Dans une brève du 3 décembre 2004, Libération a attribué au n°2 du FN des "propos ambigus sur les chambres à gaz ". Serge July a refusé sans explication un droit de réponse ainsi libellé : "… je n’ai tenu aucun propos ambigu sur les chambres à gaz, je me suis borné à renvoyer le journaliste qui m’interrogeait aux travaux des historiens spécialistes de la question". Débouté en référé, Gollnisch a cité July en correctionnelle. Le 9 décembre 2005, la 17ème chambre du TGI de Paris, faisant siennes les conclusions de son avocat Me de Saint-Just, a condamné Serge July à insérer le droit de réponse et à payer 3500 euros, en précisant que la "référence de M. Gollnisch aux historiens ne renvoie pas à la question de l¹existence même des chambres à gaz… mais uniquement à celles-ci, ce qui n’a, en soi rien d’illicite".
Une victoire contre la désinformation.
Olivier
Sincèrement, cela me fait plaisir pour Bruno Gollnisch, homme d’une droiture extrême et d’un grand courage, brillant universitaire (docteur en droit, professeur de japonais, doyen d’université, etc) et marié à un charmante japonaise (au moins on ne le taxera pas de racisme!).
Et une bonne claque à l’infecte police de la pensée.
FRL
C’est effectivement une bonne nouvelle…A quand la condamnation de Dominique Perben pour poursuite illégale?