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France : Politique en France

Ce n’est pas la crise pour tout le monde

Ce n’est pas la crise pour tout le monde

L’Élysée augmente son budget 2025 de plusieurs millions d’euros. L’Élysée justifie cette  hausse (+2,5 % soit trois millions d’euros) par l’inflation sur les dépenses de personnel (+3,1 %) et de fonctionnement (+1,6 %). Sept nouveaux postes seront créés à la Maison Élysée.

Malgré une hausse de 11 % par rapport à 2023, le budget de 2024 a dérapé en cours d’année, les dépenses atteignant 126,3 millions d’euros, au lieu des 125,1 millions prévus.

La dotation attribuée à l’Assemblée nationale et au Sénat connaîtra une hausse de 1,7 %. En 2024, l’Assemblée a dû faire face aux conséquences de la dissolution, qui a engendré un coût net de 28,5 millions d’euros, principalement lié aux licenciements des collaborateurs parlementaires. Ce montant a été compensé par une dotation complémentaire de l’État.

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5 commentaires

  1. Et, concernant la réduction des dépenses, si on parlait un peu du scandale du cumul des retraites chez tous les responsables politiques ?

  2. “LA CASTE” ne doute de rien… “tout va bien madame la marquise” vieil air bien connu.. on sait comment ça s’est terminé!!
    LES BALAIS ET LES FOURCHES..

  3. Ripoublica delenda est !

  4. Scandale

  5. S’il faudra, un jour, changer de régime politique (cela devient de plus en plus une nécessité), ce ne peut être par une révolution. On ne peut pas moralement utiliser les mêmes moyens pour abattre une République que ceux mis en œuvre par la République pour s’ériger.
    Rappelons l’expérience vécue par le syndicat libre “Solidarnosk”, par Lech Walesa et par le Cardinal Karol Wojtyla dans la Pologne communiste.
    Nos moyens ne sont donc limités. Il est nécessaire de dénoncer le mal, d’en identifier la source, la nature et les effets. Il ne faut pas déserter les espaces qui sont encore ouverts : pour rappeler à temps et à contretemps les vérités essentielles. L’avenir appartient aux audacieux, mais aussi aux martyrs (témoins). Ne pas omettre non plus de faire l’éloge du beau, du vrai, du bien et du juste.
    Ceux qui nous gouvernent auront tôt ou tard des comptes à rendre. Mais ne perdons de temps dans les jugements. Cherchons plutôt à rendre justice aux victimes par la vérité et à éclairer les consciences encore trop embrumées.

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