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Homosexualité : revendication du lobby gay

Brésil : loi sur l’homophobie et persécution religieuse

Zénit nous rapporte qu’ un projet de loi sur l’homophobie proposée par l’assemblée des députés du Brésil, et visant à punir comme un crime tout type de rejet de l’homosexualité a été soumis au vote des membres du Sénat fédéral le 15 mars. Sans doute en raison des nombreux appels et courriers opposées à ce projet, les sénateurs ont pour le moment refusé de voter le texte.

Il faut dire que ce projet de loi est particulièrement inique et permettrait même des persécutions religieuses. Selon Maria das Dores Dolly Guimarães, présidente de la Fédération de Sao Paolo des Mouvements en Défense de la Vie :

"un prêtre qui, au cours d’une homélie, aurait condamné l’homosexualité, son comportement sera évalué dans le cadre de l’art. 8. (‘action […] contraignante […] d’ordre moral, éthique, philosophique ou psychologique’)"

"un recteur de séminaire qui refusera l’entrée au séminaire à un étudiant homosexuel sera passible d’une peine de 3 à 5 ans de réclusion (art 5)."

Il est temps que Benoît XVI se rende au Brésil

Philippe Carhon

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2 commentaires

  1. il y a déjà plusieurs années,avec Lula, que les termes auxquels nous français sommes habitués: citoyenneté,discrimination,lutte contre les inégalités etc etc ont fait leur apparition au brésil
    à la fois, le mouvement des sans-terres et des sans-toits, vient en écho à nos “sans-piapiers”
    toute cette propagande a un petit relent troskyste
    mais surtout elle montre que nous les gens de droite, enclins à la théorie du complot, nous ne sommes pas si parano que ço
    depuis quelque temps, le discours au brésil se fait plus tendu: à preuve votre post sur les homos
    dans le langage quotidien, désormais, les brésiliens doivent aussi faire attention quand ils interpellent quelqu’un en disant “oh, nega , viens ici” ce qui était un terme affectueux peut entraîner désormais de la prison pour racisme (nega se dit d’une fille Noire, sans que ce ne soit en rien péjoratif)

  2. Ne nous égarons pas ! Nous ne parlons pas ici d’une quelconque dictature (communiste, africaine ou islamiste) mais d’une des plus grandes démocraties du monde. Que vous ne partagiez pas les idées de certains sur les droits et devoirs des homosexuels, c’est votre droit ! Mais de là à parler de persecution religieuse, vous allez trop loin !
    Ouvrez les yeux, ne tombez pas dans la parano la plus extrême !
    Les lois brésiliennes, tout comme d’ailleurs les lois françaises, tentent, ne vous déplaisent, de placer l’homophobie sur le même plan juridique que toutes les autres formes de discriminations….suivant en cela les règles internationales.
    Laurent
    ( “Une des plus grande démocraties du monde”, dîtes-vous, comme la France, dans laquelle on n’a pas le droit de demander à un journaliste postulant au journal Famille Chrétienne d’être catholique selon les propos du président de la Halde, dans laquelle le député Vanneste est condamné pour avoir tenu des propos sur l’homosexualité similaire à ce que dit le catéchisme de l’église catholique, dans laquelle l’objection de conscience concernant l’avortement n’existe plus dans les faits, dans laquelle les tenants du oui au référendum sur la constitution n’ont qu’une idée en tête : faire revoter les Français jusqu’à ce qu’ils disent oui ou plus simple via le parlement etc etc…
    Libre à vous de ne pas être effrayé par cette dictature du relativisme.
    N’oubliez pas non plus que lorsque le mur est tombé à l’Est, Jean-Paul II, en voyage en Pologne, a mis en garde ses compatriotes contre le danger de ce libéralisme en ce qui concerne la morale et la liberté !
    Philippe Carhon)

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