Une bande de malfaiteurs a remis l’attaque de train au goût du jour en s’en prenant à un convoi de marchandises dans les quartiers nord de Marseille. L’attque s’est déroulée jeudi peu après 20h sur une ligne de transport de fret privée dans le quartier de Saint-Louis. Non loin de la cité Consolat, la bande de voleurs a forcé le conducteur du convoi, long de 700 mètres, en provenance du Port autonome de Marseille, à utiliser le système d’arrêt d’urgence et à immobiliser sa machine.
Les malfaiteurs avaient disposé sur la voie des traverses de bois et des barres métalliques. Tandis que le conducteur descendait du train pour constater les dégâts, les auteurs ont grimpé dans les wagons et, après avoir forcé les serrures, ont fouillé neuf conteneurs.
Sylvie
Nous ne sommes plus en France mais au temps de la Conquête de l’Ouest, voire pire au Far West. Maintenant, il faudra prévoir contre ces outlaws la corde pour les pendre ou le goudron et les plumes.
Vite, il est temps d’élire un shériff…
A cheval !
jp
Nous sommes en pleine régression, les bandits de grands chemins sont de retour et les “cités interdites” se multiplient.
Quel progrès!!
Sandrine
Oh, mais cher Michel Janva, vous n’y êtes pas du tout : ça fait des années que des “jeunes” règnent sur les rails dans le midi !…
L’attaque de train ? chose courante depuis plusieurs années ! Un sport comme un autre ?
Les plaintes sont jetées au panier…même quand une jeune fille se retrouve une arme sur la tempe…
Une bande de jeunes sans papiers squatte régulèrement, la nuit, les trains à l’arrêt en gare de Marseille pour y dormir…
Lisez la pre…oh pardon. Non, la presse n’en raconte rien. Tout va très bien Madame la Marquise.
jano
On vous l’avez bien dit: ensemble tout est possible! Mieux qu’un shérif, il faut Zorro…
Bertrand
Michel Janva a très bien compris qu’en France le bon peuple est tellement châtré, qu’il se console de son impuissance en lisant les mauvaises nouvelles. Parce que lire est un acte de résistance, même si cela n’empêchera jamais les malfrats de vous dévaliser. “Ca va, on ne vous dérange pas dans votre lecture, Monsieur? Laissez-moi lire!”