne ripostons pas, ce n'est pas parce que nous sommes terrorisés mais parce que nous sommes sages".
Sur le mur d'un orphelinat copte, qui a été incendié, on peut lire :
"Que Dieu vous pardonne en dépit de ce que vous avez commis".
Le père Biman, jésuite, affirme :
"Je suis très en colère. J'ai aussi de la compassion pour les assaillants qui ont subi un lavage
de cerveau".
La guerre contre la Syrie, pas si simple
Lu sur le blog d'Yves Daoudal :
"Tous les Britanniques ne sont pas
aussi amnésiques et va-t-en guerre que David Cameron. Au point qu’il a
découvert avec surprise qu’il n’aurait pas de majorité au Parlement pour
faire la guerre contre le régime syrien.Il avait convoqué le Parlement pour
avaliser ce jeudi une déclaration de guerre et une attaque immédiate, et
voilà que la motion élaborée par les conseillers du Premier ministre et
les travaillistes dit que… le Royaume-Uni estime que le Conseil de
sécurité de l'Onu ne doit pas décider d'une action militaire avant
d'avoir pu examiner les résultats de l'enquête des inspecteurs dépêchés à
Damas, sur l'utilisation présumée d'armes chimiques par les forces de
Bachar al Assad…Obama a un peu le même problème (même
s’il peut lancer une offensive sans demander l'avis du Congrès) et a
fait lui aussi un pas en arrière, et le flamboyant Fabius dit – comme
l'oncle Sam – que des décisions seront prises « le moment venu »…"
Le Parlement français a été convoqué "en session extraordinaire pour un débat" sur la Syrie le 4 septembre.
Pendant que la guerre se prépare contre la Syrie, la “paix” règne en Irak…
Les multiples attentats qui ont frappé l'Irak hier, en particulier à Bagdad, ont fait au total au moins 75 morts et plus de 200 blessés.
Au total, plus de 600 personnes ont été tuées dans le pays depuis le début du mois.
Ces attaques ont surtout visé des quartiers à majorité chiite de Bagdad.
Le premier ministre Nouri al-Maliki a annoncé un état d'alerte pour parer aux éventuelles retombées d'une intervention militaire en Syrie.
Il y a 10 ans, les Américains frappaient l'Irak, suite aux "preuves" que le pays fabriquait des armes de destruction massive.
Libérer le mariage du romantisme et de l’individualisme modernes
D'Aymeric Pourbaix dans Famille chrétienne :
"Quelle était la motivation réelle des centaines de
milliers de familles qui ont traversé plusieurs fois la France, à
l’hiver et au printemps derniers, dépensant une partie de leur
budget vacances, piétinant des heures sur le pavé parisien, endurant les
insultes, affrontant la solitude jusqu’au sein de leur propre parenté ?
Bien plus que le simple fait d’être « contre », de s’opposer à la loi Taubira, comme ont voulu le caricaturer médias et politiques.
Il
s’agit bien plutôt d’une libre affirmation, positive, de l’amour
humain. Conception qui plonge ses racines dans le tréfonds de la
mémoire humaine et, pour les chrétiens, dans la Création. Remarquons au
passage que le mariage n’a pas été inventé par l’Église : c’est une des
seules réalités à avoir survécu au péché originel et à la chute d’Adam
et Ève.Voilà pourquoi les réactions à la loi Taubira furent si
fortes : c’est l’identité même de l’être humain, sexué et vivant de la
complémentarité homme-femme, qui se trouvait soudain remise en cause.L’enjeu de ce combat, qui ne fait que commencer, n’est donc ni plus ni moins que le bonheur de l’homme et de la société,
incarné dans l’image d’un couple stable, uni, et durable. Bonheur et
référence auxquels chacun aspire, sans forcément oser y croire…Comme le soulignait déjà Paul VI le 4 mai 1970 aux Équipes Notre-Dame, dans un discours remarquable qu’il faut lire et relire : «
Il n’est aucun amour conjugal qui ne soit, dans son exultation, élan
vers l’infini, et qui ne se veuille, dans son élan, total, fidèle,
exclusif et fécond ». L’Évangile est exigeant, mais libérateur pour les couples.Certes, les statistiques du mariage n’incitent guère à l’optimisme.
Mais ce n’est pas une raison pour baisser les bras. Au contraire. Il
n’en devient que plus urgent d’aller puiser dans la sagesse bimillénaire
de l’Église, laquelle consacre et sauve le mariage, blessé comme toutes
les réalités humaines, en en faisant un sacrement, lui donnant ainsi
l’appui de la grâce. « L’Évangile n’est-il pas une bonne nouvelle
aussi pour les foyers, et un message qui, s’il est exigeant, n’en est
pas moins profondément libérateur ? », interrogeait encore Paul VI.Aujourd’hui, la voie exigeante que l’Église propose
paraîtra peut-être trop raide à certains, mais c’est cela même qui en
fait la valeur. Car l’enjeu est de libérer le mariage du romantisme et
de l’individualisme modernes, qui le détruisent de l’intérieur. Et il
convient pour cela de maintenir, et même de renforcer, cette exigence
lors de la préparation au mariage.Rappelons
aussi qu’avec les funérailles et l’école, le mariage reste l’une des
rares grandes voies d’accès à l’Église… Quand une majorité des habitants
de ce pays se déclare, pour quelques années encore, de culture
chrétienne, il en va donc de la ré-évangélisation de la France."
9 septembre : accueil de Nicole Bricq à Londres
Le Ministre du Commerce extérieur, Madame Nicole Bricq, tiendra une conférence-débat à Londres lundi 9 septembre. Thème : France: compétitivité, attractivité et internationalisation des entreprises, de 17h30 à 19h30 dans le centre de Londres.
Le Préfecture de police a peur, pas les veilleurs
La préfecture de police de Paris s'est opposée
la marche et la veillée de samedi dans la capitale par les Veilleurs. La trentaine de veilleurs, actuellement à Nantes, ont annoncé leur volonté de maintenir leur programme. Dans un communiqué, la préfecture de police de Paris
"regrette de ne disposer d'aucun interlocuteur pour envisager
conjointement les modalités de l'arrivée de la 'marche des veilleurs'
dans la capitale".
Elle informe avoir vainement "tenté d'entrer en
contact avec un responsable du mouvement". Les journalistes ne semblent pas avoir éprouvés cette difficulté…
"La consultation des réseaux sociaux a
permis à la préfecture de police d'apprendre que le mouvement dit 'des
veilleurs' envisageait de se rassembler sur le parvis de la Défense le samedi 31 août avant de rejoindre la place de la
Concorde en empruntant un certain nombre de grands axes de circulation
parisiens, dont l'avenue des Champs-Élysées. A l'issue, un appel à
organiser une veillée sur la place de la Concorde a été lancé, les
participants souhaitant s'y maintenir toute la nuit".
Merci pour la publicité.
La préfecture informe que "le cortège ne pourra pas emprunter le trajet
envisagé et que la veillée ne pourra pas avoir lieu dans les conditions
projetées".
Gaultier Bès,
porte-parole des Veilleurs, a rétorqué :
"Nous sommes dans État de droit,
je me déplace librement dans mon pays". "Ce n'est pas une manifestation.
J'estime n'avoir besoin de l'autorisation de personne pour lire des
textes de Camus ou Bernanos dans la rue". "Nous ne troublons en aucun cas l'ordre public, nous sommes sur la
chaussée, simplement sur les places publiques. Samedi nous irons sur le
parvis de la Défense et la place de la Concorde comme prévu".
450 000 chrétiens syriens ont été déplacés ou sont partis
Grégoire III, patriarche d’Antioche de l’Eglise catholique
melkite, a fait part de ses doutes concernant la crédibilité de certains
éléments de preuve trouvés dans les principaux foyers du conflit
syrien. Il affirme que personne ne peut connaître avec certitude l’identité des
responsables des attaques chimiques de la semaine dernière.
« On
ne peut pas accuser à tour de rôle le gouvernement et l’opposition. Il
n’y a rien de tel pour attiser la violence et la haine. » « Voilà deux ans que les Américains enveniment la situation. »
Le patriarche a exprimé
ses inquiétudes concernant les combattants étrangers qui se rendent en
Syrie :
« nombre
de personnes viennent de l’extérieur de la Syrie pour se battre dans le
pays. Ces combattants nourrissent le fondamentalisme et l’islamisme. »
450 000
chrétiens syriens – soit près du tiers de l’effectif total – ont été
déplacés dans le pays ou se sont réfugiés à l’étranger.
« Nous ne savons pas si les agresseurs visent les églises. » « Les extrémistes veulent attiser la haine entre les chrétiens et les différentes mouvances musulmanes. »
Signez notre pétitio, contre l'intervention armée en Syrie.
Une nouvelle génération prête à l’action politique
Lu dans Le Figaro :
"Réunis en université d'été, les deux cents étudiants d'Acteurs d'avenir découvrent le goût de la réflexion politique. […] Ils ont 22 ans de
moyenne d'âge, il y a autant de filles que de garçons, et tous ou
presque sont inscrits en grandes écoles. Des futurs cadres, donc. Mais
s'ils sont réunis dans ce creuset, c'est pour réfléchir «en tant que
catholique» à leur «engagement» dans la société. Et certains pensent
sérieusement à… la politique.Plus encore après cet hiver, ou plutôt ce printemps de la Manif pour tous.
À l'évidence, ces événements ont engendré une nouvelle génération
décidée de jeunes catholiques. Ce qui annonce – ce n'est plus une simple
hypothèse – un retour tous azimuts des «cathos» dans l'arène publique.
Cette conséquence durable, potentiellement cuisante pour la gauche, a
pris sa source dans la carence de débat qui imposa le mariage pour tous
et la répression violente contre les manifestants. Cette génération,
choquée, s'est indignée. Elle apparaît aujourd'hui comme éveillée à
l'action politique.[…] L'abbé Pierre-Hervé Grosjean, 35 ans, bientôt dix ans
d'ordination, col romain et prêtre du diocèse de Versailles, […] a créé il y a
quatre ans cette université d'été avec ce nom emblématique «Acteurs
d'avenir, des décideurs chrétiens pour demain». «Notre intuition,
explique-t-il, est de mettre en contact des responsables de tous les
domaines de la société qui ne cachent pas leur foi chrétienne avec des
jeunes, pour leur montrer qu'il est possible d'avoir des responsabilités
importantes tout en ayant la foi. La foi n'est pas un frein, elle ne va
pas brider leur ambition, mais va l'orienter vers le service des
autres. L'Église est pleinement là dans son rôle d'éveil des
consciences.»[…] Après deux
journées consacrées à l'engagement dans le monde économique, puis dans
la vie associative, mercredi était consacré à la vie politique. […] Les politiques présents étaient d'ailleurs de tous bords: Bernard Poignant, maire PS de Quimper et conseiller du président de la République [et opposé à la loi Taubira, NDMJ], Laurent Wauquiez,
député maire UMP du Puy-en-Velay, Dominique Potier, député PS de
Meurthe-et-Moselle, qui a débattu avec Philippe Gosselin, député UMP de
la Manche, et Guillaume Peltier, vice-président de l'UMP. […]"