Suite à mon message sur les propos scandaleux du président algérien, un lecteur réagit :
"Pour ma part, je me souviens du Bouteflika, ministre des affaires étrangères et même pendant sa traversée du désert, venir régulièrement à Genève s’enquérir du solde en constante croissance de ses compte numérotées. J’en sais quelque chose, j’ étais un des gestionnaires. Une multitude d’anciens dirigeant du FLN viennent régulièrement caresser la courbe ascendante de leurs comptes. Même Hocine Ait Ahmed, encore que lui y vivait. Il y a une vingtaine d’années alors qu’il retournait pour la première fois en Algérie, il a eu cette expression devant Christine Clerc du Figaro : ‘toutes les vignes ont été arrachées ! Et les routes sont impraticables’. Boumedienne, qui n’était pas un tendre, mais peut-être plus réaliste, disait à ces ministres : celui qui me répondra, suite aux échecs de son ministère, – que la faute est due à la colonisation -, je le vire."