Valeurs actuelles rappelle que le rôle des parents est irremplaçable pour éviter que les jeunes tombent sous la dépendance de cette drogue. Nora Berra, secrétaire d’État à la Santé, indique :
"La parole des parents compte beaucoup. Ils sont les acteurs naturels de la prévention. Mais leur rôle est difficile, surtout avec des ados. Face aux drogues, ils se sentent perdus et impuissants. Il y a un double risque, de banalisation ou de surdramatisation, qui peut faire perdre le contact avec l’adolescent. […] Contrairement aux idées reçues, plus ce lien [entre parent et enfant] est fort, plus il permet à l’enfant de s’émanciper".
Ce que ne dit pas le secrétaire d'Etat, c'est que pour que les parents agissent, il faut qu'ils soient là… Aussi, il est nécessaire que l'Etat cesse de favoriser la non-famille, par la facilitation du divorce, du Pacs, du concubinage… En France, 21% des parents ne parlent jamais des dangers liés à la consommation de drogue et 22% ne rappellent pas non plus que c’est interdit. Et 40% des mariages aboutissent à une séparation.
VD
Félicitation au Salon beige, cité page 6 pour son excellent travail sur les positions catholiques ou non des députés !
bébert
c’est le plus gros risque qui existe pour les adolescents
le rôle des parents est essentiel
moi je dis aux ados si c’était bon j’en aurais pris
croyez-moi ça les fait réfléchir
C.B.
“Face aux drogues, ils [les parents] se sentent perdus et impuissants.”
C’est surtout face au laxisme des adultes censés “éduquer” (nationalement) leurs enfants qu’ils se sentent perdus et impuissants.
Surtout, dans un cas pareil, ne comptez pas sur une aide de l’infirmière ni du médecin scolaire… dont le discours sera plutôt “mais c’est une expérience normale à leur âge”.
jeffmoveone
De plus l’enfant est d’autant plus perdu quand il entend un discours de certains ministres et autres elites de notre société qui contredit les recommandations du discours parental.