Le Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée a mauvais genre
Pour son ouverture au public, le Musée des Civilisations de l'Europe et de
la Méditerranée (MUCEM) de Marseille présente une exposition intitulée "Au
Bazar du Genre" (Féminin/masculin en méditerranée). Un guide, représentant une femme torero portant escarpins et cocote minute,
présente le sommaire suivant :
- page 5 : L'ordre des sexes en question
- page 9 : Mon ventre m'appartient
- page 21 : Les chemins de l'égalité
- page 29 : LGBT vivre sa différence
- page 35 : Mon prince viendra
- page 43 : chacun son genre (avec une partie "l'homme enceint")
explicites, notamment : "Jean a deux mamans" représentant un
renardeau souriant et, en page 1 un dessin des deux renardes se regardant
tendrement devant "Jean" avec l'interpellation suivante : " Mes
deux mamans s'aiment comme un papa et une maman". la supercherie va
jusqu'à donc représenter un enfant en animal.
La presse : une conspiration d’un petit nombre
De Chesterton :
"La vérité concernant la presse, c’est qu’elle n’est pas telle que son
nom la désigne. Elle n’est pas « la presse populaire ». Elle n’est pas
la presse publique. Elle n’est pas davantage un organe de l’opinion
publique. Elle est une conspiration ourdie par un petit nombre de
millionnaires qui se sont entendus sur ce que cette grande nation (à
laquelle nous appartenons) doit savoir sur elle-même, ses amis, ses
ennemis. La boucle n’est pas tout-à-fait complète pour être exact (il
existe encore quelques journaux honnêtes défendant courageusement
d’anciennes valeurs), mais elle l’est suffisamment pour qu’on puisse
considérer ce système de propagation des nouvelles comme un monopole de
fait. Si bien que le lecteur de journal reçoit toutes ses informations
et ses mots d’ordre politiques de ce qui à l’heure qu’il est constitue
plus ou moins consciemment une sorte de société secrète, composée d’un
très petit nombre de membres disposant de beaucoup d’argent."
Les malades en état végétatif… ne sont pas si végétatifs
Lu sur le blog de Jeanne Smits :
"Une importante étude publiée le 12 août par le Journal of the Medical Association for neurology révèle
les résultats d'une nouvelle étude de communication auprès de patients
en état végétatif persistant menée par une équipe de l'Université de
Western Ontario. Les chercheurs Lorina Naci et Adrian Owen sont parvenus
à dialoguer avec trois de ces personnes en utilisant une technique
nouvelle et plus efficace d'imagerie par résonance magnétique (IRM). Ils
ont pu ainsi prouver que ces personnes savent qui elles sont et où
elles se trouvent. […]"
La présidente du Syndicat de la magistrature à l’université d’été du PS
Françoise Martres, qui avait défendu le mur des cons avant de le détruire, prononce un discours politique à l'université d'été du PS.
Y a-t-il encore quelqu'un qui croit en l'indépendance de la justice ?
Les impostures d’un système qui prétend être démocratique
De Philippe Pichot-Bravard sur Le Rouge et Le Noir :
"[…] Le système électoral est désormais complètement verrouillé
par une oligarchie constituée des grands partis, de cercles d’influence,
de groupes d’intérêt, de la télévision, des radios, des grands
journaux, et de ceux qui, les finançant, leur donnent des consignes.
La rétraction croissante, depuis le milieu des années 90, du cercle des
opinions permises et l’emprise, dans le débat public, d’une pensée
officielle servie par une langue piégée et conceptuelle, apanage d’une
oligarchie idéologique, joue là un rôle très important. Une majorité de
Français se sentent aujourd’hui exclus du jeu politique, ce qui tarit la
source de sa légitimité.
En outre, le mépris que manifeste cette oligarchie à l’égard de la
population est de plus en plus manifeste, comme l’ont montré l’affaire
du Syndicat de la Magistrature ou encore le sort réservé à la pétition
envoyée au CESE. Ce mépris contribue au mécontentement d’une part
importante de la population, et en particulier de la partie de la
population qui est habituellement la plus disciplinée, la plus
travailleuse, la plus respectueuse des règles : celle qui a manifesté
les 24 mars et 26 mai derniers.Sans doute, quand on y regarde de près, le système représentatif institué à partir de 1789, a toujours été un édifice de stuc bâti en trompe l’œil.
La confusion entretenue entre l’affirmation du caractère démocratique
des institutions et leur réalité représentative n’est pas le moindre de
ces artifices. Les apparences, soigneusement sauvegardées, ont, pendant
longtemps, garanti la pérennité du système. Tout se passe aujourd’hui
comme si, le stuc s’effritant, la réalité apparaissait aux yeux d’un
grand nombre de nos compatriotes, révélant les nombreuses impostures
d’un système qui prétend être démocratique alors qu’il ne l’est pas, et
qu’il ne l’a jamais été, ayant toujours été représentatif, c’est-à-dire
par essence oligarchique ; un système qui assure, concrètement, beaucoup
moins de libertés qu’il en promet. S’insinue alors, de plus en plus, la
conviction que les « valeurs de la République » n’ont peut-être pas la
consistance qu’on leur prêtait, qu’elles seraient, au mieux des concepts
abstraits sans réelle portée concrète, au pire un instrument de
manipulation de l’opinion aux vertus narcotiques. Cette conviction
nourrit la crise de régime que nous connaissons aujourd’hui.Pourtant, l’existence d’une crise de régime n’entraîne pas nécessairement la chute de celui-ci. Quoiqu’affaibli,
le régime conserve la capacité de se défendre, notamment en changeant,
ne serait-ce qu’apparence, ce qui doit être changé pour lui permettre de
survivre. Notre histoire constitutionnelle, et notamment les
changements de régime survenus en 1789, en 1792, en 1799, en 1814, en
1815, en 1830, en 1848, en 1851 ou en 1958, nous montre, en outre, qu’un
régime conserve toujours cette capacité tant qu’il n’est pas abandonné
par une partie, au moins, de ceux qui ont pour mission de le défendre.A chaque fois que la République s’est sentie menacée, elle a su se défendre énergiquement
en n’hésitant pas à écarter l’application des règles juridiques, à
détourner ou à méconnaître ses propres lois pour réprimer l’opposition
dont elle se sentait menacée, même lorsque celle-ci s’exprimait
pacifiquement. La violence policière, le harcèlement administratif et la
persécution fiscale étant les moyens les plus courants. Nous en faisons
actuellement l’expérience, au moment même où plusieurs membres
du gouvernement n’hésitent pas à renouer publiquement avec les grands
ancêtres de 1793 et à se réapproprier leur projet totalitaire de
régénération de l’homme. On peut craindre, à cet égard, que
la répression s’accentue dans les prochains mois, visant plus
directement les mouvements de jeunesse, les écoles hors contrat, et
même, qui sait, certaines congrégations religieuses. La bataille
ne fait que commencer. Et cette bataille est d’abord celle du Droit et
de la Justice contre l’arbitraire du pouvoir."
Soutien à Mme Bompard, maire de Bollène
De Civitas :
"Nouveau
refus d'un maire de marier deux personnes de même sexe. C'est
Marie-Claude Bompard, maire de Bollène, qui vient de refuser de marier
Amandine Gilles et Angélique Leroux. Bien entendu, comme il s'agit de
Madame Bompard, il ne fait aucun doute que l'affaire prendra une
tournure hautement symbolique et va mobiliser dans les prochaines heures
toutes les forces de la subversion sous le regard avide de l'ensemble
des médias. On peut déjà constater l'ambition d'un élu de l'opposition
locale, le socialiste Michel Lebailly, d'en faire un enjeu pour les
prochaines élections municipales. C'est vrai que l'élu socialiste a
encore du mal à digérer sa défaite et ne manquera pas d'intriguer pour
tenter de prendre sa revanche.Elément
qui ne manquera pas d'orienter le débat : Madame Bompard a
courageusement fait état de ses "convictions religieuses" pour expliquer
son refus de marier ces deux femmes. Voilà qui devrait à n'en pas
douter déclencher la furia des hordes laïcistes.CIVITAS félicite Madame Bompard pour sa courageuse décision et pour avoir assumé ses convictions religieuses.
CIVITAS
appelle tous les défenseurs de la Famille à écrire à Madame Bompard
afin de lui témoigner leur soutien et l'encourager à tenir bon.Rappelons à toutes fins utiles les enseignements de Saint Thomas d'Aquin : "Toute
loi portée par les hommes n'a raison de loi que dans la mesure où elle
découle de la loi naturelle. Si elle dévie en quelque point de la loi
naturelle, ce n'est alors plus une loi, mais une corruption de la loi".CIVITAS
appelle en conséquence les élus municipaux catholiques et
prioritairement les maires catholiques à se déclarer publiquement
solidaires de Madame Bompard. Que ces élus se coalisent et forment un
bloc solidaire et ils constitueront une force de résistance estimable en
ces temps de grand déclin moral."
Videz les prisons !
Le ministre de la justice, Christiane Taubira, a annoncé, lors de l'université d'été du Parti socialiste, la création d'une "peine de probation", hors prison dans le cadre de la prochaine réforme pénale.
"Nous créons une peine de probation, qui est une peine en milieu ouvert, restrictive de liberté, que nous appelons la 'contrainte pénale'".
Elle a précisé que cette peine ne concernerait que les délits punis de cinq ans de prison ou moins.
A l'exception de Nicolas, les peines de moins de 2 ans de prison fermes n'étaient pas appliquées. Ce sera désormais les peines de 5 ans…
Les persécutions antichrétiennes au coeur de la présidence italienne de l’UE ?
Le mouvement Communion et Libération,
organisateur du meeting de Rimini, a demandé que le thème des persécutions antichrétiennes dans le monde soit au cœur du
semestre italien de présidence de l’Union Européenne qui débutera en
juin 2014.
Opération banderole Hollande démission sur les plages du sud
L'équipe souhaite continuer son militantisme aérien sur les plages du Sud après avoir fini les plages du Nord, et continuer ensuite vers d'autres lieux.
Il y a déjà eu 50 000 euros de dépensés par la
dizaine de jeunes encadrant l'opération. Ceux qui veulent aider peuvent le faire ici.
Liberté de conscience des maires face à l’Etat totalitaire
Dans Valeurs Actuelles, Chantal Delsol plaide pour l'objection de conscience :
"[…] On peut
avoir l’impression que nous sommes justement arrivés au bon moment de
l’Histoire pour défendre la liberté de conscience. […]Il est donc assez déconcertant de voir les
réponses données à ceux qui en appellent à la liberté de conscience, et
même à l’objection de conscience, face aux réformes sociétales dont le
gouvernement actuel semble s’être fait une spécialité, et
particulièrement face au mariage homosexuel. On leur rétorque qu’ils ne
sont pas républicains, car allant à l’encontre de l’égalité
républicaine, et aussi homophobes, évidemment. Nantis de ces tares
rédhibitoires, ils n’ont évidemment pas droit à la décision
individuelle, à vrai dire ils n’ont même pas de conscience, puisqu’ils
s’opposent à la seule vérité sociopolitique.Autrement dit, nous
retournons subrepticement à ce que le combat antitotalitaire avait
réussi à démanteler : le positivisme — c’est-à-dire l’idée selon
laquelle l’État a toujours raison, parce qu’il est l’État. Dans notre
cas, il faudrait plutôt dire : ce qui est consacré républicain
(progressiste, égalitariste, émancipateur) a toujours raison.Il
faut bien rappeler que la conscience personnelle, celle d’Antigone,
celle de l’objection de conscience, représente exactement le contraire
du positivisme. Elle présuppose, si elle existe ou plutôt si elle est
légitimée (car elle existe même si personne ne la reconnaît), qu’aucune
instance supérieure ne peut prétendre avoir toujours raison. Et que le
dernier mot, toujours particulier et relatif, revient à la conscience
personnelle — ce qui suppose évidemment que l’être humain soit une
personne et non un individu programmé par l’État, formaté par l’École.C’est
seulement dans ce cadre que la liberté de conscience existe : si
l’idéal républicain, passe au second rang, après la conscience
personnelle — autrement dit, si l’on imagine que le progressisme
tout-puissant peut être jugé ! Faute de quoi nous en revenons au
positivisme, qui était la tare principale des deux totalitarismes, donc
du nazisme contre lequel nous ne cessons de lutter.On ne peut pas
porter les antifascistes sur le bouclier de la gloire et ne pas
permettre aux maires de récuser le mariage gay en leur âme et
conscience. Si la conscience d’Antigone existe et si elle doit être
révérée, ce n’est pas seulement pour lutter contre le nazisme et contre
les dictateurs exotiques. C’est aussi pour juger les croyances de notre
République et dénoncer ses excès, ses abandons, ses lois scélérates. La
conscience d’Antigone n’est pas un outil qu’on saisit quand cela nous
arrange — pour fustiger Papon ou crier haro sur les accusés des
tribunaux internationaux, complices de gouvernements criminels. Et qu’on
mettrait sous le boisseau, réclamant dès lors l’obéissance absolue,
quand cela nous sied — devant l’égalité républicaine, devant la
souveraineté de la pensée d’État. Brandir une théorie pour ses
adversaires et la décréter inepte dès qu’elle s’applique à soi : c’est
la spécialité des imbéciles, et des idéologues."
Les laïcistes canadiens poursuivent leur combat
Lu ici :
"Le Mouvement laïque québécois
(MLQ) s'adressera à la Cour suprême du Canada pour casser la décision de
la Cour d'appel autorisant Saguenay à prononcer une prière avant les
assemblées du conseil municipal et conserver deux symboles religieux, un
crucifix et une statuette du Sacré-Coeur, à la vue du public.Le
MLQ a annoncé sa décision par communiqué de presse, à quelques jours du
délai pour demander à la Cour suprême du Canada de l'autoriser à porter
l'affaire en appel.Dans une décision rendue en février 2011, le Tribunal des droits de la
personne avait condamné Saguenay et le maire Jean Tremblay à verser 30
000 $ à un citoyen qui s'était plaint d'avoir eu à entendre une prière
récitée avant une réunion du conseil municipal. Le Tribunal avait aussi
ordonné à Saguenay de retirer tour symbole religieux de ses espaces
publics et de verser 3500 $ à titre d'honoraires au vice-président du
MLQ qui avait été déclaré témoin expert.Le 27 mai dernier, un banc de trois juges de la Cour d'appel annulait cette décision."
Marie-Claude Bompard refuse de se prêter à un simulacre de mariage
Lu sur Vaucluse Matin :
"Leur entrevue de ce vendredi après-midi avec le maire de Bollène a eu
l’effet d’une douche froide qui les a faites illico descendre de leur
petit nuage de futures mariées. Amandine Gilles, 33 ans, et Angélique
Leroux, 27 ans, ne cachent pas leur amertume : « Marie-Claude Bompard
nous a dit qu’elle respectait les couples homosexuels mais que par
rapport à ses convictions religieuses, il lui était impossible de nous
unir, explique Amandine, qui parvient difficilement à contenir son
émotion. On lui a alors dit de déléguer le pouvoir à un adjoint mais
elle a refusé. »Les deux jeunes femmes sont déçues, mais ne comptent pas pour autant
baisser les bras. Elles tiennent à se marier. Elles en ont le droit. Et
pour que ce vœu devienne réalité, elles ont l’intention de saisir le
préfet.De son côté, Marie-Claude Bompard (Ligue du Sud), a indiqué qu’il était
évident qu’elle n’était pas opposée « aux personnes mais à une loi »
ajoutant que « dans cette affaire, les maires sont sous la contrainte et
la menace de sanctions disproportionnées et illégitimes.»"
Le régime syrien est en train de gagner contre les terroristes islamistes
D'Aymeric Chauprade sur la Syrie :
"Une nouvelle fois, après l’Irak, la Yougoslavie et la Libye,
l’Occident a recours au mensonge le plus grossier qui puisse être :
l’accusation d’usage d’armes de destruction massive.La vérité est que le régime syrien est en train de gagner la bataille
contre les terroristes islamistes et qu’il n’a pas besoin d’armes
chimiques pour cela. Fort du soutien de l’Iran, du Hezbollah libanais et
de la Russie (soutien politique sans failles), il est en train
d’écraser son opposition islamiste, minoritaire dans le pays (bien que
les sunnites soient majoritaires) et cela face à une rébellion islamiste
internationale qui n’a plus d’autre issue que de tenter d’impliquer la
France, le Royaume-Uni et les États-Unis dans la guerre.Il faut dénoncer avec la plus grande fermeté ce mensonge de la rébellion islamiste et son soutien par le gouvernement français, soutien qui s’apparente autant à une trahison des intérêts de la France qu’à un crime contre la paix internationale.
[…] En Syrie comme en Égypte, il faut choisir les gouvernements
patriotiques contre les islamistes. Certes ces gouvernements
patriotiques répriment violemment, mais lorsqu’un pays sombre dans le
chaos, c’est violence contre violence. Il suffit d’ailleurs de voir
comment le Ministre Valls a fait récemment usage de la violence, de
manière totalement disproportionnée, contre des familles catholiques qui
manifestaient pacifiquement, pour imaginer ce qui pourrait se passer en
France si l’État sombrait dans le chaos ! Mais nous savons qu’en
France, depuis longtemps et bien avant le retour des socialistes, nous avons quitté l’État de droit pour entrer dans l’État du “deux poids deux mesures” (aux anciens Français, surtout quand ils sont catholiques, la sévérité implacable, aux nouveaux, l’excuse et l’impunité permanentes…).En France, ces barrières idéologiques qui séparent encore partisans d’une économie libre sans dirigisme et partisans d’une économie libre avec dirigisme, partisans de la laïcité républicaine orthodoxe et partisans de l’identité chrétienne, devront tomber au profit de la seule réalité charnelle qui vaille le combat et l’unité
: la France, sa civilisation menacée par l’islamisation et
l’africanisation, son État menacé par la banqueroute, sa place dans le
monde effacée par le mondialisme, sa prospérité fragilisée par la montée
des économies asiatiques. Le principe de réalité devra s’imposer
: sacrifier son petit parti “pur”, sa petite mouvance “idéalement
conforme” à ce dont on rêve, au profit de la seule dynamique politique
capable, autour d’une personnalité forte et légitime, héritière d’un demi-siècle de combat national et d’annonces visionnaires,
de coaliser des forces venant d’horizons différents, de sensibilités
variées, mais mues par un seul impératif : empêcher la disparition de la
France dans ce qu’elle est (son identité) et dans ce qu’elle a (sa puissance économique, géopolitique, culturelle…). […]"