Offensive maçonnique sur l’Europe
Dans une tribune du Monde du 11 juin, signée par Gérard Pappalardo, président du conseil de l’ordre du Grand-Orient de France, Alain Bauer, Jacques Lafouge et Jean-Robert Ragache, tous trois anciens présidents, les frans-maçons s’en prennent ouvertement à l’Eglise catholique, responsable de la crise actuelle en Europe :
"Le réveil de l’ordre moral se fait sentir. La publication du Lexique des termes ambigus et controversés sur la famille par le Vatican montre le travail de régression entrepris. (…) L’Eglise reprend le contrôle des appareils politiques pour mener son propre programme. (…) Il ne s’agit plus d’un lexique, mais d’un nouveau syllabus."
Voulant reprendre le contrôle du destin politique de l’Europe (que deux peuples viennent de lui enlever), les francs-maçons demandent à ce qu’il soit procédé à l’élection d’une Assemblée constituante (qu’ils occuperont via les magouilles électorales) "pour procéder à la nouvelle étape" après la victoire du non. Quelle étape ? Quand, dans un même article, on condamne la morale et on propose une solution pour sortir l’Europe de la crise, on comprend alors quels sont les buts poursuivis : l’élaboration d’un super-Etat européen sans foi ni loi morale, sans Dieu et contre la dignité de la personne humaine. On comprend alors l’intérêt capital pour ces gens de ne pas mentionner les racines chrétiennes de l’Europe.
La simplicité de Benoît XVI
NRO rapporte (ici, v.o.) :
Juste avant de quitter Benoît XVI, une personne en chaise roulante a tendu son téléphone portable au Pape et lui a demandé de dire quelques mots à la personne à l’autre bout du fil. Le Pape a accepté la proposition et a conversé brièvement, à la surprise des photographes et journalistes présents.
La photo est ici !
Attention : histoire choquante
Dans Festivus Festivus, son livre d’entretiens avec Elisabeth Lévy, le philosophe Philippe Muray dit que, pour comprendre notre époque, on a davantage besoin de démonologie que de sociologie. Qu’on en juge :
Un avorteur du Kansas conservait des cadavres de foetus dans son réfrigérateur. Une de ses employées témoigne l’avoir vu "passer un des foetus avortés au micro-ondes, et le mélanger au reste de sa nourriture." (Source, en anglais.)
Pour la presse (et sans doute la presse française n’en fera-t-elle pas mention) ce ne sera sans doute qu’un "fait divers" : un regrettable incident, une bavure marginale (comme celle-ci) qui n’entache en rien le caractère éminemment respectable de la majorité des avortoirs. Si je mentionne cette histoire cauchemardesque, c’est parce que je pense au contraire qu’elle révèle une vérité profonde sur ce que notre société fait des plus faibles de ses membres.
Le Saint-Siège veut reprendre sa liberté
Dans Le Figaro (version papier) d’hier, on apprenait que le Saint-Siège souhaite revenir sur une disposition des accords de 1924 avec la République française, toujours en vigueur: celle qui donne à l’éxécutif français un droit de regard sur les nominations d’évêques.
(…) (L)a France est désormais le seul Etat européen à conserver ce droit de regard. Pour se garantir une totale indépendance, le Saint-Siège souhaite que la France envisage de renoncer à ce privilège.
Le gouvernement ne semble pas très motivé pour entreprendre une réforme de ce "pilier de l’histoire" dont il ne perçoit pas les avantages dont pourrait bénéficier le Saint-Siège.
Et le discours de l’éxécutif semble être de minimiser la portée de cette disposition : pour Nicolas Sarkozy (dans son livre d’entretiens, commentaire),
(…) les seuls "éléments à charge susceptibles d’être retenus" contre une nomination "sont d’éventuelles prises de position publiques contraires à l’ordre public, au sens où l’entend la loi de 1905."
Pour Sarkozy, il n’y a eu depuis 1950 "que deux refus" : le cas d’un prêtre guadeloupéen indépendantiste de 1952 et celui, en 1968, d’un prêtre qui avait appelé à la grève des impôts.
Sarkozy oublie un autre cas, bien plus significatif : celui en 2000 de Mgr Patrick Le Gal, dont la nomination au diocèse aux Armées avait été retardée par le ministre de la Défense. Le tort du prélat ? Avoir critiqué l’hebdomadaire La Vie dans son journal diocésain en 1998, se méritant l’étiquette de conservateur.
Certes, l’éxécutif n’avait pas maintenu son refus, et la fonction d’évêque aux Armées est particulière. Mais combien de noms n’ont jamais été proposés par Rome, de peur d’une confrontation avec Paris ? Et combien de prêtres proposés pourraient être, demain, considérés comme ayant des "prises de position contraires à l’ordre public", au rythme où progressent les lois d’exception visant l’opposition à l’avortement et à l’homosexualité ?
Non, le droit de regard n’est pas qu’une simple formalité , un "gage de bonnes relations." Et la volonté du Saint-Siège de le réformer est lourde de sens.
Recours allemand contre la Constitution
Le président allemand Horst Kohler n’apposera pas sa signature officialisant définitivement la ratification par Berlin de la Constitution européenne avant l’examen par la Cour constitutionnelle fédérale d’une plainte déposée par un député conservateur, a annoncé la présidence. La Cour constitutionnelle n’a pas précisé quand elle rendra son arrêt sur la question. Le Bundesrat, la chambre haute du Parlement allemand, a voté le 27 mai dernier à une écrasante majorité la ratification du traité constitutionnel européen, après le Bundestag, la chambre basse, le 12 mai. Le paraphe du président Kohler est nécessaire pour que le texte soit officiellement ratifié.
Le député Peter Gauweiler a introduit un recours contre le texte, estimant que le Parlement allemand n’avait pas le droit de substituer un autre "système constitutionnel" à la loi fondamentale allemande. Un problème de souveraineté en quelque sorte. Les politiques ont-ils la légitimité de décider de la souveraineté de leur pays pour les siècles à venir ?…
Europe et Turquie: le débat revient ?
Dominique de Villepin a posé aux députés la question de l’élargissement futur de l’Union européenne : "en l’absence d’institutions adaptées pour faire fonctionner une Europe élargie, la question du lien entre élargissement et approfondissement est désormais posée. Il appartiendra aux Européens d’en tirer ensemble les leçons au cours des prochains mois". Il s’est gardé de prononcer le nom de la Turquie contrairement à Sarkozy qui, samedi, avait plaidé pour un arrêt des négociations d’adhésion. Villepin a estimé qu’il fallait "tenir compte" du "sentiment" exprimé dans les urnes. Mais il s’agit bien plus que d’un sentiment : les Français ne veulent pas de la Turquie dans l’Europe !
"Nous devons certainement ouvrir une réflexion avec nos partenaires sur les modalités des élargissements futurs", a-t-il souligné, alors que Chirac a, depuis le 29 mai, évité cette question. Il faudrait surtout ouvrir le débat sur l’opportunité et l’intérêt des élargissements en l’absence de définition historique, géographique et culturelle de l’Europe…
A l’unisson de M. de Villepin, l’ancien Premier ministre Edouard Balladur a estimé qu’il fallait "différer pour longtemps tout nouvel élargissement" de l’Union, en soulignant que "son extension a suscité déjà trop de craintes" et excluant l’entrée de la Turquie. De même, Anne-Marie Comparini a déclaré que l’Europe devait avoir "des frontières définies clairement et sûres".
Voilà qui tranche (enfin) avec la question budgétaire et le faux-problème de la poursuite de la ratification de la Constitution : au-delà des problèmes d’élargissement de l’UE et de la Turquie, c’est la question de l’identité de l’Europe qui est posée par nos députés. Et c’est le vrai débat.
Le combat pour la culture de vie
Dans la soirée du lundi 6 juin 2005, le Pape Benoît XVI a inauguré dans la Basilique Saint-Jean-de-Latran les travaux du Congrès ecclésial du diocèse de Rome. A cette occasion, il a prononcé un discours dans lequel il a rappelé qu’"il est clair que nous devons non seulement chercher à surmonter le relativisme dans notre travail de formation des personnes, mais que nous sommes également appelés à nous opposer à sa domination destructrice dans la société et dans la culture. A côté de la parole de l’Eglise, le témoignage et l’engagement public des familles chrétiennes sont donc très importants, en particulier pour réaffirmer le caractère intangible de la vie humaine de sa conception jusqu’à son terme naturel, la valeur unique et irremplaçable de la famille fondée sur le mariage et la nécessité de mesures législatives et administratives qui soutiennent les familles dans leur tâche d’engendrer et d’éduquer les enfants, une tâche essentielle pour notre avenir commun".
Chacun a sa place dans l’annonce de l’Evangile de la vie.
Sniper : les chants de haine impunis
Le tribunal correctionnel de Rouen a relaxé les membres du groupe de rap Sniper accusés d’avoir "incité le public à la violence envers la police ou les représentants de l’Etat" en interprétant au Zénith de Rouen, le 28 avril 2004, l’une de leurs chansons intitulée La France. Les quatre rappers comparaissaient après une plainte déposée en juillet 2004 par Villepin, alors ministre de l’Intérieur. Les magistrats auraient-ils préféré montrer leur désapprobation au nouveau gouvernement plutôt que de rendre la justice ?
Parmi les propos incriminés : "Pour mission : exterminer les ministres et les fachos. Frères, je lance un appel : On est là pour tout niquer, leur laisser des traces et des séquelles avant de crever". "Des rondes de flics toujours là pour nous pourrir la vie".
Le groupe a affirmé pour sa défense que "ce texte était simplement une image forte et rien d’autre pour exprimer un sentiment de haine et de révolte". Le substitut du procureur Véronique Berthiau-Jezequel avait requis la relaxe pour les quatre chanteurs, estimant que "la provocation avait été non suivie d’effet au crime ou au délit" (elle ne doit pas connaître le racisme anti-Blancs). Villepin s’en souviendra : s’il veut que sa plainte soit suivie d’effet, la prochaine fois, il assassinera un ministre avant de la déposer…
Vous pouvez donc chanter tranquillement et exprimer sans crainte votre haine de la France, des politiques et des Français : "La France est une garce et on s’est fait trahir / On nique la France sous une tendance de musique populaire / Les frères sont armés jusqu’aux dents, tous prêts à faire la guerre / Frère je lance un appel, on est là pour tous niquer / La France aux français, tant qu’j’y serai, ça sera impossible / Leur laisser des traces et des séquelles avant de crever. / Faut leur en faire baver v’la la seule chose qu’ils ont mérités / T’façon j’ai plus rien à perdre, j’aimerais les faire pendre / Mon seul souhait désormais est de nous voir les envahir." Quelle poésie.
Compendium du catéchisme de l’Eglise catholique
"Le 28 juin, au cours d’une cérémonie liturgique présidée par Benoît XVI, sera présenté le Compendium du Catéchisme de l’Eglise catholique préparé par une Commission ad hoc, alors présidée par le Cardinal Ratzinger. Le Catéchisme avait été rendu public par Jean-Paul II le 7 décembre 1992 et déclaré texte de référence sûr et authentique".
Ensuite, en vue de mieux valoriser le Catéchisme et de le diffuser selon les voeux émis lors du Congrès catéchistique international de 2002, le Pape institua en 2003 une Commission spéciale sous l’autorité du Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, dans le but d’élaborer un Compendium présentant de façon simplifiée et commode la Foi et la morale catholiques.
La diffusion du Compendium débutera le lendemain (le 29 juin), Solennité des Apôtres Pierre et Paul, diffuseurs exemplaires de l’Evangile. L’Eglise entière est invités à suivre leur élan missionnaire et à prier le Seigneur de pouvoir suivre la voie d’enseignement qui les à conduit à évangéliser le monde. Quarante ans après la clôture du Concile Vatican et au coeur de l’Année de l’Eucharistie, ce Compendium constitue un moyen de répondre à la faim de vérité de tant d’hommes." (VIS)
Europe : rien ne va plus !
Jeudi et vendredi aura lieu le sommet européen des chefs d’Etat. Un sommet qui promet d’être houleux, consacrant la crise de l’Union, nos dirigeants et autres technocrates souhaitant rester aveugles et sourds aux injonctions pourtant claires des peuples.
Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a appelé, mardi soir lors de l’émission France Europe Express sur France 3, à "une pause" dans le processus de ratification de la Constitution pour éviter une multiplication des rejets. Prié de dire s’il craignait des votes négatifs, Barroso a répondu : "Effectivement, il y a ce risque là ." Néanmoins, contre les peuples, il a estimé que la Constitution n’était pas enterrée.
Le président en exercice de l’Union européenne, Jean-Claude Juncker, a annoncé mercredi que la question des réductions des aides agricoles figurera au programme des discussions. Malgré la vive opposition de la France, M. Juncker a averti qu’"aucun poste budgétaire (…) n’échappera aux réductions". Il devra y avoir des réductions" sur les aides agricoles.
Jacques Chirac et Tony Blair se sont séparés mardi sur un constat de désaccord sur les questions du rabais britannique et de la Politique agricole commune, qui bloquent les discussions sur le budget de l’UE pour 2007-2013. Le Premier ministre britannique a fait état d’un "désaccord aigu" sur ce point. Chirac a appelé Blair à "ne pas ajouter des difficultés financières" à la "crise politique" que connaît l’UE après les rejets Français et Néerlandais de la Constitution.
Sauver leur Constitution et regarder leurs sous, voilà tout ce qui les intéresse. Le cas Turc ne sera pas abordé, ni la levée de l’embargo sur les armes vers la Chine, ni les conséquences concrètes des non, ni la remise en question de l’euro, ni le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes…
L’Europe et le gaélique : précisions
Nous voulons KTO
On nous communique :
"Alors que les évêques de France sont réunis du 12 au 15 juin en assemblée
plénière et travaillent sur la question de la laïcité et de la place de l’Eglise catholique en France 100 ans après la loi de 1905, la pétition pour que le CSA réexamine la candidature de Kto à la Télévision Numérique Terrestre compte déjà 13.000 signatures et le soutien de nombreuses personnalités à travers toute la France.
Cette mobilisation rapide n’est pas une simple expression d’humeur de
la part de la communauté catholique, elle est aussi favorisée par de nombreux
non-croyants. Yvon, l’un deux, écrit en signant : "Pour que la France
montre l’exemple d’une vraie laïcité, respectueuse de sa pluralité, voici
l’appel au CSA d’un agnostique curieux des opinions et visions de toutes les
confessions."
La pétition s’inscrit dans le mouvement de fond qui se dessine aujourd’hui en
France, appelant pour la construction d’une société autour d’autres valeurs
que le matérialisme, l’économisme, le relativisme et l’individualisme dominants. Depuis 5 ans, Kto est l’une des seules chaînes de télévision invitant les téléspectateurs – avec confiance et talent – à regarder l’homme dans le monde dans ce qu’il a de plus beau, de plus vrai, de plus juste.
Que l’on soit croyant ou non, pratiquant ou non, la chaîne remplit de facto
une mission d’intérêt général qui dépasse les intérêts particuliers en demeurant ouverte à tous.
Alors que Kto ignore toujours les motivations du CSA, les milliers de signataires de NousvoulonsKto.com l’expriment simplement : les Français savent bien que Kto contribue de manière unique à la culture et au lien social, ils veulent Kto sur la TNT."
France : l’euro en berne
Après l’Allemagne, les Pays-Bas et l’Italie, c’est au tour de la France de critiquer l’euro : six Français sur dix (61%) disent regretter le franc, selon un sondage Ifop à paraître vendredi dans l’hebdomadaire Valeurs actuelles. C’est plus que le non à la Constitution ! Ils ne sont que 39% aujourd’hui à ne pas regretter l’ancienne monnaie nationale.
Constitution : le retour de Giscard
Très silencieux depuis sa défaite, Valéry Giscard d’Estaing, l’un des pères de la Constitution européenne, a rejeté sur Chirac la victoire du non au référendum, dans un entretien publié mercredi par l’International Herald Tribune.
"Le message des Français était : nous voulons des changements dans nos responsables politiques", assure VGE, sans citer expressément le nom du président de la République. "Ce n’était pas un vote sur la Constitution", ajoute VGE, jugeant que "c’est le point clé (de la consultation) qui n’a pas été vu par les dirigeants politiques, parce que les dirigeants politiques n’aiment pas reconnaître que le vote ait pu être contre eux". Ce que ne voit pas VGE, c’est que ce vote a aussi été contre lui…
L’ancien président de la République regrette que "la génération actuelle de dirigeants politiques ne mettent jamais la question de l’Europe en tête de leur agenda". Nous le déplorons également et Villepin n’a pas lié dans son programme les problèmes du chômage et de l’Europe…
VGE explique qu’il a téléphoné en mars au président Chirac pour lui conseiller de ne pas envoyer le texte complet de la Constitution aux électeurs : "Je lui ait dit ne le faites pas, ne le faites pas, ce n’est pas possible de comprendre le texte en entier". Quel aveu !
Abbé Montarien
On nous communique :
La messe d’enterrement sera célébrée par monsieur l’abbé Christophe Dziech, le samedi 18 juin 2005 à 10h, en l’église Notre-Dame de l’Assomption (Chapelle Polonaise), 263 bis rue Saint-Honoré à Paris 1er. L’inhumation aura lieu après la messe, au cimetière des Batignolles, à Paris 17e.
Ho Chi Minh à l’honneur à Montreuil
Le 19 mai, à l’occasion du 115ème anniversaire de la naissance du dictateur, un buste en cuivre de Ho Chi Minh de 50 cm a été installé sur un socle en granit de 1,5 m de haut dans… l’Espace Ho Chi Minh jouxtant le Musée de l’Histoire Vivante de Montreuil. La plaque rivée au socle porte cette inscription :
"Le Président Ho Chi Minh 1890-1969 – Héros de la libération nationale et éminent homme de culture du Vietnam."
Aux côtés du directeur du musée, l’ambassadeur du Vietnam en France et le député-maire de Montreuil, Jean-Pierre Brard, ont participé début juin à la cérémonie d’inauguration.
M. Brard y a déclaré que "Ho Chi Minh, Père de la nation vietnamienne, est aussi pour les peuples du monde entier et pour les Montreuillois en particulier l’une des figures emblématiques de la lutte anti-impérialiste et anti-coloniale que nous avons toujours soutenue."
Montreuil semble être maintenant devenu un sinistre lieu de pélerinage pour les dictateurs vietnamiens : en visite en France début juin, le Secrétaire général du Parti s’y est à son tout rendu.
Par son apologie de Ho Chi Minh, M. Brard montre que le communisme français n’a aucunement renoncé à ses procédés de désinformation et de déni de l’histoire. Pire encore, il glorifie, en terre française, un criminel de guerre. D’innombrables Français ont versé leur sang pour tenter de sauvegarder la liberté des Vietnamiens. Ils méritent autre chose que de voir leur mémoire salie par la glorification d’un assassin.
L’Université d’Eté de Renaissance Catholique
… aura lieu du 17 au 20 juillet prochains en région parisienne, sur le thème de "la Pensée Unique". Jean-Pierre Maugendre, président de l’association, en commente le programme dans Présent de demain :
"La Pensée unique impose sa loi d’airain dans une multitude de domaines dans lesquels la discussion des opinions devrait être libre avec comme seul critère d’appréciation la réalité des faits."
Parmi les nombreux conférenciers annoncés, Aymeric Chauprade traitera du géopolitiquement correct, Olivier Pichon du Pédagogiquement correct, Jean Sévillia de l’Historiquement correct et Michel De Jaeghere du Religieusement correct "au travers des commentaires médiatiques lors du décès de Jean-Paul II et de l’élection de Benoît XVI au souverain pontificat."
Guy Montarien + RIP
L’abbé Guy Montarien, bien connu de générations de scouts et de fidèles parisiens, est retourné vers la maison du Père. Famille chrétienne lui avait consacré un hommage à l’occasion de ses 50 ans de sacerdoce l’an dernier.
Journée calme
… sur le Salon : Michel Janva et Lahire, en particulier, ne pourront pas poster au cours de la journée, et prient le lecteur de les en excuser !