Gérald Pichon, auteur de «Sale Blanc !», déclare sur Nouvelles de France :
"[J]e démontre clairement que ce sont les Blancs les premières victimes
de la haine raciale. Mon livre traite également des origines de cette
haine, comme l’impérative nécessité pour les gouvernants de transformer «
la France en Brésil de demain » selon les déclarations de l’ancien
ministre Azouz Begag. Mon ouvrage est le fruit de plus d’une dizaine
d’années de travail, j’ai amassé des centaines de coupures de journaux,
de rapports, de témoignages, lu tout autant de livres traitant
indirectement de ce sujet (immigration, intégration, violence, phénomène
de bandes, etc). Mon objectif est qu’après la lecture de cet ouvrage,
plus personne ne puisse dire que la haine anti-blanche n’existe pas ou
qu’il s’agit d’un phénomène marginal. […]L’élément principal de la haine antiblanche est, selon moi, la
transformation de l’Europe en société ouverte et sans identité. Il y a
clairement la volonté de la part du Système à tuer les peuples, de
métamorphoser les peuples européens en masse de consommateurs dociles et
décérébrés et de faire exploser la civilisation européenne. Pour cela,
il mène d’un côté une guerre culturelle totale en inoculant le poison de
la mauvaise conscience occidentale afin de maintenir les européens dans
une camisole mentale ; et de l’autre, il se sert de l’immigration de
masse comme d’un lance-flamme, allumant partout les foyers d’incendie
pour consumer l’Europe.[…] [P]our ne pas voir la maladie, l’État préfère
casser le thermomètre. Le racisme anti-blancs n’a pas encore
l’assentiment des instances dirigeantes pour être perçu et comptabilisé.
Le député-maire d’Orange, Jacques Bompard, avait questionné il y a
quelques mois le ministre de l’Intérieur sur les statistiques du racisme
anti-blancs. Manuel Valls s’en était sorti en bottant en touche en
préfèrant évoqué une lutte contre le racisme dans sa globalité et que le
gouvernement ne faisait aucune distinction entre les communautés
touchées. Ce qui est absolument faux car le rapport de la Commission
nationale consultative des droits de l’homme fait le distinguo entre
actes anti-musulmans/maghrébins et antisémites. En fait, tout est fait
pour empêcher les statistiques sur le racisme anti-blancs car elles
montreraient que les visages pâles sont les premières victimes de la
haine raciale en France et qu’on leur a menti depuis des décennies. […]"