Communiqué de Bruno Gollnisch :
"Retenu dans le sud de la France par des engagements politiques, je ne pourrai, à mon grand regret, participer cette année à la Marche pour la Vie.
Dans un monde matérialiste et de perte des repères moraux, la vie humaine, et notamment celle des plus fragiles et vulnérables d’entre nous – enfants à naître, personnes handicapées, personnes âgées – est de plus en plus menacée par des considérations financières sordides.
Il est terrifiant de constater qu’hier, au Parlement européen, la Hongrie a été littéralement mise en accusation parce que, notamment, sa nouvelle Constitution proclame le respect de la vie et reconnaît comme cellule de base de la société la famille issue de l’union d’un homme et d’une femme !… Ce sont là, pourtant, des valeurs sur lesquelles s’est fondée la grandeur de la civilisation européenne.
Heureusement, des résistances à la Culture de Mort se manifestent de plus en plus.
La Marche pour la Vie en est une démonstration importante et non partisane qui permet de rappeler la nécessité de respecter la vie humaine, de sa conception à sa mort naturelle. Je m’associe à ses finalités et j’apporte mon entier soutien à ses organisateurs et à ses participants."