Lu sur Nouvelles de France :
"une étude de Statistique Canada indique
par exemple qu’en 2004, 15% des gays et des lesbiennes ont été victimes
de violences « conjugales » contre 7% des « hétéros »… Des chiffres
corroborés par ce questionnaire
du site communautaire Yagg dont 84% des participants ont déclaré être
lesbiennes : 18% d’entre eux auraient subi des violences conjugales… "
Exupéry
Effectivement, la violence set plus élevée dans les couples lesbiens que dans les couples homos masculins.
Quand la lesbienne qui se veut dominatrice se met à jouer “l’homme” dominant, elle ne peut que singer (en l’exagérant) la violence masculine (effectivement plus marquée que la violence féminine).
De plus, comme le remarquait Hannah Arrendt, la femme n’étant pas normalement habituée à gérer la violence, lorsqu’elle vient à s’y abandonner, voire à la rechercher, alors, elle n’en connait pas les limites socialement tolérables
Gisèle
De toutes façons , dans le milieu homosexuel , comme dans le milieu hétérosexuel il y a toujours un rapport dominant- dominé . Cette face ‘ naturelle ‘ de l’humain est incontournable . Ainsi, la violence y existe aussi . D’où l’aberration de ce sectarisme rapporté aux us sexuels en parlant d’un être humain , us qui doivent rester dans l’alcove privé de chacun .
Après on peut parler de gestion .