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Opération à Saint-Maur des Fossés ce matin

Environ 20 voitures ont sillonnées Saint Maur des Fossés (94) aujourd'hui pendant 1h30, pour informer les habitants de la grande manifestation de demain. Concert de Klaxons, annonces au mégaphone, drapeaux flottants au vent, l'ambiance était joyeuse et printanière et les conducteurs ont recueilli de très nombreux encouragements. Après avoir voulu interdire le défilé, la police (informée par le Salon Beige de l'événement !) a finalement escorté le cortège avec une certaine bienveillance ! Excellente expérience.

5

S

Dimanche 21 avril : veillée de prière à Marseille

Dimanche
21 avril à 21H chez les Dominicains (35 rue Edmond Rostand), veillée de prière et d'adoration. Venez prier pour la famille, pour les
enfants, pour les jeunes (et moins jeunes) qui se sont lancés dans cette
défense depuis maintenant plusieurs semaines. Venez confier tout cela
et "prendre des forces" pour la semaine qui va débuter et où on ne
lâchera rien.

Accueil de Jean-Yves Le Drian à Brest

Lu sur Ouest-France :

"Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, est à Brest ce samedi matin pour les 25 ans de l’école de Maistrance. Entre
150 et 200 manifestants se sont regroupés ce samedi matin aux abords du
centre d’instruction naval, à Brest
. C’est là que Jean-Yves Le Drian va
assister, d’ici quelques minutes, à la cérémonie entourant les 25 ans
de l’école de Maistrance. Opposés au mariage pour tous, les manifestants
ont repris la Marseillaise, l’hymne nationale, et chanté des slogans
contre la politique du Président de la République. La manifestation se
déroule dans le calme."

Dimanche 21 avril : des veilleurs à Auray

Dimanche 21 avril les veilleurs sont invités à se rassembler devant la permanence de Philippe Le Ray 17 place des quatre vents a Auray.

  • 20h
    pique nique pour tous, victuailles à partager,
  • 21h30 à 23 h veillée:
    apporter bougies, guitares chants et bonne humeur dans la joie et paix.

Le gender, une norme mondiale ? Pour un discernement

Conférence
le mercredi 24 avril, à 19h00 dans les salons de l’Hôtel Royal, Boulevard Royal, Luxembourg.
L’orateur sera Marguerite A. Peeters,
Directrice de l’Institute for Intellectual Dialogue Dynamics, Bruxelles.
Marguerite A. Peeters est l’auteur du livre
« Le gender, une norme mondiale ? Pour un discernement »,
publié aux Editions Mame en mars 2013

Participation aux frais de la réunion : 10 euros.
Merci de confirmer votre présence
: [email protected]

La préfecture n’a jamais communiqué les vidéos du 24 mars

Dans Présent, Olivier Figueras dénonce l'opacité de la Préfecture de police. A prendre en compte à la veille d'une nouvelle manifestation :

"Attendu que ma demande de consulter les documents concernant la manif
du 24 mars – photographies et films – proposés aux journalistes intéressés, me soient effectivement communiqués. Ce n’est pas faute, contrairement à ce que certains, lecteurs ou
proches, ont pu supposer, d’en avoir fait la demande. D’ailleurs, en
date du 27, un communiqué de presse, non signé, mais émanant du
« cabinet du préfet Â», « service de la Communication Â», m’y invitait.
Dès le 28 au matin, j’ai donc saisi mon téléphone. Et appelé le
numéro indiqué sur ledit document. A l’autre bout, manifestement « on Â»
ne savait pas de quoi je parlais
. Après un certain temps d’attente, on
m’a redirigé vers le service de presse…

Y ayant demandé à accéder aux documents, et notamment aux films,
indiqués, « on Â» m’a répondu que je m’y prenais un peu tard, et que les
journalistes avaient déjà été contactés
. Je me suis alors référé au
communiqué évoqué plus haut. Pour me heurter à un mur d’ignorance.
Manifestement, ledit communiqué n’avait pas été mis à disposition du
service de presse – du moins pas dans son entier. 
« On Â» m’a alors demandé de patienter. Histoire, sans doute, de se
renseigner. Un certain temps d’attente. Et ensuite, sans que j’aie pu
déterminer s’il s’agissait du même interlocuteur, mais sur un ton
visiblement agacé, avis m’a été donné que rien n’était faisable en
l’état
. Pour compenser, un conseil : adresser un mail à la préfecture.
L’adresse m’en a – tout de même – été fournie. J’ai expédié, peu après, ladite demande par mail. J’attends toujours la réponse.

Je n’ai pas repassé de coup de fil. Certains confrères, l’ayant fait
après moi, m’ont averti qu’il n’y avait rien de plus à en attendre… Evidemment, à en croire certains, les photos fournies à quelques-uns
par ladite préfecture (ne parlons pas des films inaccessibles) ne
correspondent pas à la réalité. Elles ont été « retouchées Â». Ce qui est
gênant ! Je sais ! Dans son communiqué, la préfecture souligne qu’il est inacceptable
de mettre « encore une fois directement en cause la neutralité des
méthodes de travail des fonctionnaires de la préfecture de police Â». C’est parce que c’est inacceptable que le préfet de police a
fait publier ledit communiqué, pour apporter toutes précisions utiles.
Et notamment préciser que « la préfecture de police tient l’intégralité
de ces enregistrements à disposition des journalistes intéressés 
».

Que M. le préfet se rassure. Je ne mets absolument pas en cause « la
neutralité des méthodes de travail des fonctionnaires de la préfecture
de police Â». Je mets en cause la façon dont « on Â» nous en transmet – ou
plutôt : « on Â» ne nous transmet pas – les résultats de ce travail.
Car je suis – et je reste ! – un journaliste « intéressé Â» par ces
enregistrements. Mais « on Â» ne me les a pas fournis. Et lesdits
fonctionnaires, dont je ne remets pas en cause le travail, n’étaient pas
même au courant que, « intéressé Â», je pouvais en demander
communication. […]"

Pau : concert de klaxons prévu lundi 22 avril à 20h

P

Le journaliste n’a que peu d’influence sur le résultat final de son sujet

Une journaliste, qui manifeste contre la loi Taubira, témoigne pour les lecteurs du Salon Beige :

"Journaliste depuis huit ans je suis passée par de nombreuses
rédactions aussi bien télé que presse écrite. Je me rends compte que le
ressentiment à l’égard des journalistes s’accroit chaque jour, notamment
parmi les manifestants.
Le décalage entre la perception des événements
par le public et la retransmission par les médias peut s’expliquer.

D’abord, les médias ont une source quasi-unique d’information :
l’AFP ; souvent, ce que rapporte le journaliste sur le terrain est moins
important pour sa direction que ce qu’écrit le journaliste de l’AFP.
Mais le journaliste de l’AFP n’est pas un surhomme objectif par essence,
ce qu’oublient aujourd’hui les rédacteurs en chef
. D’autant plus que,
contraintes budgétaires obligent, les déplacements deviennent de plus en
plus rares. Les articles que vous lisez sur la presse en ligne ont été
écrits (ou recopiés) par des jeunes journalistes qui n’ont, pour la
majorité d’entre eux, jamais mis un orteil dans la rue.

Ces journalistes ont deux origines différentes : les plus anciens
sont souvent devenus journalistes par hasard, venant du cinéma, du
trotskysme et des mouvements étudiants post—68
. Ils sont très
représentés dans les groupes du service publics. La professionnalisation
de la profession, qui s’est accélérée dans les années 90 et surtout
après 2000 a donné naissance à une génération de journalistes formée
dans de chères écoles (5000€/l’année) qui se ressemblent tous
furieusement
 : blancs, enfants de familles aisées, dont les parents
journalistes, cadres, haut fonctionnaires sont surreprésentés. Ils sont
formés par les plus vieux… avant d’affronter un ou deux ans de contrats
précaires, aux horaires irréguliers et mal payés. D’où la nécessité que
les parents assurent le quotidien. C’est un peu différent pour les
cameramen qui sont mieux payés que les autres (mais très souvent
pigistes) et viennent parfois de milieu plus modeste.

Il ne sert à rien de s’en prendre au journaliste présent sur une
manif 
: d’une part, il fait son boulot, d’autre part, il est très arque
bouté sur sa liberté â€“vous risquez juste de le braquer. Enfin, il n’a
que peu d’influence sur le résultat final de son sujet
. Car il rend le
texte ou des images, mais il a y ensuite le travail de montage, le
visionnage par un premier chef, un second, la réécriture du commentaire,
la rédaction du lancement qui donne le ton. La plupart du temps les
sujets et l’architecture d’un reportage sont choisis et écrits en amont
.
Il faut plusieurs séquences : donc une manif pacifiste, puis des
provocations, puis des bagarres, puis des courses-poursuites, cela fait
un beau sujet en quatre actes, même si dans la réalité le premier moment
a duré trois heures et le second 5 minutes. Dans un but d’efficacité,
il faut donc penser à cela en manifestant. Si l’on ne veut offrir aucune
prise, il ne faut absolument RIEN montrer qui puisse jouer en votre
défaveur.

Enfin, et c’est un aspect important, il faut savoir que la plupart
des journalistes ne possèdent pas le filtre pour comprendre votre
action
. Ils pensent sincèrement que la religion est oppressive et
dépassée, que le mariage homosexuel est une question d’égalité et ont
une ignorance flagrante de la question religieuse. Il suffit de voir la
couverture de l’élection du pape pour réaliser le grand pataugeage des
journalistes sur ce sujet. Ils ont très peu de temps, voire pas du tout,
pour se renseigner sur les fondements idéologiques d’un mouvement. Vous
êtes des aliens
 : vous venez d’un monde qu’ils ne connaissent pas. Etre
journaliste, de droite et catholique dans une rédaction nationale,
c’est comme être un poisson préhistorique dans un aquarium : personne ne
pensait réellement que vous existiez encore…"

23 avril : 4 ministres à la maison de la chimie

Un colloque parlementaire "Reconnaître les entreprises responsables –
Limites actuelles, opportunités françaises et européennes"
aura lieu le mardi 23 avril 2013
à la Maison de la Chimi
e (Paris), présidé par Béatrice Santais, député de la Savoie (Béatrice Santais est le seul
député savoyard -Savoie et Hte-Savoie- à avoir voté la loi Taubira),
sous le haut-patronage de

Delphine Batho
, Ministre de l’Ecologie, du Développement Durable et de l’Energie,

Michel Sapin
, Ministre de l'Emploi, du Travail, de la Formation professionnelle et du Dialogue social,
Benoît Hamon
, Ministre délégué auprès du ministre de l'Economie et des Finances, chargé de l'Economie sociale et solidaire et de la Consommation,
Fleur Pellerin, Ministre déléguée auprès du Ministre du Redressement Productif, chargée des PME, de l’Innovation et de l’Economie numérique.

Retour sur la manifestation à Versailles le 16 : le film

Plus de 5 000 personnes ont défilé dans les rues de Versailles le 16 avril pour
demander le retrait du projet de loi Taubira, dans le calme et la bonne
humeur. En fin de manifestation, très symboliquement devant la
préfecture, des fumigènes ont été allumés et une assistance très jeune a
salué des Hommen portant une Marianne armée d'un code civile. La
manifestation a été émaillée de quelques heurts, suscités
essentiellement par des policiers en civil en très grand nombre et
particulièrement nerveux
face à des manifestants pourtant très jeunes,
joyeux et totalement non-violents. A chacun de se faire son idée en
regardant les images.

Un comité d’accueil pour George Pau-Langevin à Boucau (64) samedi

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Accueil du ministre Anne-Marie Escoffier à Rignac (Aveyron)

A
l’occasion d’une conférence sur la décentralisation le vendredi 19 avril 2013 à
20h30, Mme le Ministre Anne-Marie Escoffier a été accueillie joyeusement à
l’entrée du centre culturel de Rignac par une trentaine de personnes du
collectif LMPT12 scandant et chantant leur refus du projet de loi Taubira.  Cette dernière n’a pas souhaité rencontrer
les familles présentes et s’est immédiatement rendue dans la salle. Cette bande
joyeuse et pacifique s’est dispersée au chant de la Marseillaise sous les
regards des forces de l’ordre et de la Maréchaussée déployées en nombre ce soir
là dans Rignac.


AM Escoffier – Rignac 19 avril 1 par Le_Salon_Beige 

Un rail pour tous dans la région d’Orléans

L'endroit peint est le rail en béton de l'aérotrain. Ce rail est installé le long de la voie de chemin fer entre Paris et Orléans et visible en partie de la nationale 20. Longueur du rail : environ 18 km… désormais ornés de ces inscriptions :

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2

Vannes accueille les vacanciers

1"NON au mariage pour tous" et "mariage Breizh = 1 homme + 1 femme"
: les banderoles étaient explicites au dessus de la 4 voies. Une
quinzaine d'opposants au projet de loi du gouvernement les ont déployées
en début de soirée, dans les deux sens de circulation.

Après
l'action pendant le Tradi-Deiz dimanche dernier, l'opération
"tintamarre" où 70 voitures ont sillonné le centre ville de Vannes lundi
soir, puis la grande manifestation à pied du port jusqu'à la Préfecture
mercredi, les opposants "ne lâchent rien" comme le dit un de leurs
slogans. L'un d'entre eux indique que

"ces actions vont se
poursuivre, pour dénoncer les provocations des policiers en civil
infiltrés dans les rangs des manifestants parisiens, pourtant tout à
fait pacifiques. Mais aussi par solidarité avec ces jeunes parisiens qui
sont arrêtés et mis en garde à vue pour délit d'opinion ! On sent une
radicalisation de la part du Ministre de l'Intérieur à Paris, tandis
qu'à Vannes, la Préfecture semble garder son sang froid."

2Les
manifestants ont senti un encouragement très net de la part des
véhicules : voiture, motos comme camions, qui, par leurs appels de
phares, klaxons ou juste signes de la main, ont montré leur très forte
adhésion à l'opération.

D'autres rendez-vous seront désormais organisés chaque jour.

Bonjour Pont-Aven (Finistère)

Avec le maire :

1

Caen : manifestation au Mémorial pour la Paix ce vendredi soir

La MPT 14 poursuit la Manif pour tous et tout le temps : 8ème jour de
mobilisation
, ce soir au Mémorial pour la Paix à Caen.
300 personnes qui ne lâchent rien, et qui veulent la paix, dont plusieurs musulmans.

1
Les opposants sont chaque soir un peu moins nombreux. De 30 lundi ils
étaient 5 ce soir…

Demain soir à 19h00, la MPT 14 fête la mariée avec un cortège bruyant et joyeux
dans les rues de Caen, puis apéro pour tous au château ducal. Plus de renseignement sur ce document :

2

Les veilleurs à Nantes et les trompettes de Jéricho

2
Avant d'entonner le chant de l'Espérance, François nous lit le poème
de Victor Hugo :

Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée.

Quand Josué rêveur, la tête aux cieux dressée,
Suivi des siens, marchait, et, prophète irrité,
Sonnait de la trompette autour de la cité,
Au premier tour qu'il fit, le roi se mit à rire ;
Au second tour, riant toujours, il lui fit dire :
"Crois-tu donc renverser ma ville avec du vent ?"
À la troisième fois l'arche allait en avant,
Puis les trompettes, puis toute l'armée en marche,
Et les petits enfants venaient cracher sur l'arche,
Et, soufflant dans leur trompe, imitaient le clairon ;
Au quatrième tour, bravant les fils d'Aaron,
Entre les vieux créneaux tout brunis par la rouille,
Les femmes s'asseyaient en filant leur quenouille,
Et se moquaient, jetant des pierres aux Hébreux ;
À la cinquième fois, sur ces murs ténébreux,
Aveugles et boiteux vinrent, et leurs huées
Raillaient le noir clairon sonnant sous les nuées ;
À la sixième fois, sur sa tour de granit
Si haute qu'au sommet l'aigle faisait son nid,
Si dure que l'éclair l'eût en vain foudroyée,
Le roi revint, riant à gorge déployée,
Et cria : "Ces Hébreux sont bons musiciens !"
Autour du roi Joyeux riaient tous les anciens
Qui le soir sont assis au temple, et délibèrent.

À la septième fois, les murailles tombèrent.

“Il ne suffit pas d’accoucher pour devenir mère”

C'est ce qu'a déclaré le ministre de la famille Dominique Bertinotti hier à l'Assemblée nationale.

Le patrond du groupe UMP Christian Jacob a dénoncé :

"Je reviens sur vos propos, madame la ministre, qui sont
particulièrement choquants. Si vous ne considérez pas qu’à partir du
moment où une femme accouche, elle est mère, cela veut dire que vous
vous inscrivez dans une autre logique, celle qui nous choque, celle de
la marchandisation des corps. Vous êtes dans une telle logique, celle de
la GPA
, et vous savez que c’est quelque chose qui nous choque et qui
choque les Français.

Ce n’est pas le fait du hasard s’il y a maintenant 55 % des Français
qui rejettent votre texte, c’est tout simplement parce que, au fil des
débats que nous avons eus dans cet hémicycle, nous avons montré les
liens qu’il y avait entre le mariage et l’adoption et parlé des projets
de PMA et de GPA qui viendraient ensuite, et les Français en ont pris
conscience.
Quand un Président de la République est capable de mettre plus d’un million de personnes dans la rue,…

M. Jacques Myard. À deux reprises !

M. Christian Jacob.
…il y a tout de même une raison, et ce n’est pas en les insultant, en
les caricaturant, en les méprisant comme le fait d’ailleurs votre
président de groupe, que cela va s’arranger. Je regrette d’ailleurs que Bruno Le Roux ne soit pas dans
l’hémicycle, ne suive pas les débats. Il est dans l’invective, il
déclare que le mouvement d’opposition au mariage pour tous n’est plus
une expression républicaine, mais de quel droit se permet-il de
caricaturer ainsi un mouvement populaire ? […] Selon lui, ce n’est plus une expression républicaine d’opposition, ce
n’est qu’un « Woodstock de conservateurs, dans lequel des filles aux
serre-tête auraient remplacé les hippies d’antan
 Â». (Exclamations sur de nombreux bancs du groupe UMP.) Qu’est ce que cela veut dire ? Quel mépris des familles françaises, quel mépris du peuple français ! (Applaudissements sur de nombreux bancs des groupes UMP.)

Quand on est élu de la République, qu’il y a 1,4 million de personnes
dans la rue, on se permet de les insulter, de les mépriser ? On se
permet surtout de ne pas suivre les débats mais de faire des
déclarations ou de poster des communiqués ? Si votre président de groupe
avait un peu de dignité, mes chers collègues, il serait ici dans
l’hémicycle en train de se battre et de défendre ses convictions. (Applaudissements sur de nombreux bancs du groupe UMP. – Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
Mais non, il est caché, il envoie par la poste des communiqués
incendiaires en méprisant les Français. Ça, c’est manquer de dignité !

On attendrait de vous que vous soyez capables de défendre vos
convictions. Je ne doute pas que vous en ayez, mais défendez-les, bon
sang, qu’on vous entende. Ayez le courage de vous exprimer et de
défendre les idées qui sont les vôtres. Vous êtes là, tête baissée,
rasant les murs, n’osant pas vous exprimer. À quoi ressemblez-vous ?
Honte à vous de ne pas être capables de vous exprimer et de défendre vos
convictions !"

Les veilleurs à Marseille

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Les veilleurs de Toulon

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Avec Mgr Rey :

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