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Simone Veil dit non !

…à la Turquie dans l’Europe. Mais, le meilleur moyen de lui dire non, c’est de voter contre le projet de traité…

Michel Janva

L’insurrection des “non”

Pour la France, l’emploi, une saine économie, le non concerne tous les Français. Pierre Pujo parle d’insurrection :
  "Le Non n’est ni de gauche ni de droite. Il est celui de tous les Français
  qui ont perdu confiance dans leurs dirigeants et qui ont le sentiment qu’on
  les trompe. C’est un Non instinctif qu’aucun parti ne peut revendiquer car désormais
  il n’y a plus qu’un seul clivage politique : celui qui sépare les Oui
  et les Non
".

Lahire

Chartres blogué au fil du week-end

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Sauf calamité technique, les blogueurs du Salon Beige participant au pélerinage Paris-Chartres posteront ici au fil du week-end. N’hésitez pas à en informer d’infortunés amis qui seraient forcés de travailler lundi. Eplorés derrière leur ordinateur de bureau, il pourraient y trouver de la consolation.

Il va sans dire que les commentaires sur ce blog n’engagent en rien les organisateurs du pélerinage !

Henri Védas

PS: Pour ceux (parmi lesquels j’étais jusqu’à hier soir) qui n’avaient pas compris, les excellentes affiches du site du CAL (dont celle ci-contre) sont des détournements de la campagne de propagande gouvernementale pour le Lundi travaillé.

Yalta (suite)

J’espère ne pas ennuyer le lecteur en revenant sur la récente dénonciation de Yalta par Bush. Sans aller jusqu’à nier les arrière-pensées qu’on lui attribue, je crois qu’on peut vivement se réjouir de son attaque contre la faiblesse de l’Occident face à la prise de pouvoir communiste en Europe centrale et orientale.

La rédaction de National Review répond à ceux qui critiquent ce geste :

Les défenseurs indignés de Yalta sont passés à l’offensive. Jacob Heilbrunn, dans le Los Angeles Times, a adressé à la vision qu’a Bush de l’histoire deux reproches typiques : d’abord, que l’occupation soviétique en Europe de l’Est était inévitable parce que "le territoire était déjà en leur possession"; ensuite que refuser de parvenir à un accord avec Staline "aurait sérieusement compromis la bataille commune contre l’Allemagne (à un moment où Roosevelt était soucieux d’obtenir le soutien soviétique dans la guerre contre le Japon, et l’a obtenue.)"

Le deuxième argument n’est pas convaincant. Staline avait tout aussi envie que Roosevelt et Churchill de battre Hitler, et quand les Alliés se sont réunis à Yalta en février 1945, le Troisième Reich était déjà à l’agonie. Concernant le Japon, les Etats-Unis étaient tout à fait capables de gagner en Asie sans le "soutien" russe.

Le premier argument, en revanche, est en partie vrai. Mais si la proximité des états baltes avec la Russie rendait leur annexion par l’URSS presque inévitable, le sort de la Pologne, de la Tchécoslovaquie, de la Hongrie, de la Roumanie et de l’Allemagne n’étaient pas nécessairement scellé. Même s’il n’était pas possible de prévenir leur occupation, (…) les démocrates en Europe de l’Est auraient été renforcés par des encouragements précoces venant de l’Occident. (…) Donc Bush a eu raison de regretter Yalta. (…) La Russie baigne dans la nostalgie des bons vieux jours du communisme soviétique : Vladimir Poutine a déclaré récemment que l’éclatement de l’URSS avait été "la plus grande catastrophe géopolitique du siècle", et des statues de Staline apparaissent à travers le pays. (…)

HV

Messmer dit non

L’ancien Premier ministre de Georges Pompidou  Pierre Messmer votera "non" au référendum du 29 mai sur la Constitution européenne. En effet, il reconnaît que "la Constitution européenne telle qu’elle est soumise à référendum est mauvaise pour la France".

Les gaullistes partisans du "non" ont applaudi la prise de position de l’ancien Premier ministre. Le député UMP Nicolas Dupont-Aignan, qui a publié le compte-rendu de l’assemblée générale de Présence et action du gaullisme en se prévalant de l’autorisation de Pierre Messmer, y a vu "une bonne nouvelle pour tous ceux qui sont attachés à une certaine idée de la France".

Michel Janva

Le bon sens d’Etienne Chouard

Etienne Chouard, d’après le portrait dressé par Le Monde daté de demain, représente typiquement le Français qui se réveille après un long sommeil politique et, par son simple bon sens, s’aperçoit que ce qu’on veut lui faire accepter va contre ses intérêts.

Tout a commencé en septembre 2004, quand les socialistes ont du se prononcer par référendum interne. Etienne Chouard ne s’était pas posé de question : il allait voter oui, comme pour Maastricht. Alors il s’interroge et commence à lire. Après est venu le temps du clavier. Etienne Chouard envoie sur une liste de diffusion restreinte à ses "collègues" et "amis" juristes sa lettre ouverte, "Une mauvaise Constitution qui révèle un cancer de notre démocratie". Il y explique que le traité est "illisible", "partisan", "verrouillé", et ne "contrôle pas plus les pouvoirs" qu’il ne les "sépare".

En deux semaines, l’incroyable se produit : environ 300 courriels de soutien par jour, le site d’Etienne Chouard, actualisé régulièrement, devient une machine à voter non. Même le Salon Beige en a parlé. Serait-ce le réveil démocratique ? La réponse de la "France d’en-bas" ? Ce qui est sûr, c’est que ce Monsieur est en train de prouver dans les faits le formidable pouvoir (ou contre-pouvoir…) qu’est Internet, ce que certains appellent déjà la cyber-citoyenneté.

Michel Janva

La Constitution consacre la perte d’influence de la France

C’est l’analyse de Jean-Marie Le Pen dans une tribune publiée aujourd’hui dans Le Figaro. En résumé, quel sera le poids de la France à Bruxelles :

– moins de 10% des membres du Parlement européen (aujourd’hui, dans une Europe à 25, la France a 78 députés sur 732 soit 10,6% des membres contre 20% en 1979. La Constitution lui en prévoit 72 pour 2009 soit 9,6% des membres),

– 12% des voix au Conseil dans une Europe à 27 (l’égalité traditionnelle entre la France et l’Allemagne, réaffirmée par le traité de Nice -29 voix chacune-, est rompue au bénéfice de l’Allemagne qui représentera 18% des voix contre 13% pour la France dans l’Europe à 25),

– plus aucun commissaire européen (avec Nice, la France a déjà accepté de perdre son deuxième commissaire européen) car il y aura 18 commissaires pour 27 ‘pays’.

Ces chiffres ne tiennent pas compte de l’arrivée de nouveaux pays (Croatie, Ukraine, Turquie…) qui continueront d’affaiblir l’influence française en Europe.

Michel Janva

Pour une société chrétienne

Lors de son audience générale du mercredi place Saint-Pierre, le pape Benoît XVI a appelé les catholiques à s’engager "à oeuvrer à la construction d’une société inspirée des valeurs chrétiennes".
L’Eglise italienne est mobilisée pour dissuader les électeurs de participer le 12 juin au référendum d’initiative populaire sur la fécondation artificielle. Les initiateurs du référendum veulent faire abroger une loi très restrictive qui met de nombreux obstacles aux couples stériles désirant avoir un enfant. La fécondation artificielle implique la ‘fabrication’ d’embryons surnuméraires dont on ne sait que faire, sinon les tuer. L’Eglise appelle à l’abstention alors que si la participation ne dépasse pas les 50%, le vote sera considéré comme nul. L’abstention compte en Italie…

Dans sa catéchèse, le pape a encore déclaré que l’histoire "n’est pas désordonnée ni sans signification", elle "ne dépend pas de puissances obscures, du hasard ou du seul choix humain. Au dessus du déchaînement des énergies mauvaises, des irruptions violentes de Satan, de l’émergence de tant de fléaux et de maux, s’élève le Seigneur, arbitre suprême de l’histoire humaine".

L’UMP dans le non !

Philippe de Villiers (MPF) et les députés UMP hostiles à la Constitution ont lancé un appel aux électeurs UMP. Le président du Mouvement pour la France, ainsi que les députés UMP Nicolas Dupont-Aignan et Jacques Myard ont lancé mercredi "un appel à tous les électeurs de la majorité et à tous les Français qui hésitent".

"Il y a un ‘non’ de droite qui monte dans le pays", a affirmé Philippe de Villiers lors d’une conférence de presse. "Nous sommes beaucoup plus nombreux qu’on ne le dit dans la presse", a assuré M. De Villiers, alors que Jacques Myard a lâché: "Nous sommes la bonne conscience de l’UMP". "Tous les jours, on a des conseillers généraux et des maires UMP qui nous rejoignent", a affirmé Nicolas Dupont-Aignan.

Les parlementaires UMP favorables au "non" comptent déposer mercredi après-midi une proposition de loi pour réaffirmer l’interdiction faite aux membres du Conseil Constitutionnel de prendre parti publiquement.

Michel Janva

Quelle lutte contre l’immigration clandestine ?

Le ministre de l’Intérieur Dominique de Villepin rend public aujourd’hui un soi-disant plan d’action contre l’immigration irrégulière. D’habitude, lorsque le gouvernement fait ce genre d’annonce, c’est qu’il a préparé un ou plusieurs projets de loi. Cette fois, il n’y aura pas de loi nouvelle, car il s’agit de mieux appliquer les lois existantes. Mais le motif n’est pas du tout celui-là, car si le gouvernement n’annonce pas de projet de loi, c’est parce qu’il ne le peut pas : le Parlement français ne peut plus voter la moindre loi en la matière: en application du traité d’Amsterdam, la politique d’immigration est désormais du seul ressort de l’Union européenne.

Il ne reste au gouvernement français que la possibilité de prendre d’éventuelles mesures administratives, en application de la politique européenne : meilleure coordination de services de police et de gendarmerie, renforcement du rôle de la police aux frontières. Mais la Constitution européenne pose en principe, dans son article III-265, "l’absence de tout contrôle des personnes, quelle que soit leur nationalité, lorsqu’elles franchissent les frontières intérieures" de l’Union.

L’imposture devient caricaturale lorsque Villepin déclare au Figaro qu’il est "hors de question" de régulariser les immigrés en situation irrégulière, alors qu’il est très précisément en train de régulariser douze clandestins qui faisaient le chantage de la "grève de la faim"…

Michel Janva

Cardinal Medina chez les soeurs du Barroux

Je "confirme la confirmation" de ce matin de mon collègue et ami blogueur Lahire concernant la venue du Cardinal Medina (protodiacre pendant le Conclave, celui qui a prononcé notamment le fameux "Habemus Papam" et la suite que vous connaissez !) à l’abbaye de l’Annonciation du Barroux dans le Vaucluse (soeurs bénédictines). J’y étais moi-même avec quelques amis dimanche dernier et vous indique qu’il était prévu que le Cardinal arrive hier mardi et reste jusqu’à ce samedi à l’Abbaye. La cérémonie en elle-même est demain jeudi. 700 personnes au moins sont attendues. Les travaux, considérables, sont quasimment achevés. Tant pour le fameux clocher, dont les cloches ne se lassent pas de sonner depuis déjà quelques semaines, que pour l’abbatiale dont les derniers points sont achevés (autel, vitraux, grille…) et les batiments conventuels. Et surtout quelle joie pour l’Eglise et notre Seigneur de voir naître et se développer ainsi, dans un site aussi merveilleux que la Provence, un lieu de prière et de vocations. Confions dès aujourd’hui les âmes de ces soeurs qui prient sans relâche pour le monde et sa sanctification. Sans la prière, tout est vain…

Carole Dubois et ses petits amis.

La politique européenne selon l’ex-Cal Ratzinger

Jean-Paul II affirmait que “la Pologne et son histoire sont incompréhensibles sans le Christ ”. Il jugeait aussi l’Europe incompréhensible sans le Christ. Benoît XVI partage les regards de son prédécesseur : le nom qu’il s’est choisi le dit.

Joseph Ratzinger écrivait en 1987, après avoir évoqué le triple héritage grec, chrétien et latin de l’Europe, et cautionné, comme héritage moderne, “la séparation entre foi et loi ” : “Toute union politique ou économique en Europe n’aura pas automatiquement une valeur d’avenir pour elle. Une simple centralisation des compétences économiques ou législatives peut conduire à une décadence accélérée, si elle aboutit, par exemple, à une technocratie dont l’unique règle serait l’accroissement de la consommation.”

Il a dit encore : “La reconnaissance et la protection de la liberté de conscience, des droits de l’homme, de la liberté de la science et, sur cette base, d’une société humaine libre, doivent être des éléments constitutifs de l’Europe.

Le chrétien prendra la mesure de la politique européenne en fonction de ces critères et c’est à partir d’eux qu’il accomplira sa mission politique” (Église, Œcuménisme et Politique, p. 305). Pas d’Europe humaine sinon chrétienne.

En outre, pas de démocratie sans référence à Dieu. “Depuis son origine en Hellade, l’intime relation entre la démocratie et l’eunomie – le droit qui ne peut être manipulé – est un élément constitutif de l’Europe. […] Si l’eunomie constitue une condition préalable à la viabilité de la démocratie dans son opposition à la tyrannie et à l’ochlocratie, la prémisse fondamentale de l’eunomie sera le respect commun pour les valeurs morales et pour Dieu, avec les obligations morales qui en découlent pour le droit public. Je voudrais rappeler cette phrase importante de Bultmann : “Un État non chrétien est possible, en principe, mais non un État athée”, pour le moins, pas tel qu’il puisse rester longtemps un État de droit. Voilà la raison pour laquelle Dieu ne doit pas être exilé par principe dans le domaine privé, mais doit être accepté comme valeur suprême, même dans le domaine public” (op. cit. p. 306).

Face à une Union européenne qui s’éloigne manifestement de plus en plus de l’intention de ses pères fondateurs, le futur Benoît XVI estime “que les choses devraient aller à l’inverse de l’évolution actuelle, où l’athéisme commence à être considéré comme un dogme public fondamental.

Avant même que le débat soit lancé sur la reconnaissance de l’héritage chrétien, Joseph Ratzinger “ose affirmer que la démocratiedevient absolument muette quand elle n’est pas orientée vers la mise en œuvre des valeurs morales fondamentales du christianisme, actualisables même sans confessionnalisme chrétien et même dans le contexte d’une religion non chrétienne.”

Si l’Europe veut vraiment, comme le prétend le préambule de son projet de Constitution, “approfondir le caractère démocratique et transparent de sa vie publique, et œuvrer pour la paix, la justice et la solidarité dans le monde”, elle devrait donc bien aller “à l’inverse de la situation actuelle” !

CQFD.

Michel Janva

Bush et Yalta

Beaucoup de commentateurs, dans la presse, n’ont voulu voir dans le discours de Bush à Riga qu’une critique de la Russie. Cela me semble passer à côté de l’aspect le plus important de ce discours : l’autocritique américaine à propos des accords de Yalta. Le Monde a remarqué cet aspect, mais est pratiquement le seul.

Cette quasi-repentance est inédite, venant d’un président américain en exercice sur le sol de l’ancienne URSS. Ronald Reagan avait toutefois déjà regretté Yalta, même si cette citation date de 1992, quand il n’était plus président :

"Nous avions tous les deux (Reagan et Jean-Paul II, NDT) le sentiment qu’une grande erreur avait été commise à Yalta et qu’il fallait faire quelque chose." (Source.)

Les remarques de Bush ont en revanche été remarquées outre-Atlantique et lui valent d’être critiqué par quelques intellectuels de gauche.

HV

L’Europe c’est la paix ?

Finalement, le seul argument resservi par les partisans du ‘oui’ au projet de Constitution, c’est que, depuis 60 ans, c’est la paix en Europe, grâce à l’Europe. Comme l’a rappelé hier sur TFI Philippe de Villiers, c’est la paix qui a fait l’Europe et non l’inverse…

Allons plus loin : si nous avons déjà dit que cette Constitution est porteuse d’un germe mortel qui s’avèrera certainement explosif (au sens propre…) à long terme, puisqu’elle gomme les identités, regardons-y de plus près. En effet, on s’aperçoit que, depuis plus de 10 ans, l’Europe n’a pas su résoudre le conflit dans les Balkans, qui se réveillera, selon les observateurs présents sur place, dès le départ des forces internationales.

Pire : avec la Turquie, d’autres problèmes s’annoncent. Celle-ci occupe la partie nord de l’île de Chypre depuis 1974 tandis que ce pays vient de rallier l’Union sans qu’une solution (sinon l’occupation militaire) n’ait été trouvée. En outre, avec l’adhésion de la Turquie, l’Europe aura des frontières communes avec l’Irak, l’Iran (et sa guerrilla), et d’autres charmants pays… Comme, en cas d’agression de l’un, les autres pays de l’Union seront obligés d’intervenir, cette Constitution, qui ne définit aucune frontière, multiplie les risques de déflagration à l’échelle européenne !

Michel Janva

Guigou démagogue

L’ancienne ministre de la Justice et de la Santé Elisabeth Guigou a nié le génocide arménien lors d’une visite en Turquie :"La loi française sur le génocide arménien est contraire au droit, d’ailleurs elle est sans fondement."

Pour l’entrée de la Turquie en Europe, certains sont prêts à tous les mensonges. Qui poursuivra cette député en justice pour négation de génocide ?…

Michel Janva

Une Constitution qui divise

Après le retour des dinosaures et du trio infernal, les militants du PS remuent le ciel (?) et appellent les esprits pour les soutenir dans leur combat. Le problème c’est que Danielle Mitterrand (la veuve du président défunt) appelle à voter non tandis que Gilbert du même nom (le fils) appelle à voter oui.

Même dans l’au-delà, les socialistes sont divisés ? Après 100 ans, la rose socialiste apparaît bien fânée…

Michel Janva

Bouteflika (suite)

Le site Chrétienté revient sur l’amnésie historique (voulue ?) du Président de ce que l’on nomme l’Algérie.

Il faut savoir en outre que, pour revenir sur la guerre d’Algérie, le FLN n’a jamais signé les accords d’Evian (mais uniquement le cessez-le-feu), qui engageaient les gouvernements (Français et FLN) dans la gestion de l’après-conflit. Accords signés et suivis à la lettre par le gouvernement français (abandon des harkis…) mais accords qui n’en sont pas car, pour entrer en vigueur, il fallait la ratification des deux parties…

Michel Janva

Bouteflika le révisionniste

Le président algérien a dépassé les bornes en comparant la colonisation française en Algérie au nazisme ! Même en admettant, ce que nous refusons, que la colonisation a été négative, il est impensable de la comparer avec le régime exterminateur, eugéniste et raciste de l’Allemage nazie. Le communisme lui est comparable (et notre démocratie liberticide également par sa culture de mort), régime expansionniste et génocide, régime auquel Bouteflika s’est allié en devenant membre du FLN (il est membre du Bureau politique du FLN pendant la guerre), parti terroriste, marxiste et révolutionnaire (trois mots synonymes).

Avant de réviser l’histoire de France, le président algérien serait bienvenu d’autoriser les harkis à rentrer dans leur pays et à leur rembourser 40 ans d’injustice ! C’est lui-même qui disait à propos des harkis : "Si la révolution les a condamnés, il n’en reste pas moins que le peuple les frappe de son mépris et continuera à les haïr et les nier…"

 

Michel Janva

Le ministre à tout faire

Selon l’article I-28 du projet, "le ministre des affaires étrangères de l’Union conduit la politique étrangère et de sécurité commune de l’Union. … Il agit de même pour la politique de …défense commune".

Est-ce à dire que ce ministre des affaires étrangères est également un ministre de l’intérieur de l’Union et un ministre de la défense ? Sachant que la politique de défense doit suivre les directives pro-américaines de l’OTAN, on est en droit de se demander ce qu’il restera de l’indépendance de l’Europe. Quand on sait qu’il est également l’un des vice-présidents de la Commission (même article), on est en droit de se demander ce que signifie cette concentration inhabituelle, pour ne pas dire antidémocratique, des pouvoirs…

Michel Janva

Le combat chrétien pour le lundi de Pentecôte

Rubon0Le site Chrétienté info propose une bannière à utiliser sans restriction pour défendre le caractère religieux du lundi de Pentecôte. A télécharger ici ou cliquer sur l’image.

Lahire

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