Alors que la colère gronde en France, que la division règne, c’est en Allemagne que le chef de l’Etat va chercher du réconfort! Ca n’est pas sans rappeler De Gaulle à une certaine époque où il allait chercher de l’aide auprès d’un général français…
Aujourd’hui, c’est dans les bras du chancelier allemand que s’est jeté le "benêt oui-oui". Tous deux sont d’accord pour poursuivre la ratification du traité rejeté par les peuples.
Chirac sourit, il vient de se trouver un ami, le dernier… Il est pitoyable.