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Rue89 surpris par l’ampleur de la manifestation

Voilà un évènement qui n'entre pas dans leurs stéréotypes. Le mouvement devait s'essoufler, il prend de l'ampleur et se durcit :

"Comme d’autres, nous avons été surpris par l’ampleur de la
manifestation dans les rues de Paris, dimanche, contre le « mariage pour
tous Â». Le texte a été voté en première lecture par l’Assemblée
nationale, et il sera adopté ; on s’attendait donc à un reflux du nombre
des manifestants
. Mais non : les « anti Â» ont été à peu près aussi
nombreux à défiler que le 13 janvier : environ 300 000 dans les deux
cas, selon les chiffres de la police.

Il ne faut donc pas minorer l’événement, comme le font certains :
il a une véritable signification politique. Une « chose Â» est en train
de naître dans le paysage français
– il est encore trop tôt pour parler
de « mouvement Â». Cette chose n’a rien à voir avec le Front national :
les manifestants des « manifs pour tous Â» ne sont pas ceux des fêtes de
Jeanne d’Arc. La chose n’est pas superposable non plus aux partis
traditionnels de droite.

Cette chose est conservatrice dans ses valeurs (ces manifestants
viennent pour défendre un modèle de société catholique et familial),
mais moderne dans ses voies d’expression. En cela, elle n’est pas sans
rappeler le Tea Party américain.
Evidemment, j’ai conscience des limites d’une telle comparaison : le
débat politique américain n’a rien à voir avec ce que l’on connaît en
France. L’histoire des deux pays est très différente, de même que leurs
institutions. Pourtant, on ne peut qu’être frappé par certains échos.

Les « manifs pour tous Â», comme le Tea Party, viennent de la société civile. Elles sont fréquentées comme lui
par des classes moyennes, plus que par les classes populaires. Les deux
mouvements se placent sur le terrain des valeurs traditionnelles du
pays. Dans les deux cas, les militants se présentent comme « la majorité
silencieuse Â», expression inventée par Richard Nixon et importée par
Georges Pompidou. […]"

On ne dérange pas un million de manifestants pour rien

Lu dans Minute :

M"Il y a des jours où l’on a envie d’ouvrir la boîte à gifles. C’était le
cas dimanche et ce ne sont pas les nécessiteux qui manquaient, à
commencer par Frigide Barjot. En­tendons-nous bien : la très
mé­dia­tique humoriste […] a eu le courage et l’audace de se placer aux avant-pos­tes de
la lutte contre le mariage et l’adoption pour les couples ho­mosexuels
et, en partie grâce à l’inconscience qui la caractérise, elle a réussi
le pari insensé de faire descendre dans la rue des dizaines de milliers,
puis des centaines de milliers, puis un million et demi de Français.
Lorsque à l’automne dernier, germa l’idée d’une mobilisation populaire,
nul n’aurait parié qu’elle y parviendrait.

Elle a juste oublié deux
ou trois petits détails. Par exemple que Frigide Barjot, toute seule, ça
ne met pas une balle dans le panier ; que sans l’appui, entre autres,
des très puis­sants réseaux des Associations familiales catholiques,
elle n’aurait mobilisé personne. Elle a oublié qu’un porte-parole, ça
porte la parole de ceux que l’on représen­te ; ça ne cherche pas, sans
ces­se, à imposer sa vision très personnelle de la société aux millions
de personnes qui vous ont fait l’honneur de vous déléguer leur maigre
temps d’antenne – voire à leur cracher dessus.
[…]

Et quand on
fait se déplacer un million de personnes ou plus, en fa­mille, à leurs
frais et le dimanche des Rameaux – parce que, ne lui en déplaise, la
foule était à 99 % catholique et pas « Black, blanc, beur Â» et
« multiconfessionnelle Â» comme elle a osé le dire après être allée faire
des risettes aux islami­s­tes de l’UOIF ! –, la moindre des choses est
d’avoir la courtoisie de ne pas les déranger pour rien
. Maintenant,
Frigide, t’es bien gen­tille, mais laisse faire les grands. Maintenant,
on va faire de la politique. Avec des politiques."

Il manquait 5 193 lecteurs sur le Salon Beige hier

pour atteindre les 200 000 visites ! Un record de fréquentation exceptionnel.

Les pilules contraceptives provoquent 2 500 accidents et 20 morts par an

Chiffre explosif diffusé par un rapport de l'Agence du médicament.

Bienvenue dans la culture de mort financée par le contribuable.

Appel à la démission de Manuel Valls

Ce matin, vous étiez déjà près de 2000 à avoir déjà signé l'appel à la démission de Manuel Valls. Faites tourner.

Une avocate témoigne : “j’ai assisté à un déni de démocratie”

Me Françoise Besson, avocate au barreau de Paris, témoigne :

"J'ai participé à la manifestation d'hier, en portant ma robe
d'avocat. N'ayant pu
rejoindre le groupe des juristes, au début de la manif, ne pouvant accéder à
l'avenue de la Grande Armée, totalement saturée, j'ai tenté de rejoindre
l'avenue Foch par l'avenue Victor Hugo mais un barrage bloquait l'accès tant en
direction de l' Etoile qu'à la rue de Traktir.

Alors que la
foule devenait plus dense et demandait à rejoindre l'avenue Foch, ses premiers
rangs (j'étais au 1er rang en train de discuter avec un gendarme) ont fait
l'objet de projections de gaz lacrymogène, des pères de famille ont été
molestés par certains gendarmes, et emmenés vers des camions en dépit de mes
protestations courtoises mais fermes et des effets des gaz. 

L'accès à
l'avenue Foch a finalement été autorisé.
J'ai tenté
d'accéder à l'avenue de la Grande Armée par la rue Rude, et après plusieurs
essais infructueux, y suis parvenue. La foule
était si dense qu'une ouverture étroite avait sans doute été autorisée pour
accéder à la Place de l'Etoile, quasiment vide vers 15h environ.
La place
s'est remplie peu à peu sans jamais être comble, le gros de la foule restant
massé derrière le podium de l'Avenue de la Grande Armée.

GSur la place,
avec quelques autres confrères, j'ai eu vent du "gazage" de Christine
BOUTIN,qui venait de se produire, puis assisté à celui ,sans aucune sommation,
d'enfants, de personnes âgées, de manifestants qui, quelques instants
auparavant discutaient paisiblement avec les forces de police.
Pourtant, un
CRS auquel j'avais posé la question aux alentours de 16h m'avait dit qu'il
n'avait eu connaissance d'aucun acte de violence de la part des manifestants.. 

Plus tard,
j'ai un vu qu'un cordon de police venait de barrer la partie gauche (en venant
de l'Etoile) de la rue de Tilsit: or des personnes cherchaient à quitter les
lieux pour rentrer chez eux en traversant la place de l'Etoile
: un passant m'a
signalé que cela se passait mal et je me suis approchée avec deux confrères. En effet,
ceux tentaient de franchir ce barrage en ont été empêchés de la manière la plus
brutale par des policiers, certains en uniformes, d'autres en civil qui ne
portaient qu'un brassard rouge avec l'inscription "POLICE". J'ai vu une
policière "gazer", sans aucune sommation, des gens à bout portant, les
pousser violemment jusqu'à les faire tomber tandis qu'un de ses collègues à
brassard rouge les frappait avec un bâton. 

Gazée à
nouveau, je me suis interposée en disant à ces policiers qu'ils violaient la
les règles les plus élémentaires, en s'attaquant à des gens non violents qui ne
cherchaient qu'à rentrer chez eux.
Cela n'a
servi à rien. Je suis donc allée prévenir des CRS alignés pour interdire de
contourner l'Arc de Triomphe par la droite: ils ne m'ont d'abord pas crue, puis
certains paraissaient génés, d'autres m'ont dit qu'il pouvait s'agir de
"la milice de la mairie de Paris"! Je leur ai
dit que je ne manquerai pas de témoigner de ce que j'avais vu.

Certes
l'accès aux Champs Elysées avait été interdit, mais en pratique, celui à
l'Etoile a été autorisé en milieu d'après midi parce que l'espace
prescrit aux manifestants était notoirement insuffisant ce qui devanait
dangereux pour eux. 

On avait le
sentiment, peu avant la fin officielle de la manifestation, que les forces de
police se préparaient à tendre un piège aux manifestants qui, ne pouvant
accéder à l'avenue de la Grande Armée, ni même à l'Arc de Triomphe, s'étaient
massés sur la partie des Champs entre le barrage de CRS de l'Etoile et le Rond
Point, comme à ceux qui, sortant de l'avenue de la Grande Armée, seraient
tentés de les rejoindre.

EJ'ai ensuite
appris qu'en effet, nombreux sont ceux qui ont été gazés puis chargés sans
sommation préalable, certains, matraqués, alors qu'assis, près du Rond Point,
ils discutaient et chantaient.
Pire, ils ont
eu beaucoup de mal à s'échapper des Champs étant rappelé que la plupart des
stations de métro proches demeuraient fermées et que la police barrait
plusieurs rues adjacentes. 

Comme tous
mes confrères, professeurs de droit et magistrats présents, j'ai été choquée
par les agissements des forces de police et parfois même de gendarmerie.
Comme eux je
pense que cette manifestation n'était pas souhaitée par le gouvernement qui a
tout tenté pour la désorganiser, provoquer des actes rellement répréhensibles
de la part des manifestants et ainsi les décrédibiliser. Or, je n'ai vu aucun manifestant attaquer physiquement les
forces de police mais plutôt s'en défendre. Si les
manifestants n'avaient pas été aussi corrects, les débordements auraient eu des
conséquences nettement plus graves. 

Pour résumer, j'ai assisté à un déni de démocratie, à la
violation de règles élémentaires de notre droit, à des scènes choquantes. Quant à ceux qui trouvent choquants d'y avoir emmené des
enfants, je rappelle qu'il s'agissait d'une manifestation de familles pour
défendre LA famille : celle du 13 janvier s'était bien passée parce que le
gouvernement avait autorisé une quasi libre circulation. Enfin, je n'ai eu vent d'aucun acte de vandalisme."

La France vue d’Allemagne

A
Source.

Dimanche, Manuel Valls gérait le maintien de l’ordre depuis le Grand Rex

Le ministre assistait à un concert de violons, tout en répondant au téléphone pour donner l'instruction d'asperger des enfants par gaz lacrymogènes :

V
Source.

La fin des armées françaises, c’est maintenant !

Le scénario catastrophe se précise avec une loi de programmation militaire reportée en septembre. Témoignage exclusif sur le site du mamouth de Christophe Guillotteau, député (UMP), membre de la commission de la défense et de la commission du livre Blanc :

"C'est la première fois qu'on se réunissait depuis longtemps car cette réunion, qui s'est déroulée au SGDSN avait été reportée. C'est la première fois que les parlementaires, tous présents, ont tous demandé à prendre la parole pour faire part de leur divergences de points de vue. Le président Carrère, puis Patricia Adam ont pris la parole, puis je me suis exprimé à mon tour. Le CEMA a aussi expliqué que le modèle Y , c'est le dernier arrêt avant la catastrophe. On est sur des prévisions apocalyptiques. Jusqu'à 50.000 personnels en moins, une diminution de contrat opérationnel allant jusqu'à 50%, plus aucun char lourd, 250 chars moyens, 1100 VBMR (1), zéro porte-avions, 4 SNLE, 4 SNA, 2 ravitailleurs, 140 avions de combat, 11 MRTT. C'est une des variantes du scénario Y qui nous a été présentée. On n'aurait plus que deux implantations en Afrique, on abandonne le Golfe… Vu les réactions des parlementaires, il pourrait y avoir une ultime réunion de la commission en avril."

Vers la préférence nationale au Royaume-Uni

Le Premier ministre britannique David Cameron a annoncé hier la mise en place de restrictions aux droits des immigrés en matière d'aide au logement, d'indemnité chômage et d'accès au système de santé.

David Cameron s'en est aussi pris aux "touristes de la santé" abusant du National Health service (NHS), le système public de santé.

"Soyons clairs: nous avons un service national gratuit de santé, ce n'est pas un service international".

Concernant l'allocation logement, le Premier ministre a souhaité qu'elle soit désormais réservée aux immigrés ayant vécu au moins deux ans dans le pays.

Le Labour a lui-même durci sa position sur l'immigration, de même que les Libéraux-démocrates.

“Ce qui nous menace, ce n’est plus la défiance des marchés, mais c’est celle des peuples”

Citation de François Hollande, le 5 février 2013 à Strasbourg.

554 enfants sauvés de l’avortement !

C'est le premier bilan de la campagne de Carême des 40 Days for Life.

Floraison d’initiatives : le harcèlement du gouvernement c’est maintenant

Lu dans La Croix :

"Sur le front judiciaire, « La manif pour tous Â» annonce une action en justice contre Pierre Bergé pour « incitation à la haine Â», et
rappelle que l’assignation en diffamation du sénateur PS et rapporteur
du projet de loi, Jean-Pierre Michel, sera examinée en référé le
4 avril
, jour du début des travaux du Sénat. […]

Il
y a aussi une floraison d’initiatives parallèles : le « courant pour
une écologie humaine
 Â» lancé par Tugdual Derville ; les futures « actions concrètes et virales Â» promises
par le « printemps français Â», ou encore les manifestations devant le
Sénat [du 4 au 7 avril] annoncées par l’organisation Civitas, proche de la Fraternité
sacerdotale Saint-Pie-X. 

Les organisateurs de la « manif pour tous Â» souhaitent qu’elles soient « convergentes et non contradictoires Â», insistant sur le caractère « légal Â» de leurs propres actions. « Je suis favorable à des actions non violentes mais pas forcément dans la légalité Â», rétorque quant à elle Béatrice Bourges, présidente du Collectif pour l’enfance et soutien du « printemps français Â»."

Reportage photos de Jeanne Smits

A voir ici.

L’euro ne peut pas durer

Mgr Chrysostome II, primat de l’Eglise orthodoxe de Chypre, a déclaré samedi :

« L’euro ne peut pas durer. Je ne dis
pas qu’il va s’écrouler demain, mais, avec les cerveaux qu’ils ont à
Bruxelles, il est certain qu’il ne durera pas à long terme, et le mieux
est de penser à la façon de s’en échapper
. Ce n’est pas facile, mais
nous devons y consacrer autant de temps que nous en avons dépensé pour
entrer dans la zone euro. Â»

Puis :

« Le gouvernement [communiste] qui
vient d’être remplacé est certainement à blâmer. Les ministres des
Finances sont à blâmer. La Banque centrale a tout bouleversé. Les
dirigeants et les cadres des banques devraient être poursuivis en
justice pour avoir tout mis sens dessus dessous et avoir transformés les
gens en indigents.
 Â»

Quand la foule a envahi les Champs-Elysées

C
1

Allez François Hollande, sois à ce qu’on te dit !

"Quand il y a des milliers et des milliers de citoyens, jeunes ou moins jeunes, quand toutes les organisations syndicales, représentées sans exception, quand de nombreuses associations d'étudiants et de parents d'élèves, sont aussi mobilisés, à quoi sert d'attendre la prochaine manifestation ? (… ) il suffirait d'un mot, un seul, que le pouvoir hésite à prononcer : l'abrogation. C'est un gros mot pour la droite. Mais quand on a fait une erreur, il faut savoir l'effacer".

Discours de François Hollande en 2006, lors des manifestations contre le CPE

Nous ne lâcherons rien !

T
Photo originale.

“Votre fils a été touché par des gaz lacrymogènes. Il ne voit pas d’un Å“il. Un ophtalmo va venir”

Un des collaborateurs de Famille Chrétienne était présent à la Manif pour tous du 24 mars. Son fils a été hospitalisé après avoir reçu du gel lacrymogène dans les yeux, lancé à bout portant. Il raconte :

" Vers 16 h 30, nous sommes en haut de l’avenue de la Grande-Armée, près de l’Étoile. Un appel sur le portable : « Votre fils est à la tente de sécurité de l’Ordre de Malte. Il a été touché par des gaz lacrymogènes. Il ne voit pas d’un œil. Un ophtalmo va venir. » Moment d’angoisse : mon fils de quatorze ans a un œil fragilisé depuis l’enfance à cause d’une blessure profonde. S’il ne voit plus de cet œil à cause du gaz, va-t-il le perdre ? Il fait la manif’ sans nous, avec son chef de patrouille scout. Est-ce qu’on n’aurait pas du leur dire de rester près de nous ? Je ne suis qu’à trente mètres des barrières qui empêchent l’accès à la place de l’Étoile. Mais dans la foule compacte, où l’on ne progresse que centimètre par centimètre, et où je dois changer plusieurs fois de direction à cause de mauvais renseignements, il me faudra près d’une heure pour arriver à la tente installée en haut de l’avenue Foch.

L’ophtalmo me salue : « Votre fils a été évacué par ambulance. Il doit être déjà à l’hôpital Necker. » Le temps de quitter la manif, avec ma femme et notre plus jeune enfant, et de rejoindre un métro, nous ne découvrons notre ado sur son lit d’hôpital qu’à 19 h 30. Pour l’interne, c’est sûr, les CRS n’ont pas utilisé du gaz mais du gel, qui peut être projeté beaucoup plus loin et qui adhère aux tissus. Cela se voit à la persistance du produit sur les vêtements de mon fils qui, encore deux heures après, faisaient à eux seuls tousser et suffoquer les soignants de l’hôpital.

J’interroge enfin mon fils pour savoir comment il a pu provoquer les CRS au point de les forcer à lancer du gel lacrymogène : « On ne les a pas provoqués du tout. On était contre les barrières en haut de l’avenue Foch. Certains criaient que c’était une honte de barrer les Champs-Élysées. Mais rien de plus. À un moment, les mouvements de foule derrière nous ont fait pousser un peu les barrières. Les CRS les ont alors très violemment repoussées. Nous sommes alors restés face à face avec eux pendant une demi-heure puis, tout à coup, en moins d’une seconde, un CRS nous a gazés, uniquement mon ami scout et moi, à bout portant. Cela s’est passé à une vitesse incroyable. Un photographe qui était là nous a pris et a laissé son numéro de téléphone. Tu l’appelleras, papa ? » Pas d’école pour mon fils, ce lundi. Et plusieurs jours de soin avant de recouvrer – espère-t-on – son œil."

Exigeons la démission de Manuel Valls.

On a retrouvé Christiane Taubira

Elle était au Sénégal du jeudi 21 au dimanche 24 mars… Bizarrement, elle n'a pas vanté "le mariage pour tous" auprès de son homologue sénégalais. 

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