… du veau :
Campagne d’affichage pour arrêter la pratique d’enlèvement quelques heures après la naissance
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C.B.
Excellente thématique, qui devrait être détournée avec humour pour la journée pro-vie de demain.
Si au moins ces végans étaient cohérents, ils rejoindraient le mouvement pour l’abolition universelle de la GPA.
Ben
et si on faisait des affiches pour les petits humains ?
peut être qu’elles seraient interdites par la police politique.
Exupéry
Mieux vaut être un veau qu’un bébé trisomique!
Voilà une valeur ripoublicaine emblématique!
popeye
ces pseudos protecteurs de “rien du tout”, me rendent malade…
monarch
Ce serait mignon s’il n’y avait les statistiques apocalyptiques du massacre des bébés humains dans le propre sein de leur mère, acte mille fois plus criminel que les exactions de Daesch car qu’y a t il de pire que de réduire en bouillie dans le ventre de sa propre mère un bébé à naître.
Même Daesch n’arrive pas à ce niveau d’atrocité et de férocité.
Entre un veau et un bébé, je suis désolé mais je choisis le bébé.
Quant aux criminels qui pratiquent ces infamies, ceux qui appartiennent à toute cette chaîne de la barbarie, du concepteur au réalisateur, je ne donne pas cher de leur âme.
En ont il seulement une ?
qi
suivi d’illusion… une nouvelle église idéale car elle disparaît à volonté,
http://www.lavenir.net/cnt/DMF20150531_00657285 . Les anciennes églises servent à ça : http://www.lavenir.net/cnt/DMF20150530_00657267
Annette
On la retrouve partout et j’ai presque envie de dire que c’est le “mal du siècle”: l’incohérence.
Michel
Il est vrai dans nos sociétés modernes, la protection des animaux est mieux assurée que la protection des humains, en particulier celle des tout-petits…
Marie
Attention à ne pas tourner en dérision cette campagne qui est justifiée en soi : la barbarie qui touche les animaux est la conséquence de la barbarie qui règne entre humains. Le reconnaître est tout sauf anti-chrétien…, et pourrait aider les “amis des animaux” à pousser plus loin leur réflexion.
A nous de dire que nous partageons ces préoccupations… et que nous sommes encore bien plus gravement préoccupés des traitements réservés à trop de nos frères humains, et plus particulièrement au petit d’homme, et de montrer que tant que cette barbarie existera, il est évident que les animaux en souffriront les conséquences en retour.