« Il y a une libération de la parole, ce n'est pas un scoop et c'est même plutôt une bonne nouvelle ». « Cette libération de la parole prouve que les évêques peuvent se dire les choses, dans un climat d'écoute et d'attention fraternelle, sans perdre l'estime mutuelle que nous avons les uns pour les autres ». « Les évêques ne sont pas monolithiques ». « La CEF n'est pas un parti politique avec ses consignes de vote. Certains ont souhaité manifester l'an dernier, d'autres non. Les évêques sont unanimes sur les fondements anthropologiques concernant la famille et la vie humaine, mais sur les moyens d'action, ils sont libres ».